缅北禁地

Arabe

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UNAT a rejeté la demande de l’appelant d’une audience orale avant d’examen de l’appel. UNAT a également rejeté l'affirmation de l'appelant selon laquelle l'UNRWA DT a été biaisée en ordonnant que les cinq demandes soient consolidées en un seul jugement. En ce qui concerne l'appel lui-même, Unat a jugé que l'appel des décisions rejetant les prestations d'invalidité et concluant que la non-demande de licenciement non à recevoir n'avait aucune base légale. En ce qui concerne la contestation de l'appelant à la décision du commissaire général de rendre les conclusions du conseil médical OOT et de...

Unat a considéré l'appel de l'appelant des deux décisions de l'UNRWA DT. Unat a noté que l'UNRWA DT a pris en considération pleinement la réclamation de l'appelant selon laquelle le transfert était une mesure disciplinaire déguisée à la suite d'allégations de ch?timent corporel des étudiants. UNAT a noté qu'il y avait des preuves qu'avant son transfert, le chef du programme d'éducation sur le terrain avait rejeté ces allégations non fondées et ce n'est que près de deux mois après le transfert que le bureau de Jordan sur le terrain a autorisé une enquête. Unat a jugé que l'UNRWA DT a donc...

UNAT a examiné les deux affaires de l'appelant dans leur jugement. Unat a jugé qu'il n'était pas persuadé que l'UNRWA DT a commis une erreur en décidant que la décision de fermer les affaires découlant des plaintes de l'appelant était légale. Unat a noté que la décision de l'UNRWA DT était justifiée sur la base d'un examen attentif des arguments et des preuves de l'appelant recueillis au cours de l'enquête. Cependant, UNAT a jugé que la caractérisation de la décision de résilier la nomination à durée déterminée de l’appelant en tant que mesure disciplinaire a entaché le processus dans une...

Unat a examiné si l’UNRWA DT a commis une erreur sur une question de droit et de fait et si sa décision de rejeter la demande de l’appelant était erronée par des irrégularités procédurales. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas identifié l'erreur de fait apparente dans le jugement et la base pour soutenir qu'une erreur a été commise, répétant simplement les arguments qui n'ont pas réussi avant Unrwa dt. La décision de l’appelant de signer le contrat le liait car il n’y avait aucune preuve de contrainte. Unat a rejeté l'appel et confirmé le jugement de l'UNRWA DT.

Unat a réfléchi à la question de savoir si l'UNRWA DT a commis une erreur de fait, ce qui a entra?né une décision déraisonnable lorsqu'elle a constaté que l'appelant avait soumis sa demande d'examen de la décision. Unat a constaté que les éléments de preuve ont montré que l'UNRWA DT n'avait pas fait d'erreur factuelle lorsqu'il a conclu que la demande d'examen de la décision avait été faite le 7 juillet 2014. Unat a noté que, comme la demande de révision de la décision avait été soumise le 7 juillet 2014, le moment Pour que l'appelant déposait une demande de revue judiciaire a expiré 120 jours...

L'UNAT a jugé que l'appelant a introduit de nouveaux éléments pour examen en appel qui n'étaient pas présentés au niveau du procès (annexe 4 (formulaire de questionnaire post-classification), et les affirmations sur les irrégularités procédurales présumées précédant la non-augmentation du poste de l'appelant). Unat a jugé que les documents et les arguments avancés pour la première fois étaient inadmissibles. L'UNAT a également jugé que l'appelant n'avait pas convaincu UNAT que la décision attaquée contenait une erreur de fait ou de loi qui pourrait justifier son renversement. Unat était d...

Unat a jugé qu'il y avait du mérite dans l'argument de l'appelant selon lequel la question à décider n'était pas de savoir s'il avait droit ou non au SOA, mais le refus de son paiement rétroactif au taux correct à partir de la date de la signature de sa description de poste. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur lorsqu'elle n'a pas considéré que l'appelant contestait une décision spécifique lui refusant un paiement rétrospectif de la SOA supérieure. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur en droit pour décider que l'appelant n'avait pas identifié une décision...

Unat a jugé que les appelants n'avaient présenté aucune preuve montrant qu'ils avaient subi une détresse mentale au cours de l'enquête, et ces preuves étaient nécessaires pour une attribution de dommages-intérêts moraux. Unat a jugé qu’il n’y avait aucun fondement dans la réclamation de l’appelant selon laquelle l’UNRWA DT avait commis une erreur en ne leur accordant pas une compensation pour le long retard administratif au cours de l’enquête. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.

Unat a rejeté la demande d'audience orale et la production de documents car il n'y avait pas besoin de clarification supplémentaire. UNAT a jugé que les affirmations de l’appelant concernant l’application de la loi n ° 7 (2000) palestinienne et de l’erreur de l’UNRWA DT dans le calcul des délais ont été mal con?us. Unat a jugé que, en ce qui concerne la procédure et le calendrier impliqués dans la contesté des décisions administratives, l'ancienne règle du personnel de la région d'UNDING 111. 3, qui était en vigueur au moment où le contrat de l'appelant en tant qu'enseignant a été résilié...

Unat a jugé que, comme l'appelant n'avait pas présenté de demande au Comité de justice interne de l'UNRWA sur la question de la récusation et du conflit d'intérêts, il ne permettrait pas que la question soit soulevée pour la première fois en appel. Unat a soutenu que l'appelant n'avait pas établi dans son appel qu'il était déraisonnable pour Unrwa DT de conclure qu'il n'y avait aucune preuve de parti pris dans la décision d'abolir son poste. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.