Le Tribunal d'appel a estimé, en ce qui concerne la première demande, que Mme Said n'avait produit aucune preuve de préjudice, et encore moins de préjudice causé par une illégalité, et que la demande de dommages-intérêts était donc rejetée.
En ce qui concerne la deuxième demande, le Tribunal d'appel a constaté que l'enquête avait été clôturée sans qu'aucune mesure n'ait été prise et qu'aucun élément défavorable résultant de cette enquête n'avait été versé au dossier administratif de Mme Said. En l'absence de décision administrative susceptible de recours, le Tribunal d'appel a estimé que le...
Dommages-intérêts pécuniaires (matériels)
Le TANU a noté que l'agent avait demandé à être reclassé au grade HL7 dans son courriel du 2 janvier 2017 et que ses communications ultérieures avaient été des réitérations de cette demande.
Le TANU a estimé que l'administration devait compenser la perte réelle de revenus subie par l'agent à partir du moment où son reclassement aurait dû être mis en œuvre. Le TANU a estimé que le DT de l'UNWRA avait considéré à juste titre que le délai de six mois était raisonnable. Le TANU a conclu que le DT de l'UNRWA n'avait pas commis d'erreur de droit ou de fait en décidant que la différence de salaire...
L’UNAT a estimé que le Tribunal a commis plusieurs erreurs de droit et de fait, conduisant à un résultat manifestement déraisonnable.
En particulier, l’UNAT a estimé que le Tribunal a commis une erreur en refusant de tenir une audition des preuves que M. Nkoyock cherchait à appeler pour établir sa défense face aux allégations portées contre lui et pour mettre en accusation les témoins du Secrétaire général. Le Tribunal a également commis une erreur en ne parvenant pas à tirer ses propres conclusions sur les faits contestés et en s’appuyant de manière excessive sur les conclusions de l’enquête...
En ce qui concerne l'appel par le Secrétaire général de la conclusion de l'UNDT que l'inconduite en vertu du chef 2 n'a pas été établie, l'UNAT a jugé que l'UNDT ne s'est pas trompé en fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable. Les messages envoyés par le membre du personnel à son voisin étaient des suggestions et des déclarations à une personne qui n'était pas témoin à l'époque. Le membre du personnel n'était pas sous et ne soupçonnait pas qu'il serait probablement sous une enquête au moment où il a envoyé les messages.
Le voisin les a trouvé appropriés et ne se...
L'UNAT a rejeté l'appel du Secrétaire général et a accordé en partie l'appel de M. Rolli. L'UNAT a constaté que la résiliation de la décision de résiliation ordonnée par le UNDT était «inutile» depuis que l’affaire était parvenue à l’UNDT, le poste de M. Rolli avait été aboli. L'UNAT a donc jugé que dans ces circonstances, l'indemnisation devait reposer en vertu de l'article 10, paragraphe 5, (b) et être pour préjudice causé par la décision illégale. Les méfaits qu'il a subis comprenaient la perte de sa rémunération et de ses avantages (éducation et droits de pension), les pertes spécifiques...
Unat a noté que la seule question en appel était la question de l'indemnisation appropriée pour la décision contestée illégale. Unat a constaté que le UNT a constaté de manière appropriée que la rémunération demandée d'un montant de deux ans de salaire de base net était injustifiée car elle dépasserait les émoluments auxquels il aurait été intitulé absent de la résiliation illégale. Unat n'a trouvé aucun mérite dans l'affirmation de M. Kilauri selon laquelle le UNDT n'avait pas pris en compte la nature et le niveau du poste qu'il occupait auparavant et les chances de renouvellement au-delà de...
La décision attaquée a eu un impact sur les conditions d'engagement ou le contrat de travail du requérant. Elle a eu un impact négatif sur la situation juridique du requérant vis-à -vis de son employeur et sur sa capacité à planifier correctement sa vie professionnelle. Elle a également modifié le motif de la cessation de service du requérant, qui est passé d'une résiliation de contrat pour cause de suppression de poste à un non-renouvellement. Par conséquent, le recours est recevable ratione materiae.
Il n'existe aucune preuve confirmant les prétendus besoins opérationnels justifiant la...
Unat a considéré un appel du Secrétaire général limité à la question de l'indemnisation. Sur la question de l'appel du Secrétaire général étant dérangé, tel que soulevé par M. Kasyanov, Unat a jugé que le jugement de l'UNT sur les mérites pour l'affaire n'était pas un jugement définitif; Bien qu'il ait fait des résultats substantiels, il a laissé la question du recours à résoudre à l'avenir. Unat a jugé que le jugement de l'UND sur le fond ne devient définitif que lorsque UNDT a rendu le jugement sur l'indemnisation. Unat a jugé que, lorsque le jugement sur le fond était en appel, une partie...
En examinant l’appel de l’appelant, Unat a constaté que la décision de résilier la position de l’appelant était basée sur des raisons généralisées, par opposition à des faits spécifiques, et n’a trouvé aucune justification réelle de la décision. Unat a soutenu que cela n'était pas cohérent avec la jurisprudence de l'ancien tribunal administratif, qui prévoit qu'une administration doit agir de bonne foi et ne pas prendre de décisions basées sur une motivation erronée, fallacieuse ou inappropriée. UNAT a noté que lorsqu'une décision administrative concerne la résiliation, elle doit fixer un...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que l'indemnisation accordé à Mme Harding pour la perte de salaire et d'autres droits de la date de son licenciement à la date du jugement de l'UND avec intérêt était excessif. Unat a jugé qu'il devait tenir compte qu'elle avait reçu une compensation le ou vers le 18 février 2008 vers cette date ou vers le 18 février et qu'il ne pouvait pas considérer la perte de bénéfices comme un préjudice réel après cette date lorsque le non-reinstruction était connu du demandeur et de la rémunération offerte causée par cela Les circonstances...