Unat a considéré un appel du Secrétaire général limité à la question de l'indemnisation. Unat a jugé que l'appel devait être autorisé en partie parce que Undt a commis une erreur en fixant l'indemnisation au lieu de réintégration au salaire de base net de deux ans sans considérer que les nominations précédentes de M. Gakumba étaient d'un an chacune. Unat a jugé que l'espérance de renouvellement ne pouvait pas être fixée au-delà d'une telle période et a donc réduit l'indemnisation au salaire de base net d'un an. Unat a confirmé le jugement de l'UNT sur la rémunération des dommages-intérêts non...
Expiration de l'engagement (voir aussi, Non-renouvellement)
Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis d'erreur de fait ou de loi lorsqu'il a conclu que la différence de traitement entre l'appelant et ses anciens collègues qui avaient subi un processus de sélection concurrentiel était légal. Unat a jugé qu'il était raisonnable et licite de les traiter différemment au moment de décider de la prolongation possible de sa nomination à durée déterminée, car l'égalité signifiait non seulement l'égalité de traitement des égaux mais aussi le traitement inégal de l'inégal. Unat a soutenu qu'il n'y avait pas de défaut dans la motivation du jugement contesté qui...
UNAT a considéré l’appel du Secrétaire général quant à savoir si l’UNDT a commis une erreur en ordonnant à la fois une prolongation de la nomination de M. Sannoh et le paiement d’une indemnité de résiliation. L'UNAT a noté que la circulaire d'information de l'UNMIS n ° 334 à condition que le personnel de nominations à durée déterminée qui expirera sous peu aurait ses nominations prolongées pour un an et que la fonction d'un membre du personnel ne sera plus exigée par la mission avant l'expiration de l'expiration de Leur nomination à durée déterminée, une indemnité de résiliation peut être...
L'UNAT a considéré les appels de M. Mr. Said, limité au montant des dommages-intérêts accordés et par le Secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis plusieurs erreurs de droit lorsqu'elle a révélé que la décision de l'UNICEF de ne pas renouveler le contrat de M. Said pour une mauvaise performance n'était pas étayée par son rapport d'évaluation des performances (PER) et était illégale. Unat a jugé que UNDT n’ait accordé aucune déférence à la conclusion de l’UNICEF selon laquelle les performances de M. Said étaient médiocres et, au lieu de cela, UNT se sont placées dans le rôle du...
Unat a soutenu que l'UNDT a correctement rejeté les revendications de l'appelant concernant le non-renouvellement de sa nomination et sa réaffectation comme non à recevoir car ils étaient barrés. Lors de l'annulation de son congé administratif, Unat a jugé que Undt a constaté correctement qu'il n'y avait pas de décision défavorable affectant ses conditions d'emploi. Unat a jugé que la décision de mettre fin à l'autorisation administrative et de ne pas poursuivre des mesures disciplinaires n'était pas une décision administrative en ce qu'elle n'avait pas de conséquences juridiques ou d'impact...
Notant qu'il était clair que l'intention était de revoir les décisions antérieures en effectuant un examen du personnel affecté, de décider à nouveau l'affaire et de publier de nouvelles notifications, Unat a jugé que la décision de juin allait au-delà de la simple réitération et constituait une nouvelle décision administrative substituant implicitement la décision précédente. Unat a soutenu que UNDT avait commis une erreur dans ses conclusions que la demande n'était pas à recevoir. Unis a confirmé l'appel, annulé le jugement de l'UNT et renvoyé l'affaire à undt pour examen sur le fond.
Sur la question du refus de UNDT de la demande de confidentialité de l’appelant, Unat a jugé que l’UNDT ne se trompait pas en droit ou en fait en refusant sa demande comme si la confidentialité était attachée à l’identité de chaque membre du personnel, il n’y aurait pas de transparence. L'UNAT n'a pas admis en preuve de documents supplémentaires car ils n'étaient pas utiles et il n'y avait pas de circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que l'appelant faisait simplement référence à la référence au motif d'appel de la loi de l'UNAT et n'offrait aucune autorité légale pour soutenir ses...
Unat a considéré le contenu de l'appel de l'appelant, le jugement de l'UNRWA et la demande de rémunération de l'appelant pour les dommages et frais et frais moraux. Unat a constaté que l'appel de l'appelant était défectueux en ce qu'il n'avait identifié aucun des cinq motifs d'appel indiqués à l'article 2, paragraphe 1, de la loi comme formant la base juridique de son appel. Unat a également jugé qu'il n'y avait aucune erreur dans les conclusions de l'UNRWA DT selon lesquelles la décision de l'administration de ne pas confirmer la nomination de l'appelant était uniquement basée sur sa...
Unat considérait l'appel de l'appelant. UNAT a examiné les critères exposés à l'article 2 du statut de l'UNAT pour déterminer si des erreurs de droit et des faits présumés ont entraîné une décision manifestement déraisonnable. UNAT a constaté qu'il n'y avait aucune preuve que la décision d'abolir le poste encombré par l'appelant était illégale. Unat a également constaté que la décision de l'UNRWA DT était correctement basée sur la loi applicable et les preuves disponibles. À cette fin, Unat a jugé que l'appelant n'avait pas établi que l'UNRWA DT avait commis une erreur, que ce soit de droit...
Unat a réfléchi à la question de savoir si undt a commis une erreur en concluant que la décision de ne pas renouveler la nomination de l'appelant et de la séparer du service au motif qu'elle n'a pas signé les lettres de nomination contenant les extensions de sa nomination à durée déterminée. Unat a noté que lorsqu'une lacune de performance est identifiée, des actions de réparation peuvent être mises en place et si la lacune n'est pas rectifiée, un PIP doit être préparé. Unat a en outre noté qu'en l'absence de toute disposition explicite établissant le contraire, le processus de réfutation n'a...