2014-UNAT-486, Khan
En tant que question préliminaire, Unat a nié la demande de l’appelant d’une audience orale. Unat a ensuite examiné les allégations de l'appelant selon lesquelles les faits n'avaient pas été établis par des preuves claires et convaincantes, qu'il y avait des défauts procéduraux pendant la procédure disciplinaire et que sa séparation du service n'était pas justifiée. Unat a jugé que des preuves claires et convaincantes ont montré que l'appelant avait harcelé toutes les victimes présumées et abusé de son autorité, en violation de la politique de harcèlement du PAM. Unat a également jugé que UNDT a constaté correctement que la sanction de séparation du service était proportionnée parce que le harcèlement sexuel est une mauvaise conduite, en particulier lorsque le superviseur d'un membre du personnel est le harceleur. Unat a confirmé la conclusion de l'UNDE qu'il n'y avait pas de circonstances atténuantes ou atténuantes qui justifieraient une sanction moindre. Unat a jugé qu'il n'y avait pas d'irrégularités procédurales et que l'enquête menée était approfondie. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Le demandeur a contesté la décision de le séparer du service pour faute sous forme de harceleur sexuellement et verbalement des membres du personnel et d'abus d'autorité. UNDT a déterminé que la mesure disciplinaire de la séparation du service était proportionnée à la lumière du poste de supervision du demandeur et parce que sa conduite a créé un environnement de travail hostile pour le personnel de son bureau. Undt a rejeté sa demande.
Une administration porte le fardeau de l'établissement que l'inconduite présumée, pour laquelle une mesure disciplinaire a été prise contre un membre du personnel, s'est produite. Lorsque la résiliation est une sanction possible, l'inconduite doit être établie par des preuves claires et convaincantes, ce qui signifie que la vérité des faits affirmée est très probable.