Le Tribunal a estimé que la sanction imposée était proportionnée compte tenu de toutes les circonstances pertinentes. Compte tenu de la gravité et de la durée de l'inconduite et du fait que le requérant n'a pas corrigé sa conduite malgré les conseils répétés d'autres personnes, il était clair qu'une "mesure administrative" non disciplinaire n'aurait pas permis d'atteindre le résultat escompté. Après avoir examiné en détail les éléments de preuve versés au dossier et, en particulier, les témoignages entendus lors de l'audience sur le fond, le Tribunal a estimé que la sanction de rétrogradation...
Nairobi
Après avoir consulté le statut et le règlement du personnel ainsi que les observations du défendeur, le Tribunal n'a rien trouvé qui puisse contredire le requérant quant à l'illégalité de l'alcootest.
Le Tribunal n'acceptera pas de preuves obtenues en violation du Statut et du Règlement du personnel.
Le Tribunal estime que le défendeur ne s'est pas acquitté de la charge de la preuve qui lui incombait de démontrer par des preuves claires et convaincantes que le requérant avait conduit son véhicule après avoir consommé de l'alcool.
Les éléments de preuve montrent clairement que l'argument...
Le requérant n'a pas réussi à convaincre le Tribunal que l'administration avait fait naître en lui une espérance légitime de renouvellement de son ALE. Une mesure administrative prise par erreur sans contrat écrit ne constitue pas un motif d'espérance légitime de renouvellement.
Le Tribunal a convenu avec le requérant que le statut et le règlement du personnel doivent être appliqués de manière uniforme et cohérente aux membres du personnel. Les procédures des Nations Unies existent pour faciliter des décisions de fond équitables et transparentes, et le non-respect des procédures requises n...
Cette demande ne répond pas aux exigences de l'art. 12(3) du Statut de l'UNDT et l'art. 30 du Règlement intérieur de l'UNDT. Il n'est pas nécessaire de clarifier le sens de l'arrêt Ocokoru UNDT/2015/004 puisqu'il a été pleinement mis en œuvre il y a des années. En outre, les motifs soumis par le requérant comme base d'interprétation ont déjà été clairement et sans ambiguïté déterminés par ce Tribunal auparavant. Par conséquent, le Tribunal rejette la requête dans son intégralité.
Le Tribunal estime que le requérant conteste une décision administrative qui ne serait pas conforme à ses conditions de nomination ou à son contrat de travail et qu'il ne conteste pas la légitimité de la résolution 66/234 de l'Assemblée générale. La requête est donc recevable.
La résolution de l'Assemblée générale, le règlement du personnel et les principes et lignes directrices de la CFPI sont clairs et sans ambiguïté. Ces règles stipulent que les agents des services généraux qui souhaitent postuler à un poste d'administrateur doivent d'abord passer l'examen G à P, à moins qu'une dérogation...
La demande a été déposée sans avoir été précédée d'une demande d'évaluation de la gestion et l'objet de la plainte ne comprend pas de décision administrative. La requérante n'a pas demandé d'évaluation par la direction de la décision finale de non-sélection, ce qui était nécessaire pour la contester. Elle a seulement demandé une évaluation de la décision de ne pas la convoquer à un entretien basé sur les compétences.
La requérante cherche à contester une étape préliminaire d'un processus de sélection, qui ne peut être contestée que dans le contexte d'une décision de sélection finale. Il s...
La requérante n'a pas demandé une renonciation à la suspension du délai qui lui était imparti et n'a pas non plus respecté le délai. Pour cette raison, la requête n'est pas recevable ratione temporis car elle est prescrite.
Le Tribunal a noté qu'il n'y avait aucune observation au dossier indiquant que la décision contestée avait eu des conséquences négatives pour le requérant. Le Tribunal a donc estimé qu'il n'avait pas été établi que la décision contestée avait eu des conséquences négatives sur l'emploi du requérant. En conséquence, le Tribunal a estimé que les contraintes juridictionnelles ne lui permettaient pas d'entendre et de statuer sur la demande en l'absence d'un cas particulier fondé sur des faits. La demande a donc été rejetée comme irrecevable.
Le Tribunal a noté que le requérant soutenait qu'il avait été licencié pour des raisons non disciplinaires, tandis que le défendeur a fourni des preuves indiquant que la décision de licenciement avait été prise le 11 mars 2022 et découlait d'un incident survenu le 2 octobre 2019, au cours duquel le requérant aurait conduit un véhicule des Nations Unies alors qu'il était sous l'influence de l'alcool et qu'il avait endommagé ce véhicule.
Le Tribunal a donc jugé que : a) dans la mesure où la décision de licenciement était motivée par des raisons autres que disciplinaires, le Statut du Tribunal...
Le candidat a été jugé apte à occuper les postes disponibles. En effet, pour un poste vacant, il a été l'un des huit candidats présélectionnés et convoqués à un entretien. En le présélectionnant, l'administration a tacitement reconnu qu'il était jugé apte à occuper le poste ; selon Timothy UNDT/2017/080, en tant que titulaire d'un engagement continu menacé de résiliation, l'administration était obligée à partir de ce moment d'examiner sa candidature sur une base préférentielle et non concurrentielle.
Le Tribunal a estimé que l'administration avait manqué à son obligation de s'efforcer...