L’UNAT a estimé que le Tribunal avait eu raison de considérer qu’il existait clairement des éléments de preuve suffisants pour étayer la conclusion de l’Administration selon laquelle les performances du fonctionnaire ne répondaient que partiellement aux attentes et que cette préoccupation lui avait été communiquée. Bien que la confirmation de la notation par le Comité de réfutation et la préparation d'une deuxième évaluation des performances à court terme aient eu lieu après le non-renouvellement, l'UNAT a conclu que ces examens confirmaient néanmoins que l'évaluation informelle préalable de...
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Le Tribunal a estimé que le requérant ne s'était pas acquitté de la charge de prouver l'existence de motifs inappropriés ou de partialité à l'encontre du défendeur.
Les huit actes/omissions allégués sur lesquels le requérant a fondé sa plainte selon laquelle son évaluation "partiellement satisfaisant" était motivée par la partialité et la mauvaise volonté étaient spéculatifs et l'évaluation contestée n'était pas impartiale ou relevant de motifs illégitimes. Le Tribunal a conclu que le fait que le groupe d'évaluation de la gestion des talents n'ait pas donné au requérant l'occasion de...
Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis une erreur en concluant que la décision de l'administration, de prendre en considération dans le contexte des événements d'évaluation de la performance 2009-2010 de l'appelant, a été remplacé par le changement d'approche ultérieur de l'administration. Unat a soutenu que UNDT avait correctement déterminé que les revendications de l'appelant à cet égard étaient devenues sans but. Unat a jugé que, pour rendre la plainte de l'appelant concernant la question de la réfutation, en tenant compte de l'inversion ultérieure de la décision du 24 novembre 2010, l...
Unat a jugé que UNDT avait correctement déterminé qu'aucune décision administrative appelable n'avait été identifiée par l'appelant. Unat a jugé que Undt a correctement évalué les actions et / ou omissions contre la définition d'une décision administrative. Unat a jugé que UNDT avait raison en droit lorsqu'il a déclaré que l'alternative proposée par l'administration n'était pas considérée comme une décision finale, et il ne pouvait pas être considéré comme une décision de ne pas procéder au processus de réfutation. Unat a soutenu qu'il n'y avait rien dans les soumissions écrites ou orales de l...
UNAT a considéré l’appel du Secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que ST / AI / 2002/3 s'appliquait à l'UNICEF, car le manuel du manuel de l'UNICEF établit la procédure qu'un membre du personnel doit suivre s'il souhaite réfuter le contenu de son rapport de performance. Unat a noté que le principe articulé dans Villamoran c. Secrétaire général des Nations Unies (2011-UNAT-160), qui soutient que les émissions administratives ont une plus grande autorité légale sur des manuels tels que le manuel de l'UNICEF, uniquement lorsqu'il existe un conflit entre les...
UNAT considered the Secretary-General's appeal, specifically as to whether Mr Gehr was prejudiced or discommoded by the fact that his rebuttal was conducted by the rebuttal panel established in 2011. UNAT did not find that Mr Gehr's obligation to engage with a panel established pursuant to ST / AI / 2010/5 était, en soi, suffisant pour mériter une attribution de compensation, en l'absence de préjudice ou de préjudice spécifique qui en découle. Unat a jugé que la violation n'était pas d'une gravité suffisante pour mériter une sentence compensatoire. UNAT a autorisé l'appel et annulé le jugement...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé qu'à l'époque de l'UNICEF cherchait à faire la correction de la résiliation à la non-renouvellement, le membre du personnel était déjà séparé du service, et il était donc trop tard pour renverser la décision. UNAT a confirmé que l'UNDT conclut que la séparation du membre du personnel du service a été licenciée pour des performances présumées insatisfaisantes et que la décision de l'administration de renverser la décision était intempestive et inefficace. Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune raison de renverser la conclusion de l...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en excluant les documents de l'OSF et en ordonnant une indemnité pour des dommages présumés non liés à toute illégalité établie. Unat a soutenu que, même si les irrégularités et les retards dans la procédure d'évaluation étaient si graves qu'ils ont rendu les… évaluations dénuées de sens, cela ne signifiait pas qu'ils ne devaient pas être conservés dans l'OSF. Unat a soutenu qu'ils, avec les rapports ou décisions de substitut correctifs, devaient tous être conservés afin d'expliquer l'ensemble du...
Unat avait devant lui l'appel du Secrétaire général contre le jugement n ° UNT / 2013/004 (jugement sur la créance) et UNT / 2013/128 (jugement sur le fond). Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune raison de perturber la conclusion de l'UNDT selon laquelle les parties avaient demandé la médiation de leur différend et se trouvaient dans les délais pour le dépôt d'une demande. Unat détenait, affirmant la conclusion de l'UND, que la demande du demandeur était à recevoir par UNDT. Notant que la requérante a commencé son emploi avec l'UNICEF moins de trois mois après sa séparation et sans réduction...
Sur la question du refus de UNDT de la demande de confidentialité de l’appelant, Unat a jugé que l’UNDT ne se trompait pas en droit ou en fait en refusant sa demande comme si la confidentialité était attachée à l’identité de chaque membre du personnel, il n’y aurait pas de transparence. L'UNAT n'a pas admis en preuve de documents supplémentaires car ils n'étaient pas utiles et il n'y avait pas de circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que l'appelant faisait simplement référence à la référence au motif d'appel de la loi de l'UNAT et n'offrait aucune autorité légale pour soutenir ses...