Le demandeur a déposé une demande, ostensiblement en vertu de l'art. 12.2 de son statut (concernant les corrections), en relation avec Di Giacomo UNDT / 2011/168, par lequel le UND a rejeté son cas comme étant de sa juridiction. En ce qui concerne la présente demande, l'ANDT a constaté que le demandeur a en fait demandé la révision de Di Giacomo sous l'art. 12.1 du statut, ainsi que la correction en vertu de l'art. 12.2 du statut. L'UNDT a constaté qu'il n'avait aucune compétence pour considérer la demande actuelle comme Di Giacomo était en appel devant l'UNAT, qui a donc été saisi de la...
Questions liées aux jugements
Les fins de la justice ne sont pas signifiées, mais ses processus ont trébuché en exigeant qu'un demandeur qui avait obtenu un jugement en sa faveur devrait demander l'évaluation de la gestion pour l'application ou l'exécution dudit jugement. Un requérant qui a refusé d'accepter un chèque qui lui a été mis à temps dans le temps d'un jugement ne peut pas se retourner pour demander le paiement d'intérêts sur ledit jugement pour des motifs de retard. Ayant constaté que les fonds accordés au demandeur ont été dûment payés, le tribunal rejette la demande dans son intégralité.
UNDT a noté qu'une partie ne peut demander la révision d'un jugement uniquement lorsque ce jugement est exécutable, ce qui n'était pas le cas avec le jugement Odio-Benito undt / 2011/019 étant donné que le demandeur l'avait fait appel devant le Tribunal d'appel des Nations Unies. Undt a jugé que la demande n'était pas à recevoir ratione materiae et l'a rejetée.
Le juge Meeran a traité l'affaire depuis que le juge Kaman a rendu le jugement le dernier jour de son mandat avec le Tribunal des différends. Le tribunal a constaté que la seule conclusion, qui aurait pu raisonnablement avoir été tirée du fait que l'UNDT / 2011/124 n'avait pas abordé la réclamation en termes explicites était que le juge Kaman le considérait comme implicitement couvert dans les conclusions ou alternativement, elle l'a négligé en elle en elle Conclusions finales sur les remèdes. Dans la mesure où cela peut avoir été un contrôle, sur la base d'un examen complet du dossier et des...
Un jugement doit être incertain ou ambigu d'être ouvert à l'interprétation par le Tribunal. Le tribunal a jugé que le paragraphe 19 de l'arrêt était une observation d'obiter par le tribunal et n'avait pas d'incidence sur le raisonnement ou l'issue du jugement final. Le tribunal a constaté que le paragraphe 19 n'était ni incertain ni ambigu. Le tribunal a jugé que l'article 12.3 ne doit pas être utilisé pour rouvrir les procédures, et c'est ce que le demandeur avait tenté de faire.
Le tribunal constate que la jurisprudence ne constitue pas un nouveau fait décisif.
La juridiction inhérente du tribunal la confère avec le pouvoir de faire face à une conduite méprisante et est nécessaire pour protéger ses fonctions judiciaires. Ce pouvoir n'a pas besoin d'être défini dans le statut du tribunal ou dans ses règles de procédure. La désobéissance volontaire des ordres du tribunal est un mépris et est une attaque directe contre la juridiction du tribunal et son pouvoir d'entreprendre les responsabilités auxquelles il a été confié dans sa loi par l'Assemblée générale. Unon de gestion tout en ignorant l'autorité d'UNAT à Villamoran en fonction des parties de se...
Demande de révision d'une décision sur une demande de suspension de l'action: il découle des dispositions combinées des articles 2.2, 11.3 et 12.1 de la loi UNDT selon laquelle une demande de révision d'une décision sur une demande de suspension d'action n'est pas à la créance. Même en supposant qu'une telle décision pourrait être ouverte à la révision, il n'est pas possible que le tribunal le révise lorsque la décision contestée a été pleinement mise en œuvre. -La Général a le pouvoir de prolonger la date limite pour le dépôt d'une demande d'évaluation de la gestion en attendant les efforts...
Un fait décisif ou matériel selon l'art. 29 des règles de procédure du Tribunal est celle qui n’était pas connue au moment où le jugement a été rendu. Ledit fait doit être de tel poids important que sa considération dans l'affaire devrait conduire à une révision du jugement. Le tribunal des litiges a le pouvoir de réviser les jugements de l'ancien tribunal administratif des Nations Unies, étant son successeur et soumis à la conformité aux dispositions de l'art. 29 des règles de procédure du tribunal. La question du pouvoir de suspendre un membre du personnel pendant le processus disciplinaire...
Sur le score de la prima facie illégation, après avoir examiné les faits de l'affaire, le tribunal a soutenu que tout indiquait une raison suspecte de la non-renouvellement du contrat du demandeur. L'intimé n'a pas donné de raison claire de non-renouvellement, même après que le demandeur l'a spécifiquement demandé. Le tribunal a donc conclu que la décision de ne pas renouveler le contrat du demandeur était prima facie illégale. En ce qui concerne l'urgence particulière, le tribunal a constaté que cette exigence était clairement satisfaite car le contrat du demandeur devait expirer le 29...