Développement économique

Faute de mesures résolues pour faire face à cet écart croissant, la COVID-19 continuera de faire des victimes et de détruire des emplois, et de peser longtemps sur l’investissement, la productivité et la croissance dans les pays les plus vulnérables. La pandémie continuera de perturber la vie des populations les plus vulnérables, et les pays enregistreront une hausse de la pauvreté extrême et de la malnutrition, tout espoir d’atteindre les objectifs de développement durable étant ainsi anéantis. Pour réduire cette fracture due à la pandémie, il est nécessaire d’agir tous ensemble pour accroître l’accès aux vaccins, obtenir les financements indispensables et accélérer la transition vers un monde plus vert, numérique et plus inclusif.

Organisé sous les auspices du Conseil économique et social, le se penchera du 6 au 15 juillet sur les moyens de parvenir à une reprise durable et résiliente après la pandémie de COVID-19. Le forum examinera notamment 9 des 17 objectifs de développement durable. Les ministres ainsi que les autres participants discuteront des politiques et de la coopération internationale susceptibles de contrôler la pandémie et ses répercussions et de remettre le monde sur la voie de la réalisation du Programme 2030, dans le contexte de la décennie d’action et de réalisations en faveur du développement durable.

Dans un publié avant le sommet du G7, les dirigeants du , de la , de l' et de l' déclarent qu’il n’y aura pas de reprise généralisée tant que la crise sanitaire ne sera pas terminée. Malgré les avancées impressionnantes enregistrées en matière de vaccination, on assiste en effet au développement d’une pandémie à deux vitesses, l’accès aux vaccins étant réservé aux pays les plus riches, tandis que les plus pauvres sont laissés à la traîne. C’est pourquoi les dirigeants appellent la communauté internationale à renforcer l’appui et la mise en œuvre d’une stratégie coordonnée et mise à l’échelle pour vacciner la planète, grâce à de nouveaux financements.

Les responsables publics en Afrique doivent relever trois défis immédiats :  premièrement, financer les besoins de dépenses publiques supplémentaires ; deuxièmement, maîtriser la forte hausse de la dette publique ; et enfin, mobiliser davantage de recettes fiscales. La réponse que les dirigeants apporteront à ce trilemme aura des conséquences majeures sur la situation économique et sociale de leurs pays au cours des prochaines années.

Une finaliste du prix de la CNUCED pour les femmes d'affaires a reçu 10 millions de dollars de son gouvernement pour construire une usine de jus de fruits frais qui favorisera l'agriculture durable et améliorera le niveau de vie de sa communauté.

Le 11 mars 2020, . L’année écoulée a été  mais elle a aussi été marquée par des histoires remarquables de résilience, d’ingéniosité et de créativité. Aujourd’hui, ce sont ces initiatives inspirantes que la Banque mondiale souhaite mettre en avant, en vous proposant un tour du monde en six étapes. 

 

 

De nouvelles estimations révèlent une croissance économique pour 2021 plus forte que prévu, mais des problèmes persistants liés aux inégalités, à l’endettement et à l’insuffisance des investissements menacent l’espoir d'un avenir plus résilient, souligne la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement ().

Douze mois, douze enseignements tirés de la pandémie. Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) nous rappelle qu’une crise est aussi une opportunité. Nous avons les capacités de prévenir les pandémies mais nous ne les utilisons pas toujours pleinement. Les objectifs de développement durable constituent le cadre dont nous avons besoin pour bâtir un avenir durable. Leur réalisation signifie réduire la pauvreté et les inégalités, tout en favorisant une croissance économique durable.

 

 

Une nouvelle publication, élaborée par le Département des affaires économiques et sociales, montre comment les gouvernements peuvent faire des économies, être plus efficaces et promouvoir la durabilité grâce à la planification à long terme des infrastructures. 

Un nouveau outil de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement () mesure la capacité des pays à réaliser une transformation sociale et économique. Il permet aussi de suivre leur progression vers les objectifs de développement durable.

 

La pandémie de COVID-19 a mis à mal non seulement notre vie quotidienne, mais aussi la manière dont le Programme des Nations Unies pour le développement () travaille avec ses partenaires et vient en aide aux personnes qui en ont le plus besoin. De nombreux pays ont annoncé une forte baisse de l’aide publique au développement. Sans délai, il a fallu se réinventer pouvoir réagir avec davantage de souplesse à des problèmes mondiaux complexes et inédits. Voici comment le PNUD s’engage à renforcer et à élargir ses partenariats.

 

Il y a trente ans, le Programme des Nations Unies pour le développement () a créé une nouvelle façon de concevoir et de mesurer le progrès. Au lieu d’utiliser la croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) comme seul indicateur de développement, il a classé les pays selon de leur niveau de développement humain : en fonction des libertés et des possibilités dont jouissent les habitants de chacun d’entre eux pour vivre une vie riche de sens. Le conforte l’idée que la capacité d’agir et l’autonomisation des individus sont autant de clés qui enclencheront les transformations nécessaires pour vivre en équilibre avec la planète dans un monde plus équitable.

 

 

Bien que le riz reste incontestablement la culture la plus importante en République démocratique populaire lao, le gouvernement a mis la production durable de maïs au cœur de sa stratégie de développement socio-économique. Situé entre la Chine, la Thaïlande et le Vietnam, le Laos est idéalement placée pour tirer profit du commerce régional. Sur ce constat, une  de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement () jette un nouvel éclairage sur la chaîne de valeur du maïs dans ce pays enclavé.

 

Les inégalités et les vulnérabilités risquent de s'aggraver longtemps après qu'un vaccin soit disponible. La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) propose une feuille de route pour une reprise plus inclusive et de meilleure qualité. 

 

Les perturbations économiques et sociales engendrées par la COVID-19 s’intensifient. Les pertes d'emplois massives, les faillites, la contraction du PIB, les difficultés des petites entreprises, les changements de comportement des consommateurs et du public deviendront plus manifestes à mesure que la pandémie continue. Nous ne pouvons plus suivre les anciennes règles, et des choix difficiles nous attendent. La prochaine phase de la réponse du Programme des Nations Unies pour le développement () sera d’aider les décideurs à mettre en œuvre des changements fondamentaux pour assurer une transition juste et équitable vers une économie propre en repensant la gouvernance et la protection sociale et en favorisant la disruption numérique.