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Compensation

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2023-UNAT-1372, AAM

À titre préliminaire, l’UNAT a accédé à la demande d’anonymat d’AAM. Considérant que le jugement contenait des détails médicaux concernant AAM, l'UNAT a jugé nécessaire de protéger ses informations confidentielles.

L’UNAT a estimé qu’il y avait quatre questions à trancher en appel : 1) la question de savoir si l’appel d’AAM était théorique/prématuré à la lumière d’une décision médicale en cours ; 2) si le Tribunal a commis une erreur en concluant que le Contrôleur avait le pouvoir délégué de rejeter la demande d’indemnisation d’AAM au titre de l’Annexe D ; 3) si le Tribunal a commis une...

Résiliation et indemnité compensatrice selon l'art. 10.5(a) du Statut du Tribunal du contentieux administratif

Considérant que les éléments de preuve fournis par le défendeur montrent que la durée de la plupart des anciens renouvellements de l'engagement de durée déterminée du requérant, y compris le dernier renouvellement régulier, était d'un an et qu'il n'y a aucune attente de renouvellement pour une durée déterminée nomination, le Tribunal a déterminé que le montant de l'indemnité compensatoire doit être égal à un an de salaire de base net.

Indemnisation du préjudice selon l'art. 10.5(b)...

Le TANU a souscrit à la décision du Tribunal des Nations Unies selon laquelle la décision de publier un communiqué de presse en réponse aux allégations selon lesquelles le HCDH aurait mis en danger la vie des défenseurs chinois des droits de l'homme qui ont assisté au Conseil des droits de l'homme à Genève en mars 2013 relevait du pouvoir discrétionnaire de l'Organisation et constituait une décision de gestion. prérogative. L'UNAT a estimé que la partie spécifique du texte qui concernait la question de la communication des noms de militants chinois des droits de l'homme au gouvernement chinois...

Le Tribunal a établi qu'il n'y avait aucun élément de preuve à l'appui de la position de l'Administration. Par conséquent, le Tribunal a conclu que la décision contestée était arbitraire, capricieuse et illégale.

En ce qui concerne la demande de dommages-intérêts du demandeur, le Tribunal a conclu qu'aucune preuve n'avait  été présentée par le demandeur et qu'il n'avait donc pas supporté son fardeau de production et de preuve.

À la lumière des conclusions du Tribunal, l'intimé a été condamné à payer au demandeur quatre mois d'intérêts sur l'argent qui lui était dû, calculés au taux...

L'UNAT a estimé que, parce que le licenciement avait été annulé et que M. Mukhopadhyay avait été réintégré à la suite du premier jugement, l'appel du deuxième jugement était devenu sans objet car il ne pouvait y avoir aucun droit à un préavis de licenciement conformément aux règlements et règles applicables. L'UNAT a donc fait droit à l'appel du Secrétaire général et annulé le deuxième jugement.

L'UNAT a jugé irrecevable l'appel incident de M. Mukhopadhyay demandant une indemnisation pour les dommages indirects, une indemnisation pour le préjudice moral et les dépens. L'UNAT a constaté qu'il...

Le Secrétaire général a interjeté un appel.

L'UNAT a estimé que la conclusion selon laquelle il n'y avait pas de lien de causalité entre l'activité protégée de Mme Fosse et le comportement préjudiciable du Secrétaire exécutif était une conclusion qu'un administrateur raisonnable pouvait tirer. La conclusion selon laquelle il n'y avait pas de lien de causalité reposait sur l'enquête du BSCI, ses contacts avec d'autres membres du personnel, les informations documentaires prouvant la relation problématique essentiellement incontestée entre Mme Fosse et le Secrétaire exécutif, la mauvaise...

 

Le Tribunal a établi qu'il n'y avait aucun élément de preuve à l'appui de la position de l'Administration. Par conséquent, le Tribunal a conclu que la décision contestée était arbitraire, capricieuse et illégale.

En ce qui concerne la demande de dommages-intérêts du demandeur, le Tribunal a conclu qu'aucune preuve n'avait  été présentée par le demandeur et qu'il n'avait donc pas supporté son fardeau de production et de preuve.

À la lumière des conclusions du Tribunal, l'intimé a été condamné à payer au demandeur quatre mois d'intérêts sur l'argent qui lui était dû, calculés au taux...

L'UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT. L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait conclu à juste titre que le décideur n'avait pas exercé correctement son pouvoir discrétionnaire, dans la mesure où l'Agence avait illégalement versé à Mme Jarallah une SPOA de 25 pour cent au lieu d'une SOA de 35 pour cent qui était stipulé dans son contrat. contrat d'embauche.

L'UNAT a constaté qu'il existait un contrat de travail valide et contraignant entre Mme Jarallah et l'Office. La description de poste contenue dans l'avis de vacance, faisant référence à la SOA de 35 pour cent...

L'UNAT a estimé que la Commission paritaire de recours avait apporté des modifications internes considérables à sa législation pour satisfaire aux exigences de l'article 2(10) du Statut du Tribunal d'appel. Elle a estimé que la Commission paritaire de recours ne fournissait plus uniquement des conseils ou de simples recommandations au Secrétaire général de l'ISA, mais plutôt des décisions finales et, par conséquent, constituait une procédure neutre de première instance.

L'UNAT a estimé que la simple lecture des faits ne laissait aucun doute sur le fait que : i) au moment où la décision...

L’UNAT a estimé qu’il n’y avait aucune raison pour que le Tribunal d’appel intervienne et modifie les conclusions du Tribunal, qui étaient à la fois raisonnables et équitables. L'UNAT a noté que même si l'embauche de travailleurs occasionnels ne faisait pas partie des fonctions officielles de M. Saleh, M. Saleh coordonnait et supervisait le travail du partenaire d'exécution du HCR qui était responsable du recrutement à l'entrepôt, et que M. Saleh avait également la responsabilité de recruter des travailleurs occasionnels. fonction de superviser les opérations d’entreposage. Compte tenu de ces...