L’année 2020 a été une année sans précédent pour l’Organisation mondiale de la Գé (OMS)/Europe. La lutte contre la COVID-19 a dominé les activités menées par l’OMS dans le monde entier, y compris dans la zone européenne, avec l’aide et la coopération internationales. Retour sur certains des moments clés de ces 12 derniers mois.
Գé
Comme en témoigne , les grandes maladies infectieuses et les épidémies ont des effets dévastateurs sur la vie humaine, avec des conséquences désastreuses sur le développement social et économique à long terme. Faute d’attention de la part de la communauté internationale, les futures épidémies pourraient dépasser les précédentes en termes d’intensité et de gravité. C’est la raison pour laquelle il est primordial de renforcer la sensibilisation, l’échange d’informations, les connaissances scientifiques et les bonnes pratiques en matière de mesures efficaces de prévention et de riposte aux niveaux local, national, régional et mondial. Le 27 décembre est désormais la Journée internationale de la préparation aux épidémies.
Pendant les fêtes, les gens voyagent et se rassemblent, ce qui favorise la propagation du virus. C'est pourquoi, le Bureau régional de l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) pour l'Europe encourage les individus à rester chez soi.
Des systèmes de santé robustes pour distribuer les vaccins anti-COVID
Comment assurer une distribution efficace et équitable des vaccins COVID-19 à toutes les personnes qui en ont besoin à travers le monde ? Quels sont les défis propres à chaque pays en développement ?
Les maladies non transmissibles représentent 7 des 10 principales causes de décès dans le monde, selon les estimations sanitaires mondiales de l’Organisation mondiale de la Գé (), couvrant la période allant de 2000 à 2019 inclus.
En cette fin d’année bouleversée par la pandémie de COVID-19, les familles se préparent à passer une période de fêtes un peu particulière, voir même à renoncer aux festivités. En Belgique et en France, des initiatives solidaires se multiplient, en particulier pour aider les personnes pauvres et vulnérables.
Par le
Coup d’envoi d’une campagne mondiale d’un an de l’Organisation mondiale de la Գé (), qui lancera sur WhatsApp le nouveau Défi « J’arrête de fumer », en publiant « Plus de 100 raisons d’arrêter de fumer ».
La a mis sur pied une réponse sanitaire d'urgence d’une rapidité et d’une ampleur sans précédent dans son histoire. Ce soutien s'est d'abord attaché à renforcer les systèmes de santé afin de relever les défis immédiats posés par la COVID-19. De l'Afghanistan à Haïti, en passant par l'Inde, la Mongolie ou le Tadjikistan, les fonds du Groupe de la Banque mondiale ont permis de renforcer les équipes médicales et d'assurer qu'elles soient bien formées et équipées pour dispenser des soins d'urgence. Dans d'autres pays, ils ont contribué à la diffusion rapide de messages de prévention et de protection auprès de la population.
Au Kenya, le créateur de mode kenyan David Avido, 24 ans, distribue gratuitement des masques de protection. Ses masques ne sont pas seulement esthétiques, ils avertissent également ses concitoyens de la menace du coronavirus et de l’importance des mesures préventives.
L’industrie du tabac cible la génération à venir
Chaque année, 8 millions de personnes meurent avant l’heure à cause de complications liées au tabac. Les nouvelles cibles de l’industrie sont aujourd’hui les enfants et les adolescents, qui se laissent prendre par ces habitudes néfastes sans s’en rendre compte.
Ce mois-ci, le gouvernement du Niger a accepté d’ouvrir la frontière pour faciliter le retour de 1 400 Nigériens bloqués dans différents endroits du Burkina Faso.
Même lorsque la pandémie de COVID-19 aura cessé, l’ensemble de la population mondiale continuera à en ressentir les effets pendant des années, même si le prix à payer sera très différent selon les situations, explique le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Alors que certaines écoles rouvrent progressivement leurs portes après plusieurs semaines de fermeture, l’ONU et ses partenaires continuent d’apporter leur soutien aux enfants afin qu’ils puissent poursuivre leur apprentissage par tous les moyens possibles, Internet, radio ou encore télévision. L’UNESCO a ainsi lancé un appel à soutenir l’apprentissage et le partage de connaissances à travers le monde en utilisant les , des matériels d’apprentissage, d’enseignement, et de recherche sur tout format et support, relevant du domaine public ou bien protégés par le droit d’auteur et publiés sous licence ouverte, qui autorisent leur consultation, leur réutilisation, leur utilisation à d’autres fins, leur adaptation et leur redistribution gratuites par d’autres.
Le virus de la COVID-19 n'attaque pas seulement notre santé physique, mais aussi notre santé mentale. Certains groupes de la population sont particulièrement touchés par la détresse psychologique pendant cette pandémie, comme les personnels de santé mais aussi les enfants et les personnes âgées. Alison Brunier, chargée de la communication à l’OMS, fait le point sur la situation de la santé mentale dans le monde aujourd'hui.
6 façons de soutenir les petits exploitants
Les petits exploitants agricoles sont en première ligne, pour préserver le fonctionnement de la chaîne d'approvisionnement alimentaire pendant la pandémie de COVID-19. Cependant, les restrictions de mouvement contraignent leur capacité à vendre leurs produits ou à acheter des semences.