L'UNAT a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant que les faits à l'origine de la réprimande écrite étaient établis. L’UNAT a reconnu que le plaidoyer de Mme Kamara-Joyner en faveur d’un membre individuel du personnel ne relevait pas de ses rôles et fonctions, tant en sa qualité de chargée de résolution des conflits pour l’UNOMS que de présidente de l’UNPAD. L'UNAT a constaté que Mme Kamara-Joyner n'avait pas expressément demandé l'approbation du conflit d'intérêts entre ses deux fonctions et avait refusé de suivre les instructions visant à éliminer le conflit d'intérêts...
Activités extérieures non autorisées et conflits d'intérêts
Il a été établi par les preuves au dossier que le requérant s'est engagé dans des contacts non autorisés avec les États membres et l'UE, les médias et les médias sociaux. Il n'a pas non plus été contesté que ces communications externes contenaient des allégations selon lesquelles l'ONU et ses fonctionnaires étaient impliqués dans des actes graves de mauvaise conduite et des crimes de droit international, y compris la complicité de génocide.
Il restait à déterminer si la requérante avait une justification légale pour sa conduite en vertu de la politique de protection contre les représailles...
Les allégations selon lesquelles le requérant a utilisé de manière inappropriée son ordinateur portable fourni par le PNUD pour accéder à des sites Internet contenant de la pornographie et d'autres contenus sexuellement explicites et faisant la publicité de services d'escorte, ont été établies par des preuves claires et convaincantes basées sur le rapport d'expertise de son ordinateur, les aveux partiels du requérant et plusieurs contradictions.
Il existe également des preuves claires et convaincantes que le requérant s'est engagé dans trois cas d'activités extérieures non autorisées en tant...
L’UNAT a estimé qu’il n’y avait aucune raison pour que le Tribunal d’appel intervienne et modifie les conclusions du Tribunal, qui étaient à la fois raisonnables et équitables. L'UNAT a noté que même si l'embauche de travailleurs occasionnels ne faisait pas partie des fonctions officielles de M. Saleh, M. Saleh coordonnait et supervisait le travail du partenaire d'exécution du HCR qui était responsable du recrutement à l'entrepôt, et que M. Saleh avait également la responsabilité de recruter des travailleurs occasionnels. fonction de superviser les opérations d’entreposage. Compte tenu de ces...
Le Tribunal d'appel a rejeté la demande d'audience d'AAD parce qu'elle n'a fourni aucune raison convaincante à l'appui de sa demande.
L'UNAT a estimé que le Tribunal du contentieux administratif avait commis une erreur en déterminant si les faits établis pouvaient être qualifiés de faute et si les sanctions disciplinaires étaient proportionnées. Dans son jugement, le Tribunal du contentieux administratif a également commis une erreur en substituant sa détermination de la sanction disciplinaire appropriée à celle de l'Administration et, à ce titre, l'UNAT a conclu que le jugement du Tribunal...
À titre préliminaire, l'UNAT a estimé que la Commission paritaire de recours (JAB) avait rendu une décision comme l'exige l'article 2 (10) du Statut de l'UNAT et que l'UNAT était donc compétente pour entendre l'appel. En outre, l'UNAT a estimé qu'une audience orale ne contribuerait pas à une solution rapide et équitable de l'affaire comme l'exige l'article 18 (1) du règlement intérieur de l'UNAT et a donc rejeté la demande d'audience. L'UNAT a estimé qu'il n'y avait aucune erreur dans la décision de la Commission paritaire de recours confirmant la décision contestée d'acte répréhensible suite...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a soutenu qu'il ne pouvait pas soutenir la conclusion de l'UNDT que les actions de M. Koutang ne constituaient pas une faute. Unat a jugé que la sanction imposée n'était pas déraisonnable, absurde ou disproportionnée et, en tant que tel, UNAT a jugé qu'il s'agissait d'un exercice raisonnable de la grande discrétion de l'administration en matière disciplinaire. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en constatant que la sanction est disproportionnée et en substituant son opinion à celle de l'administration. UNAT a autorisé l'appel et...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé qu'il était convaincu que l'implication de Mme Akello dans la société privée Blessed Seasons, qui figurait sur une liste des entreprises de l'ONU fournissant des services de véhicules d'escorte, a respecté la norme d'activité commerciale et l'entreprise interdite par l'ancien règlement du personnel 1. 2 (m) et que ses activités équivalaient à un conflit d'intérêts. Unat a jugé que, en jugeant le contraire, undt a commis une erreur en droit et en fait et que l'appel du Secrétaire général a réussi à ce motif. Sur la question de savoir...
Unat a considéré un appel de M. Mousa. En matière de procédure, Unat a constaté que les éléments de preuve documentaire supplémentaires présentés en appel étaient inadmissibles car M. Mousa n'avait pas démontré de circonstances exceptionnelles et n'avait pas demandé d'autorisation pour présenter les éléments de preuve supplémentaires qu'il devait faire en termes d'article 2 ( 5) du statut Unat. UNAT a rejeté l'appel. Unat a constaté que, même si M. Mousa avait été discipliné pour avoir travaillé pendant ses congés de maladie de l'organisation et sans autorisation valide, il a de nouveau fait...