En l'absence de preuve d'un motif inapproprié ou d'une considération irrationnelle, et compte tenu de la bonne nécessité et de la nécessité opérationnelle de restructuration, il n'y avait aucune base pour conclure que le commissaire général de l'UNRWA a agi de manière déraisonnable. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Motif(s)
En tant que question préliminaire, Unat a jugé que l'UNRWA DT exerçait son pouvoir discrétionnaire dans la consolidation des affaires légalement et de manière appropriée. Unat a tenu que la décision contestée a été prise de bonne foi et de manière raisonnable. Unat a jugé qu'il y avait une raison de bonne foi de restructurer et qu'il était opérationnel de manière rationnelle de ne pas renouveler certaines nominations à durée déterminée à temps plein mais de les reclasser aux nominations à temps partiel. Unat a jugé que l'affirmation des appelants selon laquelle leurs droits acquis étaient...
Unat a jugé que l'appelant n'avait pas répondu au fardeau de montrer que le jugement de l'UND était défectueux au motif décrit à l'article 2, paragraphe 1, de la loi Unat. Unat a jugé que UNDT entièrement et équitablement considéré les allégations de l'appelant et il n'y avait aucune erreur de droit ou de fait dans le jugement de l'UND. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune preuve que le sexe ou le statut de l'appelant soit en congé de maternité dans la décision de ne pas renouveler son contrat. Unat a jugé que les raisons exposées par l'administration pour ne pas renouveler la nomination à durée...
Le chapitre 6.3.1 du HCR du personnel du personnel du personnel et du manuel de gestion (SAMM) prévoit que «les membres du personnel en service actif qui détiennent un rendez-vous indéfini ou à durée déterminée auront droit à un congé de maternité avec une rémunération totale pour une période totale de 16 semaines comprenant une période prénatale et postnatale. Lorsque la date d'expiration du rendez-vous à durée déterminée d'un membre du personnel, qui n'est pas considérée pour le renouvellement, tombe avant le début de la période de six semaines avant la date de livraison, il n'y aura pas de...
Le requérant n’a pas été séparé en raison de l’expiration de son contrat à durée déterminée, mais en raison des lacunes du demandeur et du fait que ses performances ne répondaient pas aux attentes; Le demandeur a été évalué pendant deux années consécutives «répond partiellement aux attentes». Le tribunal constate que le demandeur a reçu ses droits de procédure régulière et que ses droits n'ont pas été violés. En l'espèce, la décision de ne pas renouveler le rendez-vous à durée déterminée du demandeur n'est pas illégale.
Lors de la tentative d'établissement d'un modèle de représailles en ce qui concerne les décisions antérieures, la question est l'une des pertinence de ces décisions, et non sur la créance. Que le SGB sur les représailles soit en vigueur au moment où une loi ou une décision a eu lieu, la loi ou la décision peut toujours être considérée comme une représailles et constituer une mauvaise conduite sérieuse. Le fardeau de l'intimé de prouver «par des preuves claires et convaincantes» en ce qui concerne les décisions prises avant l'entrée en vigueur de la disposition selon laquelle «il aurait pris la...
UNDT a constaté que la restructuration et la création du nouveau poste étaient entrepris de bonne foi et que les décisions d'abolir le poste du demandeur et de mettre fin à son contrat étaient appropriées. UNDT a également constaté que le requérant avait été informé du nouveau poste et invité à postuler. En ce qui concerne le non-respect du plan de travail et des rapports d'évaluation des performances, cela n'était pas pertinent car ce n'était pas la raison de la non-renouvellement du contrat du demandeur et, en tout cas, était due au demandeur lui-même. Résultat: la demande a été rejetée.
Il y avait suffisamment de matériel avant que le Secrétaire général, après une enquête équitable et impartiale, atteigne une conclusion d'inconduite grave. La sanction du licenciement sommaire était juste et proportionnée à la gravité des infractions. Les demandes sont rejetées.
Le Tribunal a constaté que la décision de réaffecter le demandeur était un exercice illégal ou le pouvoir discrétionnaire de l'administration parce que, bien que la décision soit basée sur sa mauvaise performance présumée, la performance du demandeur n'avait jamais été évaluée conformément aux procédures établies. La décision ultérieure de ne pas renouveler son contrat a été imparfaite pour la même raison. Alors que la raison officielle donnée était que la requérante n’a pas accepté le poste proposé ou postulé pour un autre, le tribunal a constaté que la décision non renouvelable était motivée...
Le tribunal a jugé que l'organisation avait un pouvoir discrétionnaire d'organiser ses travaux et ses bureaux. Cependant, il a réitéré le principe général selon lequel un tel pouvoir n'est pas absolu; L’organisation a le pouvoir de réorganiser un bureau et de résilier le contrat d’un membre du personnel tant que la décision n’est pas entachée par des facteurs étrangers ou des motifs inappropriés. Sur la base des faits et des preuves présentés par les parties, le tribunal a constaté que la décision d'éliminer le programme pour lequel le demandeur avait été recruté avait été pris sur la base d...