Ãå±±½ûµØ

2020-UNAT-1004, Larriera

Décisions du TANU ou du TCNU

Unat a jugé que l'UNJSPF affirme que Mme Larriera avait connu depuis 2003 qu'elle n'était pas reconnue comme une veuve par UnJSPF, interprétée comme ayant le sens qu'elle aurait dû déposer en temps opportun sa demande de révision et par la suite son appel à Unat à ce moment-là, était sans mérite. En l'absence d'une décision explicite de l'administration lui refusant le droit, Unat a jugé que Mme Larriera ne pouvait pas et ne devrait pas présumer qu'une telle décision avait été prise. Unat a jugé que la demande de révision de Mme Larriera était à recevoir Ratione Materiae et que l'appel de Mme Larriera était à recevoir Ratione tempis. Unat a jugé que le CONSTRIC UNJSPF selon lequel il ne pouvait y avoir aucun changement dans le dossier après la séparation du participant du service à être sans fondement. Unat a jugé que l'interdiction d'un changement dans les dossiers après la séparation est spécifiquement limitée à la date de naissance du participant ou à ses futurs bénéficiaires et il s'ensuit qu'il n'y a aucune restriction qui empêche un participant de changer le dossier pour reconnaître un mariage valide qui s'est produit avant la séparation ou qui empêche un conjoint de signaler son mariage présumé à unjspf après la séparation du service. Unat a jugé que, comme le mariage de MM et MS M était conclu en vertu de la loi française, elle était régie par la loi française et que, par conséquent, leur statut matrimonial n'aurait pas pu être changé unilatéralement en vertu de la loi brésilienne (la loi de la nationalité de MM). Unat a jugé que l'ancien ST / SGB / 2004/4, qui régissait la reconnaissance du statut personnel à des fins de prestations d'emploi des Nations Unies, n'était pas applicable à des fins de prestations de retraite de l'UNJSPF. Bien que la procédure de divorce ait été engagée par M. M devant les tribunaux français et une ordonnance du tribunal avait été rendue, permettant à M. M et Mme M de vivre séparément, le mariage n'avait pas été dissous et est resté valable à la date du décès de M. M. Le fait que le Brésil ait reconnu un statut matrimonial différent de celui en vertu de la loi française n'était pas pertinent dans le but de déterminer le droit de Mme Larriera au bénéfice d'un survivant. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé la décision de l'UNJSPB.

Décision Contestée ou Jugement Attaqué

Mme Larriera a contesté la décision de ne pas la reconnaître comme le conjoint survivant de son partenaire (M. M), qui a été fait au motif que M. M était marié à une autre personne (MS M). Mme Larriera vivait avec M. M depuis plus de deux ans et avait décidé d'un tribunal brésilien qu’elle et M. M étaient dans une union stable au moment de la mort de M. M.

Principe(s) Juridique(s)

La détermination de l'état matrimonial par référence à la loi de la nationalité d'un membre du personnel ne s'applique qu'à un membre du personnel qui a conclu un mariage ou entre dans un autre partenariat reconnu en vertu de sa loi nationale; Il ne s'applique pas à un membre du personnel qui a choisi de conclure un mariage ou un partenariat en vertu d'une loi autre que celle de sa nationalité. Un participant qui entre dans un mariage en vertu d'une loi autre que celle de sa nationalité ne peut pas choisir par la suite de changer son statut matrimonial sous un régime juridique différent, ignorant le lieu et les procédures du mariage. Une décision administrative appelée est une décision dans laquelle sa caractéristique clé est la capacité de produire des conséquences juridiques directes affectant les conditions de nomination d'un membre du personnel. Avant de constater qu'il y avait une décision administrative implicite, il doit y avoir des preuves qu'il a été contesté par une demande spécifique de déshabillage et un refus ou un échec par l'administration à s'abstenir ou une décision implicite sous la forme d'un non-respect de tout décision à cet égard. L'interdiction d'un changement dans les dossiers de l'UNJSPF après la séparation est limitée à la date de naissance du participant ou de ses futurs bénéficiaires et rien d'autre. Un acte juridique peut être nul dans un but et valable pour un autre, ou il peut être nul contre une personne mais valable contre un autre.

¸éé²õ³Ü±ô³Ù²¹³Ù
Appel rejeté sur le fond
Texte Supplémentaire du ¸éé²õ³Ü±ô³Ù²¹³Ù

Aucun soulagement ordonné; Aucun soulagement ordonné.

Le Bureau de l'Administration de la Justice (BAJ) a préparé ce résumé de la jurisprudence a titre informatif seulement. Il ne s'agit pas d'un document officiel et il ne faut pas s'y fier comme une interprétation faisant autorité des décisions des Tribunaux. Pour les textes faisant autorité des décisions, veuillez-vous référer au jugement ou à l'ordonnance rendue par le Tribunal respectif. Les Tribunaux sont les seuls organes compétents pour interpréter leurs jugements respectifs, conformément à l'article 12(3) du Statut du Tribunal du Contentieux Administratif des Nations Unies (TCANU) et à l'article 11(3) du Statut du Tribunal d'Appel des Nations Unies (TANU). Toute inexactitude dans cette publication relève seulement la responsabilité du BAJ, qui doit être contacté directement pour toute demande de correction. Pour faire part de vos commentaires, n’hésitez pas à communiquer avec BAJ à oaj@un.org

Les résumés des jugements étaient généralement préparés en anglais. Ils ont été traduits en ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ et sont en cours d'examen pour en vérifier l'exactitude.