Le Tribunal d'appel a rejeté l'appel. Le Tribunal d'appel a estimé que l'UNDT avait correctement jugé que la demande de M. Qasem devant l'UNDT contestant la décision de le placer en congé administratif avec traitement avait été déposée hors délai et n'était donc pas recevable ratione temporis. En outre, sa demande contestant la décision de mener diverses enquêtes à son sujet n'était pas recevable ratione materiae en l'absence d'une demande de révision de la décision.
Article 8.3
L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.
L'UNAT a estimé que le raisonnement suivi par le DT de l'UNRWA pour refuser une audience parce que le fonctionnaire n'avait pas établi que son recours était recevable était ex post facto et, par conséquent, erroné.
L'UNAT a constaté qu'il y avait une erreur dans le calcul de l'indemnité par le DT de l'UNRWA en remplacement de l'annulation de la décision de non-sélection, car il n'y avait aucune preuve pour étayer la conclusion selon laquelle l'UNRWA l'aurait jugé inapte à occuper ce poste à la fin de la période. période de probation.
...Le commissaire général a fait appel.
L'UNAT a estimé que dans la mesure où la décision de l'Agence du 25 avril 2019 rejetant la demande de SPOA n'aurait pas pu être sans équivoque, cette décision a été réitérée dans le courrier électronique du 17 juin 2019, ne laissant aucun doute sur le fait que l'Agence avait alors décidé de payer Mme Abou Salah une SPOA de 15 pour cent au lieu de 25 pour cent, peut-être en violation de son contrat. Le fait que d’autres personnes aient par la suite cherché à intervenir en sa faveur n’y change rien.
L’UNAT a estimé que la correspondance ultérieure de Mme...
L'UNAT a estimé que l'UNRWA DT avait exercé son pouvoir discrétionnaire pour procéder par jugement sommaire, sans examiner le fond de l'affaire, de manière légale et appropriée. Elle a estimé que de cette manière, la DT de l'UNRWA avait agi non seulement conformément aux principes d'économie et d'efficacité judiciaires, mais également dans l'intérêt d'un règlement rapide de l'affaire. L'UNAT a constaté que le requérant a reçu la décision administrative contestée le 3 novembre 2009 et a déposé sa demande auprès du DT de l'UNRWA le 12 août 2022. Il était donc évident qu'il avait déposé sa...
Unat a considéré un appel de M. Zaqqout. En ce qui concerne une audience orale, UNAT a constaté que, puisque la demande avait été rejetée pour des motifs de créance, les arguments de M. Zaqqout n'étaient pas suffisamment convaincants afin de justifier une audience orale à ce stade. Certaines des questions soulevées dans l’appel ont été liées au fond de la demande de M. Zaqqout et n’ont pas atteint le seuil de l’évaluation de la création. Étant donné que M. Zaqout a été informé au stade très précoce de la procédure de l'allégation de l'UNRWA selon laquelle il avait été informé de la décision...
Unat a considéré un appel de Mme Matahen. Unat a jugé que son appel était défectueux en ce qu'il n'avait identifié aucun des cinq motifs énoncés à l'article 2, paragraphe 1, du statut du tribunal d'appel comme formant la base juridique de son appel. En ce qui concerne la demande écrite de Mme Matahen pour une prolongation du délai pour déposer une demande, Unat a jugé que l'UNRWA DT ne s'est pas trompé en concluant que son allégation avait découvert que le 17 août 2020, une autre demande similaire de retraite volontaire précoce avait été accordée par l'UNRWA, ne constituait pas une...
UNAT a noté que l'analyse de l'UNRWA DT sur la question de savoir si M. Faour avait demandé en temps opportun l'examen de la décision de ne pas renouveler son contrat, l'UNRWA DT s'est concentré sur la lettre omnibus de M. Faour (du 17 décembre 2018) à son supérieur contenant de nombreuses plaintes, y compris une demande pour examen de son examen des performances, mais aucune demande d'examen de la décision contestée (la non-renouvellement de son contrat). Unat a cependant constaté que d'autres correspondances de M. Faour qui étaient dans les 60 jours statutaires pour demander un examen de la...
Unat a jugé que la détermination du directeur du bureau d'éthique qu'aucune représailles ne s'était produite constituait une décision administrative qui a été directement au fond de l'affaire et ne pouvait pas être soumise à un appel interlocutaire. Unat a jugé que l'appel contre l'ordonnance de la production de documents de l'UNRWA DT n'était pas à recevoir, car il a été lié à l'absence présumée de compétence. Notant que l'appelant ne serait pas en mesure de soulever ses problèmes dans un appel contre le jugement définitif, car il n'a pas déposé de demande à Unrwa DT et Unrwa DT n'avait pas...
Unat a tenu qu'il n'y avait aucune erreur dans la conclusion de l'UNRWA DT que la demande était barrée dans le temps. Unat a jugé que l'UNRWA DT a, en principe, le pouvoir discrétionnaire d'accepter la réponse tardive de l'UNRWA dans les circonstances où Un Unrwa n'a pas déposé de requête demandant l'autorisation pour le faire et sans proprio motu ordonnant à Unrwa de déposer une réponse. Notant que la réponse de l'administration était due avant le début de la période de transition dans le nouveau système de justice, Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur lorsqu'elle a accordé une...
Unat a jugé que la circulaire pertinente contenait tous les composants nécessaires pour donner naissance à des conséquences juridiques pour le personnel frappant et qu'il avait une demande individuelle. Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait commis aucune erreur légale lorsqu'il a décidé que la décision administrative pertinente aux fins de l'ancienne règle du personnel de la région 111.3 était la décision communiquée par la circulaire et que l'UNRWA DT a correctement déterminé le terminus un quo aux fins de l'informatique le moment de demander un examen administratif. Unis a confirmé la...