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2014-UNAT-442, El-Khalek

Décisions du TANU ou du TCNU

Unrwa dt a considéré un appel du commissaire général. Unat a jugé que l'UNRWA DT ne s'est pas trompé en fait ou en droit, comme la viciation de son jugement, sauf en ce qui concerne l'attribution de l'indemnisation. Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas dépassé son rôle pour examiner judicillement la décision administrative imposant une mesure disciplinaire au membre du personnel et mettant fin à sa nomination. Unat a jugé que l'administration n'avait pas démontré que le membre du personnel avait commis l'inconduite grave dont il avait été accusé, car non seulement la procédure ne lui a pas donné une opportunité adéquate pour se défendre en train de violer son droit à une procédure régulière, mais aussi Il n'y avait pas suffisamment de preuves à l'appui de l'accusation. L'UNAT a jugé que l'enquête administrative était imparfaite car elle ne s'appuyait pas sur des preuves dignes de confiance, car le deuxième rapport d'enquête semblait être principalement basé sur des ouï-dire ou des témoignages incohérents non soumis à un contre-interrogatoire. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait conclu correctement qu'il y avait une violation des droits à une procédure régulière. Unat a jugé que l'illégalité du licenciement provenait de deux sources différentes et que la résiliation de la décision administrative ordonnée par Unrwa dt devait être confirmée. Unat a jugé que la rémunération au lieu de réintégration, établie au salaire de base net de quatre ans, devait être partiellement annulée parce que l'UNRWA DT n'avait pas démontré une raison suffisante pour dépasser la limite légale moyenne de deux ans. Unat a jugé que l'indemnisation des dommages moraux semblait adéquate, étant donné le raisonnement bien fondé de l'UNRWA DT sur les conséquences négatives importantes créées par une sanction grave en tant que celle illégale subie par ce membre du personnel. Immêlé par l'appel en partie, a confirmé le jugement de l'UNRWA en partie et a réduit l'indemnisation au lieu de réintégration au salaire de base net de deux ans.

Décision Contestée ou Jugement Attaqué

Jugement de l'UNRWA DT: Le demandeur a contesté la décision de résilier sa nomination pour faute. L'UNRWA DT a trouvé la réponse de l'UNRWA, plus de deux ans après la date limite applicable sans autorisation pour déposer une réponse tardive ou participer à la procédure, car elle était dans l'intérêt de la justice pour que l'UNRWA soit autorisé à participer à l'affaire. Unrwa dt a annulé la décision contestée, ordonnant à la requérante d'être rétroactivement réintégré, puis a offert la retraite volontaire précoce qu'il avait demandée, avec des droits et des droits connexes, ou, dans la compensation alternative, au montant du salaire de base net de quatre ans. L'UNRWA DT a également accordé des dommages moraux de 20 000 USD.

Principe(s) Juridique(s)

Un appel avant Unat ne constitue pas une occasion de réessayer une affaire: la fonction d'UNAT implique la tâche de déterminer si le tribunal des litiges a commis des erreurs de fait ou de loi, a dépassé sa juridiction ou sa compétence, ou n'a pas exercé sa juridiction. L'examen judiciaire d'une affaire disciplinaire exige que le tribunal des litiges examine les preuves produites et les procédures utilisées au cours de l'enquête.

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Appel accordé en partie

Le Bureau de l'Administration de la Justice (BAJ) a préparé ce résumé de la jurisprudence a titre informatif seulement. Il ne s'agit pas d'un document officiel et il ne faut pas s'y fier comme une interprétation faisant autorité des décisions des Tribunaux. Pour les textes faisant autorité des décisions, veuillez-vous référer au jugement ou à l'ordonnance rendue par le Tribunal respectif. Les Tribunaux sont les seuls organes compétents pour interpréter leurs jugements respectifs, conformément à l'article 12(3) du Statut du Tribunal du Contentieux Administratif des Nations Unies (TCANU) et à l'article 11(3) du Statut du Tribunal d'Appel des Nations Unies (TANU). Toute inexactitude dans cette publication relève seulement la responsabilité du BAJ, qui doit être contacté directement pour toute demande de correction. Pour faire part de vos commentaires, n’hésitez pas à communiquer avec BAJ à oaj@un.org

Les résumés des jugements étaient généralement préparés en anglais. Ils ont été traduits en ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ et sont en cours d'examen pour en vérifier l'exactitude.