UNDT/2011/149, Magnani
L’intimé semblait avoir une bonne raison d’annuler le congé du demandeur. Cela ayant été dit, cependant, la manière dont le demandeur a été informé de cette décision aurait pu être fait de bien meilleur. Compte tenu du fait que le superviseur du demandeur n’avait que trois jours plus tôt, le 9 août 2011, approuvé son congé, sa directive en une ligne annulant le congé du demandeur était non seulement insensible et dédaigneuse mais la plus insensible. Cette lacune managériale ne rend pas en soi la décision prima facie illégale. Bien que des préjudices soient causés au demandeur dans la disparition de ses attentes et de sa famille de retrouvailles pendant son congé, ledit préjudice subi par le requérant doit être examiné dans la Lumière de la mission et l'intérêt public plus large de l'organisation. Le demandeur peut être correctement compensé par des dommages monétaires. La demande de suspension de la suspension de la décision de la décision d'annuler son congé est rejetée.
Le demandeur a présenté une demande de suspension d'action en ce qui concerne la décision d'annuler son congé.
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