Unat a jugé que l'affaire sous enquête avait été close et que l'appelant n'avait présenté aucun argument convaincant pour montrer qu'il y avait des circonstances exceptionnelles qui auraient autrement droit au rapport d'enquête. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas le droit de recevoir une copie détaillée du rapport d'enquête. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune preuve à l'appui de l'argument selon lequel undt a commis une erreur sur les questions de droit et de fait. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
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Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que le refus de l'ancien directeur exécutif d'ouvrir une enquête sur toutes les allégations soulevées a violé ST / SGB / 2008/5. Unat a jugé que l'administration avait un certain pouvoir discrétionnaire sur la façon de procéder à un examen et à l'évaluation d'une plainte et peut décider d'entreprendre une enquête d'enquête sur toutes ou certaines allégations. UNAT a affirmé la conclusion de l'UND que l'ancien directeur exécutif ne s'est pas conformé à ST / SGB / 2008/5 en embauchant deux consultants de l'extérieur de l'organisation pour...
UNAT a considéré deux appels du Secrétaire général contre trois jugements (jugement n ° UNT / 2013/028, UNT / 2013/029 et UNDT / 2013/076). Unat a jugé que, d'une manière générale, des appels contre une décision d'initier une enquête ne sont pas à recevoir car une telle décision est de nature préliminaire et n'affecte à ce stade pas les droits légaux du membre du personnel. Unat a jugé que le lancement d'une enquête n'est qu'une étape du processus d'enquête et que ce n'est pas une décision administrative que UNDT est compétente à examiner. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur sur une...
Unat a considéré les deux appels par le secrétaire général et par Mme Benfield-Laporte. UNAT a confirmé que l'UNDT conclut que l'ASG / OHRM n'a pas commis de erreur en décidant que la plainte du membre du personnel n'a pas fourni de motifs suffisants pour justifier une enquête officielle d'enquête. Unat a jugé que l'ASG / OHRM avait un certain pouvoir discrétionnaire sur la façon de procéder à un examen et à l'évaluation d'une plainte et à décider si une enquête concernant tout ou partie des charges est justifiée. Unat a soutenu que lorsqu'il n'y a pas de risque de saper l'enquête, il est de...
Sur la question du maintien de la confidentialité, Unat a jugé que l'appelant n'avait pas fourni des raisons persuasives de maintenir la confidentialité de son cas et n'avait pas accordé sa pétition. Unat a jugé qu'une décision de ne pas examiner la fermeture d'une enquête, qui avait été contestée par un membre du personnel comme procédural ou de manière substantielle, était une décision qui avait affecté les droits légaux d'un membre du personnel et qu'il constituait donc une décision administrative soumise à une revue judiciaire. Unat a jugé que les dispositions spécifiques de l’enseignement...
UNAT a considéré l'appel et a constaté que la manière dont UNDT a fait enquêter sur les faits contestés, dans ce cas, était insuffisante. Unat a soutenu que, comme il n'y avait pas eu de recherche de faits adéquate, il n'y avait pas suffisamment de preuves avant de décider de l'appel. UNAT en conséquence a estimé que la nécessité de plus de preuves et une détermination factuelle fondée sur elle, a exigé que l'affaire soit renvoyée pour une nouvelle considération, conformément à l'article 2, paragraphe 3, de la loi Unat. Immêlé l'appel, annulé le jugement de UNDT et renvoyé l'affaire à UNDT.
Unat préliminaire a nié les requêtes de l’appelant pour congé pour répondre à la réponse à l’appel et sa demande de production de documents et de preuves, au motif qu’il n’y avait pas de circonstances exceptionnelles. Unat a ensuite examiné le fond de l'appel. UNAT a confirmé la décision de UND que l’enquête n’était pas ultra vires. Bien que le représentant spécial du Secrétaire général n'ait pas lancé l'enquête, la nature de la conduite en chef et des devoirs de l'équipe de discipline lui a donné le pouvoir de renvoyer l'affaire à l'UU pour enquête. Même si l’initiation de l’enquête donnait...
Unat a jugé que les appelants n'avaient présenté aucune preuve montrant qu'ils avaient subi une détresse mentale au cours de l'enquête, et ces preuves étaient nécessaires pour une attribution de dommages-intérêts moraux. Unat a jugé qu’il n’y avait aucun fondement dans la réclamation de l’appelant selon laquelle l’UNRWA DT avait commis une erreur en ne leur accordant pas une compensation pour le long retard administratif au cours de l’enquête. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Unat a jugé que l'appelant n'avait pas fait preuve de preuve de circonstances exceptionnelles pour justifier la nécessité de soumettre de nouvelles preuves ou de déposer des plaidoiries supplémentaires et, par conséquent, a rejeté la requête de l'appelant. UNAT a rejeté la demande d'audience orale constatant qu'elle ne contribuerait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire. Unat a soutenu que l'UNRWA DT n'était pas tenu de définir ses conclusions sur chaque soumission présentée par l'appelant et le non-respect de cela ne constituait pas une erreur de la partie de l'UNRWA DT. Unis a...
UNAT a considéré l'appel du commissaire général de l'UNRWA. UNAT a confirmé les conclusions et les conclusions du jugement de l’UNRWA DT en appel sur l’illégalité de la fermeture de l’enquête sur les plaintes du membre du personnel. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait procédé à soigneusement l'examen judiciaire de la décision administrative contestée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait procédé à un exercice légitime lorsqu'il a tiré ses conclusions du rapport d'enquête. Unat a jugé que les irrégularités, telles que le non-respect de la plainte spécifique sur le harcèlement, plusieurs exemples d...