Ãå±±½ûµØ

2013-UNAT-302, Applicant

Décisions du TANU ou du TCNU

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que le poids des preuves, dans cette affaire, justifiait la décision prise par l'UNICEF. Unat a détenu, tout en reconnaissant l'importance de la confrontation et du contre-interrogatoire de témoins, que la procédure régulière n'a pas toujours exigé qu'un membre du personnel se défend contre les mesures disciplinaires pour un licenciement sommaire ait le droit de confronter et de contre-interroger ses accusateurs. Dans certaines circonstances, le déni de ce droit n'a pas nécessairement défavorablement défavorisé tout le processus, tant qu'il a été établi pour la satisfaction d'UNAT que l'accusé avait offert des opportunités justes et légitimes de défendre sa position. En l'espèce, UNAT était convaincu que les éléments clés des droits du membre du personnel ont été respectés: il a été pleinement informé des accusations portées contre lui et de l'identité de ses accusateurs et de leur témoignage. Unat a jugé que le membre du personnel avait pu monter une défense et remettre en question la véracité de ses déclarations. Non soutenu l'appel et annulé le jugement de l'UND.

Décision Contestée ou Jugement Attaqué

Jugement de l'UNT: le demandeur a contesté la décision de le rejeter sommairement en fonction d'allégations de harcèlement sexuel. UNDT a conclu que la sanction du licenciement sommaire était fondée sur des accusations non fondées et que les droits de la procédure régulière du demandeur ont été violés lorsqu'il ne pouvait pas contre-interroger les plaignants, qui ne se sont pas présentés à l'audience avant UNDT.

Principe(s) Juridique(s)

La procédure régulière n'exige pas toujours qu'un membre du personnel se défend contre les mesures disciplinaires pour un licenciement sommaire ait le droit de confronter et de contre-interroger ses accusateurs.

¸éé²õ³Ü±ô³Ù²¹³Ù
Appel accordé

Le Bureau de l'Administration de la Justice (BAJ) a préparé ce résumé de la jurisprudence a titre informatif seulement. Il ne s'agit pas d'un document officiel et il ne faut pas s'y fier comme une interprétation faisant autorité des décisions des Tribunaux. Pour les textes faisant autorité des décisions, veuillez-vous référer au jugement ou à l'ordonnance rendue par le Tribunal respectif. Les Tribunaux sont les seuls organes compétents pour interpréter leurs jugements respectifs, conformément à l'article 12(3) du Statut du Tribunal du Contentieux Administratif des Nations Unies (TCANU) et à l'article 11(3) du Statut du Tribunal d'Appel des Nations Unies (TANU). Toute inexactitude dans cette publication relève seulement la responsabilité du BAJ, qui doit être contacté directement pour toute demande de correction. Pour faire part de vos commentaires, n’hésitez pas à communiquer avec BAJ à oaj@un.org

Les résumés des jugements étaient généralement préparés en anglais. Ils ont été traduits en ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ et sont en cours d'examen pour en vérifier l'exactitude.