Unat a réfléchi à la question de savoir si Unrwa dt a commis une erreur en concluant que l'agence avait correctement décidé de ne pas transférer l'appelant au poste en question. Unat a jugé que la question de savoir si l'agence avait l'obligation de contacter tous les membres du personnel qui ont fait une demande de transfert n'est pas à recevoir car il n'a pas été soulevé avant Unrwa DT. Unat a jugé que la plainte de l’appelant exigeait des conclusions factuelles afin de déterminer si la réclamation était méritoire et que l’UNRWA DT n’a pas fait ces conclusions. UNAT a confirmé l'appel...
Réaffectation ou transfert
Unat a fait référence à l'article 2, paragraphe 1, de la loi Unat et a jugé que l'appelant n'avait montré aucune erreur dans le jugement de l'UNRWA et ses réclamations en appel ne pouvaient réussir. Unat n'a en outre trouvé aucune faute dans la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle il n'y avait pas de représailles contre l'appelant et que l'UNRWA DT ne s'est pas trompé sur une question de droit ou de fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable, et elle n'a pas commis d'erreur de procédure, comme pour affecter la décision de l'affaire. Unat a noté qu'il était à la...
UNAT a considéré l'appel de l'appelant, demandant que le jugement de l'UNRWA soit annulé. Unat a convenu avec Unrwa DT et a confirmé ses conclusions selon lesquelles l'agence avait droit, en vertu des dispositions du paragraphe 2 de FTI 01/2016, de remplir le poste concerné au moyen d'un transfert latéral des membres actuels du personnel. UNAT a également convenu et a confirmé la décision qu'il n'était pas dans le cadre de l'UNRWA DT de se prononcer sur l'exercice de la discrétion de l'agence pour décider des transferts latéraux à moins qu'il n'y ait des preuves que le pouvoir discrétionnaire...
UNAT a considéré l'appel des demandes consolidées. En ce qui concerne le premier numéro, Unat n'a trouvé aucune erreur dans la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle l'appelant n'avait pas établi que la décision de ne pas confirmer sa nomination en tant que conseiller TDSE et de le transférer à son précédent post était illégal. Unat a noté qu'il n'y avait aucun mérite dans l'affirmation de l'appelant selon laquelle l'UNRWA DT n'a pas examiné les faits pertinents et appliquer des dispositions légales et réglementaires à ses évaluations de performance pendant sa période probatoire. UNDT a...
Unat a jugé que la première fois que la demande de mise en œuvre de l'appelant de la sanction (excuses à l'appelant) était soulevée était en appel et qu'il n'était donc pas à recevoir, cependant, Unat a jugé que l'appelant n'avait pas été interdit de demander à l'UNRWA d'expliquer son appliquer son Lettre de censure. Sur la demande de dommages moraux de l’appelant, Unat n'a trouvé aucune erreur dans l'ordonnance de l'UNRWA DT rejetant la demande de dommages-intérêts moraux de l'appelant car il n'y avait aucune preuve de préjudice. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Unat a considéré un appel du jugement n ° UNRWA / DT / 2019/070 par le commissaire général de l'UNRWA. Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait commis aucune erreur lorsqu'il a conclu que l'UNRWA n'avait pas examiné les raisons personnelles et humanitaires du demandeur dans la décision contestée. Unat a jugé que l’UNRWA DT a conclu correctement que les questions pertinentes (raisons personnelles et humanitaires) avaient été ignorées dans l’exercice de la discrétion du commissaire général. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Unat a fait plusieurs conclusions sur l'appel. Premièrement, Unat a jugé que UNT ne s'est pas trompé lorsqu'il ne détenait pas de gestion de cas ou d'audience de fond sur les questions. Unat a convenu que le juge de première instance est dans la meilleure position pour décider de ce qui convient à l'élimination équitable et rapide d'une affaire et pour rendre justice aux parties. Deuxièmement, Unat a convenu avec l'UNDT que l'action administrative n'était pas une sanction disciplinaire déguisée. Unat a également constaté que l'USG avait le pouvoir de transférer l'appelant dans une autre unité...
Unat a d'abord convenu avec l'UNDT que l'abolition du poste n'était pas une décision administrative révisable. Deuxièmement, UNAT a jugé qu'il n'y avait aucune preuve de motifs inappropriés concernant la non-renouvellement de la nomination du membre du personnel. La principale affirmation du membre du personnel en appel était que son poste aurait dû être soumis à un processus d'examen comparatif (CRP) au lieu d'être identifié comme une «coupe à sec». Une «coupe sèche» se produit lorsqu'un post est unique et peut donc être aboli sans un examen comparatif. Le membre du personnel affirme que son...
UNAT a d'abord rejeté l'appel d'appel, concluant que bien que l'administration ait le pouvoir discrétionnaire de réaffecter les membres du personnel, une telle réaffectation doit être raisonnable dans les circonstances particulières et ne causer aucun préjudice économique au membre du personnel. Il doit également respecter les règles de droit procédurales et substantielles et ne doit pas être arbitraire. Unat a convenu avec l'UNDT que la réaffectation était liée aux performances et pourtant le membre du personnel n'a jamais été autorisé à résoudre ses problèmes de performance avant d'être...
En ce qui concerne la décision n ° 1 contestée, Unat a convenu avec UNDT que le membre du personnel n'a pas demandé d'évaluation de gestion en temps opportun des refus de sa demande de transfert. De plus, Unat a également convenu avec UNDT qu'il n'y a aucune disposition dans les règlements et règles du personnel concernant les modifications ou les transferts de postes pour des raisons médicales. De plus, Unat a également noté que les informations médicales à ces heures pertinentes ont recommandé une retraite médicale précoce, pas un transfert. En ce qui concerne la décision n ° 2 contestée...