Une nouvelle publication, élaborée par le Département des affaires économiques et sociales, montre comment les gouvernements peuvent faire des économies, être plus efficaces et promouvoir la durabilité grâce à la planification à long terme des infrastructures.
Développement économique
Un nouveau outil de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement () mesure la capacité des pays à réaliser une transformation sociale et économique. Il permet aussi de suivre leur progression vers les objectifs de développement durable.
La pandémie de COVID-19 a mis à mal non seulement notre vie quotidienne, mais aussi la manière dont le Programme des Nations Unies pour le développement () travaille avec ses partenaires et vient en aide aux personnes qui en ont le plus besoin. De nombreux pays ont annoncé une forte baisse de l’aide publique au développement. Sans délai, il a fallu se réinventer pouvoir réagir avec davantage de souplesse à des problèmes mondiaux complexes et inédits. Voici comment le PNUD s’engage à renforcer et à élargir ses partenariats.
Il y a trente ans, le Programme des Nations Unies pour le développement () a créé une nouvelle façon de concevoir et de mesurer le progrès. Au lieu d’utiliser la croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) comme seul indicateur de développement, il a classé les pays selon de leur niveau de développement humain : en fonction des libertés et des possibilités dont jouissent les habitants de chacun d’entre eux pour vivre une vie riche de sens. Le conforte l’idée que la capacité d’agir et l’autonomisation des individus sont autant de clés qui enclencheront les transformations nécessaires pour vivre en équilibre avec la planète dans un monde plus équitable.
Bien que le riz reste incontestablement la culture la plus importante en République démocratique populaire lao, le gouvernement a mis la production durable de maïs au cœur de sa stratégie de développement socio-économique. Situé entre la Chine, la Thaïlande et le Vietnam, le Laos est idéalement placée pour tirer profit du commerce régional. Sur ce constat, une de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement () jette un nouvel éclairage sur la chaîne de valeur du maïs dans ce pays enclavé.
Les inégalités et les vulnérabilités risquent de s'aggraver longtemps après qu'un vaccin soit disponible. La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) propose une feuille de route pour une reprise plus inclusive et de meilleure qualité.
Les perturbations économiques et sociales engendrées par la COVID-19 s’intensifient. Les pertes d'emplois massives, les faillites, la contraction du PIB, les difficultés des petites entreprises, les changements de comportement des consommateurs et du public deviendront plus manifestes à mesure que la pandémie continue. Nous ne pouvons plus suivre les anciennes règles, et des choix difficiles nous attendent. La prochaine phase de la réponse du Programme des Nations Unies pour le développement () sera d’aider les décideurs à mettre en œuvre des changements fondamentaux pour assurer une transition juste et équitable vers une économie propre en repensant la gouvernance et la protection sociale et en favorisant la disruption numérique.
Alors que la pandémie de COVID-19 et la crise économique continuent de s’étendre, les envois de fonds des travailleurs migrants vers leurs pays d’origine devraient reculer de 14 % d’ici à 2021 par rapport aux niveaux d’avant la pandémie en 2019, selon les dernières estimations de la note d’information de la Banque mondiale sur les migrations et le développement.
Face à une récession mondiale profonde associée à une pandémie encore incontrôlée, le monde a besoin d'un plan de relance global qui puisse mettre les pays, y compris les plus vulnérables, dans une situation plus favorable que celle qui prévalait avant la COVID-19. C’est le message du de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
La Journée mondiale du tourisme (27 septembre) mettra en avant le rôle incomparable du tourisme pour offrir des débouchés en dehors des grandes villes et pour préserver le patrimoine.
L’Europe, tout comme le reste du monde, est confrontée à une crise prolongée. Tant que la pandémie de COVID19 persistera, nous devrons maintenir une forme de distanciation physique. À cela s’ajoutent des perturbations constantes des chaînes d’approvisionnement et d’autres problèmes qui prolongent une situation déjà difficile. D’après des publiées le mois dernier, le Produit intérieur brut réel dans l’Union européenne (UE) devrait se contracter de 9,3 % en 2020.
Alors que débute la Décennie d’action pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD), force est de constater que la pandémie de coronavirus complique considérablement cet effort mondial initié en 2015. Un surcroît d’ambition et de mobilisation est nécessaire, « non seulement pour vaincre la COVID-19 mais aussi pour mieux récupérer ensemble », a plaidé le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres.
Les prévisions pour 2020 en Asie ont été revues à la baisse pour la plupart des pays de la région, en raison de la dégradation de la situation au niveau mondial et des mesures d’endiguement de la pandémie de COVID-19 qui perdurent dans plusieurs pays émergents. Toutefois, grâce à des mesures de relance économique, la croissance en Asie devrait fortement rebondir en 2021, explique le Fonds monétaire international (FMI).
Le Grand Confinement se déroule, en principe, en trois phases : d'abord les pays entrent en confinement, puis ils en émergent, et enfin ils en sortent totalement lorsqu'ils disposent d'une solution médicale à la pandémie. De nombreux pays se trouvent actuellement dans la deuxième phase, celle d’un déconfinement caractérisé par des premiers signes de reprise, mais aussi par un risque de seconde vague d'infections et de réinstauration des restrictions levées, analyse Gita Gopinath, conseillère économique et directrice du département des éٳܻs du Fonds monétaire international (FMI).
Depuis 2006, Gaza subit de fréquentes coupures d’électricité. La majorité de la population de près de deux millions de personnes ne dispose d’à peine quelques heures d’électricité par jour, ce qui ne fait qu’aggraver des conditions de vie déjà difficiles. Le Bureau des Nations Unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS) a soutenu le ministère des Travaux publics et du Logement, ainsi que l’Autorité palestinienne de l’énergie et des ressources naturelles, afin de remédier à cette crise.