Unat a pris en compte que l'appelant n'a fait sa demande que 29 mois après l'expiration de la date limite et qu'il n'a soumis aucun rapport médical. Unat a jugé que l'appel n'était pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé la décision UNJSPB.
Recevabilité (UNAT)
Unat a jugé que le comité permanent ne s'est pas trompé dans la tenue que la demande n'était pas à recevoir Ratione tempis. UNAT a noté que, en refusant de recevoir la demande, le comité permanent a également refusé de trouver une «bonne cause» pour renoncer au délai de soixante jours pour examen énoncé dans la section K des règles administratives de l'UNJSPF. Unat n'a également trouvé aucune erreur dans cette détermination implicite et a jugé qu'une dérogation de cinq ans pour examen par le comité permanent serait déraisonnable, en particulier à la lumière des délais de l'accord de transfert...
UNAT a rejeté l'appel comme non à recevoir, car l'appelant n'avait pas demandé un examen de la décision de l'UNJSPF avant de faire appel à Unat. UNAT a renvoyé l'affaire pour une audience devant le comité permanent, traitant l'appel comme s'il était correctement et en temps opportun comme demande d'examen de la décision.
Unat a jugé que l'UNJSPF affirme que Mme Larriera avait connu depuis 2003 qu'elle n'était pas reconnue comme une veuve par UnJSPF, interprétée comme ayant le sens qu'elle aurait dû déposer en temps opportun sa demande de révision et par la suite son appel à Unat à ce moment-là , était sans mérite. En l'absence d'une décision explicite de l'administration lui refusant le droit, Unat a jugé que Mme Larriera ne pouvait pas et ne devrait pas présumer qu'une telle décision avait été prise. Unat a jugé que la demande de révision de Mme Larriera était à recevoir Ratione Materiae et que l'appel de Mme...