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UNRWA Règlement du personnel international

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L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le raisonnement suivi par le DT de l'UNRWA pour refuser une audience parce que le fonctionnaire n'avait pas établi que son recours était recevable était ex post facto et, par conséquent, erroné.

L'UNAT a constaté qu'il y avait une erreur dans le calcul de l'indemnité par le DT de l'UNRWA en remplacement de l'annulation de la décision de non-sélection, car il n'y avait aucune preuve pour étayer la conclusion selon laquelle l'UNRWA l'aurait jugé inapte à occuper ce poste à la fin de la période. période de probation.

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Unat a noté qu'il y avait eu un changement de politique en 1997, ce qui signifiait que les membres du personnel qui avaient demandé une pension à la suite d'un accident subi au service de l'organisation après 1997 l'ont accordé avec la disposition qu'il ne serait payé que jusqu'à ce qu'ils prennent leur retraite . Unat a jugé que, comme l'accident de l'appelant s'est produit longtemps après le changement de politique en 1997, la politique modifiée était applicable. Unat a soutenu que, comme l'appelant avait atteint l'âge de la retraite au moment de la blessure incapable, son appel a dû être...

Unat a réfléchi à la question de savoir si l'UNRWA DT a commis une erreur de fait, ce qui a entraîné une décision déraisonnable lorsqu'elle a constaté que l'appelant avait soumis sa demande d'examen de la décision. Unat a constaté que les éléments de preuve ont montré que l'UNRWA DT n'avait pas fait d'erreur factuelle lorsqu'il a conclu que la demande d'examen de la décision avait été faite le 7 juillet 2014. Unat a noté que, comme la demande de révision de la décision avait été soumise le 7 juillet 2014, le moment Pour que l'appelant déposait une demande de revue judiciaire a expiré 120 jours...

Unat a considéré l'appel de M. Bagot et de l'appel croisé du commissaire général. Unat a jugé que le commissaire général est à recevoir. Unat a convenu avec les conclusions de l'UNRWA DT que les faits établis concernant le déjeuner et les événements qui ont eu lieu dans l'appartement ne constituaient pas une faute. Unat a jugé que la seule conclusion raisonnable accessible au juge de première instance était que les faits de l'inconduite présumée n'étaient pas établies par des preuves claires et convaincantes, à la lumière de l'intrigue et de la séquence des événements, évaluées conjointement...

Unat a examiné si Unrwa dt a conclu correctement que la demande était une ratione materiae non réceptable. Unat a constaté que l'appelant n'avait pas référé les motifs d'appel sur lesquels il s'est appuyé, conformément à l'article 2 (1) du statut de l'UNAT. Unat a soutenu que, parce que l'appelant n'a pas identifié les défauts ou les motifs qui ont rendu la décision contestée erronée, l'appel doit échouer pour cette seule raison. En considérant le reste de l'appel, Unat a également constaté que l'appelant savait, ou raisonnablement aurait dû savoir, que sa demande d'allocation avait été...

L'appelant a contesté la conclusion de l'UNRWA DT que sa demande n'était pas à recevoir Ratione Materiae. Unat a jugé que l'appel n'était pas à recevoir ratione materiae car il n'a pas fait une demande en temps opportun d'évaluation de la gestion. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.

UNAT a considéré un appel du commissaire général et un appel à l'appel de Mme Kaddoura. Unat a confirmé le jugement de l'UNRWA DT en partie. Il n'a fait que référence à l'ancien commissaire général de responsabilité, concluant qu'il n'était pas suffisant pour compter sur le ouï-dire pour référer un ancien membre du personnel, que ce soit l'ancien commissaire général ou toute autre, à la responsabilité. Unat a en outre soutenu qu'il n'y avait aucune possibilité d'imposer une mesure disciplinaire à un ancien membre du personnel, et à ce titre, une telle référence serait inefficace.

Unat a jugé qu'il n'y avait aucune erreur dans la décision de l'UNRWA DT que la demande de l'appelant était irrécouvrable. Unat a tenu que l'appelant avait été informé de la décision de ne pas le présélectionner par e-mail du 14 novembre 2019. Unat a jugé que les allégations de l'appelant concernant la suppression de son poste n'avaient aucune pertinence juridique pour l'appel, qui ne portait que sur les questions de créances. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.

La règle 111.2 (a) du personnel exige qu'un membre du personnel qui souhaite contester une décision administrative de demander le Secrétaire général, dans les deux mois suivant la notification de ladite décision, pour que la décision soit reconsidérée. Cette période commence à partir de la notification de la première décision de refus. L'envoi par l'administration des décisions confirmant un premier refus ne rouvre pas les délais. Cependant, il appartient au juge de vérifier avant de rejeter une demande de délai de temps que le membre du personnel n'a pas été induit en erreur par l...

Lors de la tentative d'établissement d'un modèle de représailles en ce qui concerne les décisions antérieures, la question est l'une des pertinence de ces décisions, et non sur la créance. Que le SGB sur les représailles soit en vigueur au moment où une loi ou une décision a eu lieu, la loi ou la décision peut toujours être considérée comme une représailles et constituer une mauvaise conduite sérieuse. Le fardeau de l'intimé de prouver «par des preuves claires et convaincantes» en ce qui concerne les décisions prises avant l'entrée en vigueur de la disposition selon laquelle «il aurait pris la...