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Violation des devoirs d'indépendance, de neutralité et d'impartialité

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Le Tribunal a conclu que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en estimant que l'administration avait établi que l'AAR avait divulgué illégalement des informations confidentielles et qu'il avait illégalement omis de signaler un conflit d'intérêts et de se récuser.

Le Tribunal d'appel a également estimé que la mesure administrative imposée à AAR était proportionnée à sa faute et que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en accordant des dommages moraux pour le préjudice subi par AAR en raison du retard excessif dans l'achèvement de la procédure disciplinaire.

Le Tribunal d'appel a donc...

Le candidat était tenu d'agir avec un minimum de probité, d'impartialité, d'équité, d'honnêteté et de sincérité, comme l'exigeaient les faits établis (article 1.2(b) du Statut du personnel). En outre, s'il s'avère qu'un conflit d'intérêts réel ou possible découle de ces faits, le requérant est tenu de divulguer ce conflit à son chef de service afin de permettre à l'UNVMC d'en atténuer l'impact et de le résoudre au mieux de ses intérêts (article 1.2(m) du Statut du personnel). Enfin, si l'implication du requérant dans une affaire pouvait entraîner un conflit d'intérêts réel ou potentiel selon...

Dans le cadre de la définition de la fraude, le Tribunal a observé que la question du propre bénéfice de la requérante n'est pas un élément nécessaire pour établir une conclusion de fraude. Au contraire, s'il est établi que, par une fausse déclaration, elle a intentionnellement trompé les journées du personnel de 2017 et 2018 et que cela a effectivement ou potentiellement causé un préjudice aux journées du personnel de 2017 et 2018, cet élément est suffisant.

Le Tribunal a estimé que, dans les circonstances données, l'administration a agi dans le cadre de son autorité en concluant que la...

En ce qui concerne l'appel par le Secrétaire général de la conclusion de l'UNDT que l'inconduite en vertu du chef 2 n'a pas été établie, l'UNAT a jugé que l'UNDT ne s'est pas trompé en fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable. Les messages envoyés par le membre du personnel à son voisin étaient des suggestions et des déclarations à une personne qui n'était pas témoin à l'époque. Le membre du personnel n'était pas sous et ne soupçonnait pas qu'il serait probablement sous une enquête au moment où il a envoyé les messages.

Le voisin les a trouvé appropriés et ne se...

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a jugé que l'UNT ne s'est pas trompé en concluant que M. Reiterer avait commis l'inconduite présumée. L'UNAT a convenu de la conclusion de l'UNDT que les faits établis équivalaient à une faute de la part de M. Reiterer, à savoir qu'il a violé ST / SGB / 2008/5 concernant le chef et le ST / AI / 2013/4 concernant le chef deux. L'UNAT a en outre constaté que, compte tenu de la nature et des faits spécifiques entourant l'inconduite de M. Reiterer, la sanction de la rétrogradation par une catégorie avec un report, pendant un an, d'admissibilité à l'examen de la...

Le tribunal a constaté qu’il y avait une justification suffisante à la conclusion plausible du décideur selon laquelle le demandeur avait violé son obligation de divulguer un conflit d'intérêts réel ou possible. Bien que seules des preuves sur un équilibre des probabilités aient été nécessaires, les preuves présentées ont dépassé cette norme et étaient claires et convaincantes. Le fait ou la possibilité d'un tel intérêt personnel pourrait avoir un impact négatif sur la perception de l'intégrité, de l'indépendance et de l'impartialité requise du demandeur en tant que fonctionnaire international...

Si les faits sur lesquels la mesure disciplinaire étaient fondées ont été établies pour déterminer si la norme de preuve a été respectée, le tribunal «n'est pas autorisé à enquêter sur les faits sur lesquels la sanction disciplinaire n'a pas été fondée et ne peut pas substituer son propre jugement par celui du secrétaire général ». Ainsi, il «examinera seulement s'il existe des preuves suffisantes pour les faits sur lesquels la sanction disciplinaire était fondée» (voir Nadasan 2019-UNAT-918, par. 40). En tant que tels, le tribunal considère comme hors de propos de la soumission du demandeur...

Unat a rejeté l'affirmation de M. Valme selon laquelle l'allégation d'exploitation sexuelle et d'abus n'avait pas été établie contre lui, au motif que toute considération concernant la plainte d'abus sexuelle était au-delà de la portée de l'affaire, parce que sa demande concernait d'autres conducteurs interdits qui sont venus à lumière pendant l'enquête. Unat n'a trouvé aucun mérite dans l'affirmation de M. Valme selon laquelle le UNDT n'a pas examiné la totalité des preuves et l'a fait référence de manière sélective, affichant ainsi les biais. UNAT a constaté qu'il était inhérent au principe...

Le tribunal a constaté qu'en tant que directeur du pays, en instruisant le membre du personnel le plus junior de la chaîne de commandement dans le processus d'approvisionnement, de forger un document et en agissant sur ce document par son approbation et son approbation de la demande officielle qui a été déformée, la Le demandeur a violé les règles et règlements cités par l'organisation. De plus, il a violé le paragraphe 24 (e) du cadre juridique du PNUD, l'article 3 de la politique du PNUD sur la fraude et les autres pratiques de corruption applicables à l'époque (politique anti-Fraud du PNUD)...

Unat a considéré un appel de Mme Modey-Ebi. UNAT a noté que les questions de l'appel étaient entièrement factuelles, dont la plupart ont été résolues dans le dossier de preuve qui, à la plupart, a établi un modèle d'inconduite justifiant le licenciement. Unat a noté que si certaines des allégations prouvées contre Mme Modey-Ebi étaient moins graves que d'autres, cumulativement, ils ont révélé un schéma de conduite contraire à l'éthique indiquant que Mme Modey-Ebi n'était pas adaptée au poste supérieur qu'elle occupait. Son comportement a révélé un manque de convenance et d'intégrité et son...