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ICSC Normes de conduite pour la fonction publique internationale

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Le TANU a estimé que le TNDU avait commis une erreur en estimant que la circulaire ST/SGB/2003/13 imposait l'existence d'un "avantage indu" pour qu'il y ait exploitation sexuelle.  Le TANU a également conclu que l'ancien membre du personnel avait abusé de la position de vulnérabilité de V01 à des fins sexuelles (c'est-à-dire en se livrant à au moins quatre actes sexuels), ce qui constitue une exploitation et un abus sexuels.  Le TANU a souligné que l'UNDT elle-même avait reconnu que V01, prétendument mineure, était vulnérable et moins puissante que l'ancien membre du personnel, et que ses...

L’UNAT a estimé que l’éventuelle erreur dans l’appréciation des faits par le Tribunal n’ayant aucune incidence sur l’issue de l’affaire, l’appel incident du Secrétaire général ne pouvait être accueilli.

L'UNAT a estimé que même si un jugement de la Cour ivoirienne déclarant le fonctionnaire coupable de fraude n'avait pas été cité dans la lettre de sanction, cela était sans conséquence car il ressortait clairement du dossier qu'il avait eu connaissance du jugement lorsqu'il avait demandé le position et a complété le PHP en précisant « non » à la question s'il avait « déjà été inculpé, condamné...

L'UNAT a jugé que l'UNDT n'avait pas commis une erreur en jugeant qu'il y avait eu des preuves claires et convaincantes que le membre du personnel avait harcelé d'autres membres du personnel sur une période de temps substantielle et que ce comportement constituait une mauvaise conduite sérieuse. L'UNAT a affirmé qu'il y avait des preuves claires et convaincantes pour soutenir les sept allégations selon lesquelles Mme Iram a utilisé un langage abusif, fait des remarques insultantes, crié et victime d'intimidation, engagé dans un contact inapproprié et établi des contacts indésirables avec des...

L'UNAT a jugé que l'argument du membre du personnel selon lequel le UNT a appliqué la norme de preuve incorrecte n'est pas fondée, car les principaux faits de l'affaire étaient incontestés par les deux parties. Elle avait admis avoir utilisé le compte UPS des femmes de l’ONU pour envoyer deux expéditions privées à l'étranger, sans mentionner aucune autorisation préalable. Les éléments aggravants et atténuants examinés par les UNT étaient par nature périphériques de la sanction imposée. L'UNAT a constaté que même s'il n'était pas approprié pour l'administration d'utiliser un acte préalable d...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a soutenu qu'il ne pouvait pas soutenir la conclusion de l'UNDT que les actions de M. Koutang ne constituaient pas une faute. Unat a jugé que la sanction imposée n'était pas déraisonnable, absurde ou disproportionnée et, en tant que tel, UNAT a jugé qu'il s'agissait d'un exercice raisonnable de la grande discrétion de l'administration en matière disciplinaire. Unat a jugé que Undt avait commis une erreur en constatant que la sanction est disproportionnée et en substituant son opinion à celle de l'administration. UNAT a autorisé l'appel et...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé qu'il était convaincu que l'implication de Mme Akello dans la société privée Blessed Seasons, qui figurait sur une liste des entreprises de l'ONU fournissant des services de véhicules d'escorte, a respecté la norme d'activité commerciale et l'entreprise interdite par l'ancien règlement du personnel 1. 2 (m) et que ses activités équivalaient à un conflit d'intérêts. Unat a jugé que, en jugeant le contraire, undt a commis une erreur en droit et en fait et que l'appel du Secrétaire général a réussi à ce motif. Sur la question de savoir...

Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que le poids des preuves, dans cette affaire, justifiait la décision prise par l'UNICEF. Unat a détenu, tout en reconnaissant l'importance de la confrontation et du contre-interrogatoire de témoins, que la procédure régulière n'a pas toujours exigé qu'un membre du personnel se défend contre les mesures disciplinaires pour un licenciement sommaire ait le droit de confronter et de contre-interroger ses accusateurs. Dans certaines circonstances, le déni de ce droit n'a pas nécessairement défavorablement défavorisé tout le processus...

UNAT a considéré les appels par le membre du personnel et le commissaire général. Unat a jugé que le fait n'était pas contesté que le membre du personnel ait sciemment présenté des références inexistantes malgré leur éthique de l'acceptation du document avec ses qualifications. Unat a jugé que la résiliation n'était pas disproportionnée à l'infraction, en tenant compte du recrutement du membre du personnel, en premier lieu, était fondé sur l'existence d'un degré par la suite établi pour être sans mérite et qui ne l'aurait jamais qualifié pour la sélection par le Organisme. Unat a jugé que l...

Unat a considéré un appel du jugement n ° UNT / 2013/151 par le Secrétaire général. En tant que question préliminaire, Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de droit pour violer la confidentialité d'une lettre et une note pour déposer précédemment l'ordre de garder confidentiel et UNAT a accordé à la requête du Secrétaire général de rédaction de ces paragraphes du jugement contesté. Unat a jugé que UNDT avait commis plusieurs erreurs de droit: (1) en examinant de novo la décision contestée; (2) en omettant de reconnaître, de respecter et de respecter la jurisprudence unat; et (3) en...

Unat a jugé que UNDT avait commis diverses erreurs de droit, de faits et de procédure. Unat a jugé que l'ensemble du raisonnement de l'UNDT a été mal interprété et que UNT n'a pas examiné correctement la légalité de la sanction disciplinaire. Unat a jugé qu'il y avait des preuves claires et convaincantes que l'appelant avait accordé et signé un contrat au nom de l'UNFPA, qu'elle n'avait effectué aucune étude de marché ou envisageait d'autres fournisseurs avant de le faire, qu'elle n'avait pas le pouvoir de signer le contrat et qu'elle a été impliqué dans des activités d'approvisionnement par...