La 貹Իé du COVID-19 n’est pas seulement un enjeu sanitaire. C’est un choc profond pour nos sociétés et nos activités économiques, et les femmes sont au cœur des initiatives prises actuellement pour dispenser des soins et prendre différentes mesures. ONU Femmes est en train de mettre à jour les informations et les analyses sur la façon dont les questions de genre comptent dans la réponse au COVID-19.
Գé
Alors que les fermetures d'établissements concernent près de 80% des écoliers et étudiants dans le monde, l'UNESCO a organisé une réunion en ligne d'un groupe ad hoc de ministres de l'éducation qui ont échangé des informations sur les mesures d'intensification déployées dans leurs pays pour aider les enseignants, les parents et les élèves à faire face à l'apprentissage à domicile. Ils ont également souligné les nouveaux défis nécessitant une coopération mondiale.
La flambée de maladie à coronavirus (COVID-19) touche de plus en plus de pays. Tandis que les Nations Unies continuent d’aider les plus vulnérables dans ce contexte de crise sanitaire, un formidable esprit de solidarité humaine s’est mis en place en de nombreux endroits du monde. A New York, par exemple, des habitants ont fait don de fournitures pour des enfants scolarisés à la maison. A Bruxelles, le Centre régional d’information des Nations Unies a distribué 3 100 masques chirurgicaux, qui se trouvaient dans ses réverses, au personnel de santé de plusieurs établissements en Belgique. Cet élan de solidarité doit devenir encore plus contagieux que le virus lui-même. C’est aussi dans cet esprit qu’a été lancé, le 13 mars, le .
Face aux conséquences sociales et économiques liées au COVID-19 au sein d’un très grand nombre de pays, les Nations Unies mobilisent l’ensemble de son personnel afin d’aider les gouvernements touchés et soutenir les efforts de maîtrise et de prévention de la maladie. Tandis que l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) continue de coordonner la lutte contre la 貹Իé, les équipes de pays de l’ONU, ainsi que ses fonds, agences et programmes, travaillent avec les autorités locales pour appuyer les plans de réponse nationaux.
La est le premier traité international négocié sous les auspices de l’. Elle a été adoptée par l’Assemblée mondiale de la Գé le 21 mai 2003 et est entrée en vigueur le 27 février 2005. Elle est devenue depuis l’un des traités ayant remporté la plus rapide et la plus large adhésion dans l’histoire des Nations Unies. Élaboré face à la mondialisation de l’épidémie de tabagisme, ce traité se fonde sur des données factuelles et réaffirme le droit de tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible. La Convention représente un jalon dans la promotion de la santé publique et apporte une dimension juridique nouvelle à la coopération internationale en matière de santé.
Alors que le nouveau coronavirus (COVID-19) continue de se propager, l'Organisation mondiale de la Գé s'attaque à certaines idées reçues et à la désinformation entourant cette flambée de maladie, apparue pour la première fois en décembre 2019, dans la ville chinoise de Wuhan. Voici quelques exemples de questions :
- Les animaux domestiques peuvent-ils propager le nouveau coronavirus ?
- Les antibiotiques sont-ils efficaces pour prévenir et traiter l'infection ?
- Les sèche-mains sont-ils efficaces pour tuer le COVID-19 ?
La Suède accueille la Troisième Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière, les 19 et 20 février 2020, dont les travaux seront axés sur la mise en œuvre des objectifs de développement durable à l’horizon 2030. Coparrainée par l’Organisation mondiale de la Գé (OMS), elle doit réunir des représentants de plus de 80 pays et d'organisations internationales, ainsi que des responsables du monde académique, de l’industrie et de la recherche. Elle sera l’occasion d’échanger les succès enregistrés dans la mise en œuvre du .
Le fait que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ait qualifié la situation de est un appel à l’action pour tout le monde, partout. En combattant le virus, nous ne pouvons pas laisser la peur devenir virale, souligne le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres. Le système des Nations Unies à faire face à la crise sanitaire provoquée par l’épidémie de coronavirus Covid-19 dans le monde, et ce, sur plusieurs fronts : notamment par le biais de rapports de situation, de directives techniques, de financements et de partenariats. L’Organisation mondiale de la Գé (OMS) met à la disposition du public , qui a été signalée pour la première fois à Wuhan, en Chine, le 31 décembre 2019. L’ONU et l'OMS travaillent en étroite collaboration avec les experts mondiaux, les gouvernements et les partenaires pour suivre la propagation et la virulence du virus et donner des conseils aux pays et aux individus sur les mesures à prendre pour protéger la santé et empêcher la propagation de cette flambée.
Malgré l'augmentation de l'espérance de vie, la progression des pathologies chroniques et non transmissibles est aujourd'hui une menace mondiale. Maladies cardiovasculaires, cancers, diabète, obésité : chaque année, 15 millions de personnes meurent avant l'âge de 70 ans à cause de ces pathologies. Les maladies chroniques et non transmissibles sont devenues une préoccupation croissante dans tous les pays, quel que soit le niveau de revenu, explique la Banque mondiale.
Si les tendances actuelles se poursuivent, le monde connaîtra une augmentation de 60 % des cas de cancer au cours des deux prochaines décennies. Plusieurs mesures pourraient sauver 7 millions de vies.
En 2020, 4,1 millions de filles dans le monde risquent de subir des mutilations génitales féminines. Les filles qui subissent des mutilations génitales féminines font face à des complications à court terme, telles que des douleurs intenses, des saignements excessifs, des infections et des difficultés à uriner, ainsi qu'à des conséquences à plus long terme pour leur santé sexuelle et reproductive et leur santé mentale. L’objectif de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (6 février) est d’intensifier les efforts internationaux visant à éliminer cette pratique.
En réponse à la multiplication des fermetures d'écoles et d'universités pour contenir la propagation du coronavirus (Covid-19), un élève sur cinq est privé d'enseignement. Il s'agit d'un chiffre sans précédent. L'UNESCO apporte un soutien immédiat aux pays, notamment en proposant des solutions pour un enseignement à distance inclusif.
Au Guatemala, le système de santé publique peine à répondre aux demandes d’une population vieillissante et en constante croissance. Des ressources limitées, des frais médicaux élevés, des infrastructures de mauvaise qualité et la perception d’un taux élevé de corruption dans le secteur public ne font qu’ajouter aux obstacles auxquels fait face le système de santé. Le Bureau des Nations Unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS) joue un rôle important dans le renforcement des capacités institutionnelles.
La est la première cause infectieuse de mortalité chez l’enfant. On estime qu’elle provoque 15 % du nombre total de décès d’enfants de moins de 5 ans dans le monde. Du 29 au 31 janvier, neuf organisations non gouvernementales ou internationales, dont le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), se réunissent à Barcelone, en Espagne, à l’occasion du premier forum mondial consacré à la pneumonie de l’enfant. Elles doivent y décider des mesures concrètes pour prévenir et lutter contre cette .
Ce que nous mangeons et buvons peut affecter notre capacité à lutter contre les infections et le risque de problèmes de santé à un âge plus avancé, rappelle l'Organisation mondiale de la Գé (OMS).