2016-UNAT-664, Al Dawoud
Unat a réfléchi à la question de savoir si l'UNRWA DT a commis une erreur de fait, ce qui a entraîné une décision déraisonnable lorsqu'elle a constaté que l'appelant avait soumis sa demande d'examen de la décision. Unat a constaté que les éléments de preuve ont montré que l'UNRWA DT n'avait pas fait d'erreur factuelle lorsqu'il a conclu que la demande d'examen de la décision avait été faite le 7 juillet 2014. Unat a noté que, comme la demande de révision de la décision avait été soumise le 7 juillet 2014, le moment Pour que l'appelant déposait une demande de revue judiciaire a expiré 120 jours par la suite, le 4 novembre 2014. UNAT a constaté que la demande de révision judiciaire de l'appelant n'a été déposée avant le 5 décembre 2014, soit plus d'un mois de retard. UNAT en conséquence a jugé que Unrwa dt a conclu correctement que la demande n'était pas à recevoir Ratione tempis. Unat a rejeté l'appel et confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Jugement de l'UNRWA DT: La requérante a contesté la décision de l'agence qui a révélé que sa performance probatoire n'était pas satisfaisante et de ne pas confirmer sa nomination. Unrwa dt a rejeté sa demande comme une rationne temporis à recevoir.
Les délais pour le dépôt des demandes et des appels, entre autres, doivent être strictement appliqués par les tribunaux. La soumission d'une demande de révision de la décision ne peut pas, et ne réinitialise pas la date d'examen de la décision ou la date à partir de laquelle la période de limites commence à exécuter pour déposer une demande de contrôle judiciaire. Sinon, la date limite de dépôt d'une demande n'aurait aucune certitude.
Aucun soulagement ordonné; Aucun soulagement ordonné.