La pandémie de COVID-19 s’accompagne sur les réseaux sociaux d’un déluge d’informations, dont bon nombre se révèlent fausses voire malveillantes. En riposte à ce phénomène qu’elles qualifient d’ « infodémie », les Nations Unies intensifient leur lutte contre les différentes formes de désinformation, tout en combattant l’exploitation de la crise par des cybercriminels.
Գé
Encore relativement épargnées au début du mois, l’Amérique latine et les Caraïbes sont à leur tour durement frappées par la pandémie de COVID-19. Devant la montée en flèche des contaminations, les Nations Unies appuient les efforts nationaux destinés à soutenir des systèmes de santé soumis à rude épreuve et s’emploient à alléger les impacts socio-économiques sur les populations les plus vulnérables.
Le Secrétaire général de l’ONU s’est dit profondément reconnaissant envers toutes les personnes qui travaillent, 24 heures sur 24, en prenant des risques pour lutter contre les ravages de la pandémie de COVID-19, en particulier les professionnels de la santé. Pour appuyer leurs efforts sans relâche, l’ONU mise aussi sur l’innovation technologique afin de freiner la propagation du virus. Outils et applications numériques, engins robotisés, intelligence artificielle : il s’agit de mobiliser toutes les ressources, notamment celles de la communauté technologique mondiale.
Les Nations Unies et leurs agences travaillent en partenariat avec les pays pour répondre à la pandémie de COVID-19. Selon l'Organisation mondiale de la Գé (OMS), le fort soutien exprimé envers l'Afrique lors de la récente réunion des pays du G20 doit être accéléré car, même si les chiffres en Afrique sont encore relativement faibles, ils sont néanmoins en augmentation. Parmi les 47 pays de la Région Afrique de l’, près de 60% signalent des cas de COVID-19 à plusieurs endroits, notamment dans les zones rurales qui n’ont souvent pas les ressources des centres urbains.
Le 23 mars dernier, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, lançait un appel à un cessez-le-feu immédiat partout sur la planète en vue de renforcer l’action diplomatique, de créer les conditions nécessaires à l’acheminement d’une aide vitale et de ramener l’espoir dans les endroits qui sont parmi les plus exposés à la pandémie de COVID-19. Plusieurs , des personnalités du monde entier, ont apporté leur soutien à cet appel. Tout le monde peut signer pour faire taire les armes au milieu de la crise du COVID-19.
L'Organisation mondiale de la Գé (OMS), l'agence sanitaire des Nations Unies, joue un rôle crucial dans la lutte contre la pandémie de COVID-19, depuis que les premiers cas ont été identifiés dans la ville chinoise de Wuhan en décembre. Son Directeur général, Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, a présenté cinq moyens par lesquels l'agence mène la riposte mondiale : en aidant les pays à se préparer et à réagir, en fournissant des informations fiables et précises, en veillant à ce que les fournitures vitales parviennent aux travailleurs de santé, en assurant des formations et en aidant à la recherche d'un vaccin.
Le HCR nous présente quelques-unes de ces milliers de bonnes actions entreprises à travers le monde par et auprès des plus vulnérables pour lutter contre la pandémie.
« Cette crise exige ce qu'il y a de mieux dans l'humanité, avec des principes éthiques comme boussole », souligne la Directrice générale de l’UNESCO, préoccupée par les menaces potentielles à l’égard des plus vulnérables en matière de droits de l'homme, de vie privée et de normes éthiques. Des experts de l’UNESCO ont publié une déclaration pour guider les décideurs politiques et informer le public sur les considérations éthiques essentielles qui doivent être prises en compte dans la lutte mondiale contre cette pandémie.
La Journée mondiale de la santé, ce mardi 7 avril, est l’occasion de rendre hommage au travail du personnel infirmier et des sages-femmes à l’heure où de nombreux pays luttent contre la pandémie de COVID-19. Il s’agit de rappeler aux dirigeants de la planète le rôle déterminant que ces personnels jouent, au quotidien, pour préserver la santé des populations. En cette Année internationale des sages-femmes et du personnel infirmier, l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) rappelle qu’il est vital de faire en sorte que ces ressources humaines soient suffisamment solides afin que, partout, chacun puisse bénéficier des soins dont il a besoin. Le 7 avril, l’OMS publiera le premier rapport sur le personnel infirmier dans le monde.
Alors que la pandémie de COVID-19 continue de se propager dans de nombreux pays, les pratiques de distanciation physique et sociale deviennent de plus en plus courantes. Mais cela ne signifie pas pour autant que nous devons cesser d'être actifs et que nous devons couper les liens avec nos entraîneurs, nos coéquipiers ou nos instructeurs. D'ici au 6 avril, date de la , vous pouvez participer à plusieurs campagnes sur les réseaux sociaux afin de rester en bonne santé et de faire preuve d'actes de solidarité.
Le sur le coronavirus dispense des conseils simples et concrets destinés aux professionnels de santé, aux éducateurs, aux associations, aux pouvoirs locaux et aux entreprises.
L'Agence des océans, partenaire du PNUE, vous invite à explorer les océans et leurs formes de vie étonnantes... de chez vous.
Afin de se préparer à une récession mondiale conséquente à la pandémie de COVID-19, le Groupe de la Banque mondiale s’engage à déployer jusqu’à 160 milliards de dollars d’engagements au cours des 15 prochains mois. Ces opérations, qui seront adaptées à la nature du choc subi par chaque pays, comprendront des financements en soutien à la lutte contre la pauvreté, à la protection sociale et aux réformes structurelles, dans l’objectif d'accélérer la vitesse de rétablissement et d’installer les conditions d’une croissance diversifiée et durable.
Les Nations Unies ont besoin de deux milliards de dollars afin de protéger des millions de personnes et d’empêcher le nouveau coronavirus de refaire le tour du monde. Une approche globale est la seule façon de lutter contre le COVID-19, a souligné l’ONU, lors du lancement de ce ǴǰDzԲé.
Face à la pandémie de COVID-19 dans le monde, les équipes de pays des Nations Unies renforcent leur soutien aux autorités nationales, tout en apportant leur appui aux intervenants de première ligne et en aidant les pays vulnérables à renforcer leur infrastructure de santé. L'Organisation mondiale de la Գé (OMS), en collaboration avec ses partenaires, fait en sorte que les fournitures essentielles, notamment les équipements de protection, parviennent aux professionnels qui soignent les patients dans les services.