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Correction de l'arrêt

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Le TANU a rejeté la demande de révision, estimant qu'aucun des faits nouveaux allégués n'était un "fait nouveau" au sens de l'article 11, paragraphe 1, du statut du TANU. Les faits nouveaux allégués étaient soit survenus après le prononcé de l'arrêt du TANU, soit connus du Tribunal d'appel, soit des questions de droit.

Le TANU a accueilli la demande de correction en partie, dans la mesure où il a accepté l'argument de Mme Raschdorf selon lequel une erreur s'est produite au paragraphe 44 de l'arrêt du TANU, où le TANU a fait référence à tort au Comité consultatif pour les demandes d...

Le TANU a interprété la requête comme une demande de correction du précédent jugement du TANU.

Le TANU a noté que le dossier de l'ancien Tribunal administratif des Nations Unies révélait que le Président de ce Tribunal avait prorogé le délai d'introduction du recours, mais qu'une copie de cette décision n'avait pas été versée au dossier soumis au TANU. Le TANU a observé qu'il avait rendu son jugement de rejet du recours, sans avoir connaissance de la décision du Président.

Le TANU a cependant constaté que le recours de l'agent avait été reçu par le Tribunal administratif des Nations Unies...

L'UNAT a estimé que la réparation demandée dans la requête concernait une question qui n'avait pas été soulevée auparavant devant l'UNDT ou l'UNAT, à savoir le recouvrement d'un montant déjà payé à titre de dépense admissible selon une échelle mobile.

L'UNAT a estimé qu'il n'y avait rien de flou ou d'ambigu dans le sens ou la portée du jugement antérieur, les termes de l'ordonnance étant clairs. L’UNAT a noté qu’il n’était pas nécessaire d’interpréter le jugement antérieur pour en clarifier le sens, et qu’il n’existait pas non plus de doutes raisonnables sur ce qui constituait la décision de...

L'UNAT a rejeté la demande de rectification du jugement de M. Zaqqout au motif que M. Zaqqout avait tenté de relancer son affaire au lieu de démontrer des erreurs de la nature de celles censées être couvertes par l'article 11(2), et qu'il n'avait pas expliqué les erreurs importantes retard dans la demande de correction des erreurs alléguées.

L'UNAT a également rejeté la demande de révision du jugement présentée par M. Zaqqout. L'UNAT a estimé qu'il s'agissait de la deuxième demande de révision déposée par M. Zaqqout dans cette affaire, il lui était demandé de démontrer des circonstances...

Mme Reilly a déposé une demande de correction. Unat a constaté que sa demande était en substance à la fois une demande de correction et de révision. UNAT a rejeté la demande. Unat a jugé que les corrections demandées n'étaient en aucune pertinence matérielle pour le résultat et le raisonnement du jugement. En ce qui concerne une correction demandée, Unat a noté que le secrétaire général a concédé qu'il avait fourni le tribunal d'appel avec des informations incorrectes - Mme Reilly était en congé spécial avec un salaire pendant quatre au lieu de six jours en octobre 2019. Unat, cependant...

Dans le jugement n ° 2010-UNAT-050, Unat a jugé que l'appel était barré et non à recevoir car il n'a pas été déposé dans les 45 jours civils suivant la réception du jugement UNDT. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il n'avait aucune compétence pour recevoir l'appel de l'appelant avant le coup. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND. Dans le jugement n ° 2010-UNAT-050 / Corr.1, Unat a noté que l'appelant avait obtenu une prolongation du délai pour déposer un appel au 16 février 2010 et qu'il a déposé son appel à cette date. UNAT a rejeté la soumission du...

UNAT a considéré la demande de correction de Mme Roig et a noté qu'il n'y avait aucune erreur de bureau ou arithmétique dans le jugement. Unat a noté que la procédure de correction n'est pas une opportunité pour une partie de réarranger son cas ou de simplement répéter des arguments qui n'avaient pas réussi auparavant. UNAT a rejeté la demande de correction.

UNAT a considéré les deux demandes de Mme Sidell, l'une pour la correction et l'autre pour l'interprétation du jugement. En ce qui concerne la demande de correction, Unat a jugé qu'il n'y avait pas d'erreurs de bureau ou arithmétiques dans les paragraphes pertinents et que Mme Sidell était simplement en désaccord avec les parties référencées du jugement. En ce qui concerne la demande d'interprétation, Unat a jugé que les paragraphes référencés étaient clairs en matière de sens à la face du dossier et n'avaient besoin d'aucune interprétation. Unat a refusé les deux candidatures.

Unat a jugé qu'un membre du personnel ne pouvait pas prolonger la date limite statutaire en appel en déposant des requêtes après jugement. Unat a noté que pour tenir autrement, les parties permettraient de fixer leurs propres délais pour l'appel d'un jugement UND et saper la nature obligatoire de la date limite statutaire à l'article 7.1 (c) de la loi Unat. UNAT a rejeté l'appel comme un délai de temps.

UNAT a envisagé deux demandes, une pour la correction et une pour révision, concernant le jugement n ° 2013-UNAT-363. Unat a jugé que M. Chaaban n'avait montré aucune erreur de bureau ou arithmétique pour justifier la correction du jugement. Unat a jugé que M. Chaaban n'avait identifié aucun fait décisif inconnu au moment du jugement pour justifier sa révision. UNAT a rejeté les deux demandes.