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Comité permanent de la CCPPNU (Comité mixte de la Caisse commune des pensions du personnel des Nations Unies)

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L'UNAT a examiné un appel du participant au Fonds.

L’UNAT a estimé que les faits suggèrent que les fonds de règlement du retrait du participant ont été versés sur un compte bancaire qui n’avait pas été ouvert par lui. Dans le même temps, des questions restaient sans réponse quant à la façon dont M. Ambe-Niba avait des relevés bancaires et des chèques annulés de ce compte s'il ne l'avait pas ouvert. De plus, étant donné la différence entre le nom du participant et le nom du titulaire du compte bancaire, il n'y avait aucune explication quant à la raison pour laquelle le virement bancaire avait...

Unat a noté que l'appelant a été invitée à présenter des informations médicales mises à jour pour soutenir sa demande pour un examen de son cas et n'a pas fait. Unat a estimé qu'aucun préjugé existait contre l'appelant, car elle avait l'occasion de présenter des preuves médicales mises à jour dans le cadre de l'examen de son cas. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé la décision du comité permanent.

L'ancien membre du personnel a fait appel et Unat a examiné s'il pouvait obliger l'UNICEF à payer pour le fonds sa contribution sans apporter lui-même la contribution correspondante. Unat a constaté que, comme le détachement de l'ancien membre du personnel était avec la Banque mondiale, il aurait dû se prévaloir des dispositions de l'article 13 du règlement de l'UNJSPF relatif au transfert des droits de retraite et il n'a pas fait. Dans ces circonstances, Unat a noté que si l'ancien membre du personnel apportait sa propre contribution au fonds, l'UNICEF aurait été tenu de faire sa contribution...

UNAT a examiné l’appel et a confirmé la décision de l’UNJSPF. Unat a constaté que l'UNJSPF a présenté des preuves crédibles qui ont démontré que le décret de divorce du Cameroun n'était pas valide et que le défunt n'a eu aucune procédure pour dissoudre son mariage avec sa première épouse en dehors de la procédure de divorce des États-Unis, qui a été licenciée par sa mort. En tirant cette conclusion, Unat a trouvé inutile de traiter les reliefs supplémentaires recherchés par l'appelant. UNAT a donc confirmé la décision de l'UNJSPF d'accorder la prestation de la veuve à la première épouse de l...

UNAT a noté que les appelants ne se sont référés à aucun article du règlement qui prévoit que la prestation de retraite complète peut être restaurée après qu'un participant choisit de commuer une partie de la prestation de retraite en un montant forfaitaire. Unat a estimé que les appelants étaient liés par leur décision d'accepter un tiers de leur pension de montant forfaitaire et une pension réduite. Unat a jugé que la décision de l'appelant ne pouvait pas simplement être inversée. Unat a rejeté l'argument selon lequel les appelants avaient été discriminés et que leurs droits fondamentaux...

UNAT a examiné l’appel de l’appelant et a confirmé les décisions du Comité permanent de l’UNJSPB. Unat a constaté que le premier motif d'appel de l'appelant n'avait aucun fondement, notant que l'appelant avait préalablement remarqué sa séparation et aurait pu exercer son droit de restaurer sa participation avant le moment de sa séparation conformément à la section F. 1 de la pension Les règles administratives du fonds, ce qu'elle n'a pas fait. Unat a jugé que le Comité permanent de l'UNJSPF n'avait aucun pouvoir discrétionnaire pour faire une exception dans cette affaire et que la décision du...

Unat a considéré M. Elguiindi, Mme Onogi et les appels distincts de Mme Sheryda. En ce qui concerne la réclamation de M. Elguindi, Unat n'a pas constaté que la manière dont UNJSPF avait réparti que sa somme de retraite mensuelle était déraisonnable, capricieuse ou abus de pouvoir discrétionnaire. En ce qui concerne la prétention de MS Onogi sur les défauts de procédure, UNAT n'a pas été persuadé qu'il y avait des défauts procéduraux de la part de l'UNJSPF, de manière à rendre l'exercice de son pouvoir discrétionnaire déraisonnable ou illégal. Unat n'a pas non plus trouvé de mérite dans la...

En tant que question préliminaire, Unat a nié la demande de l’appelant d’une audience orale. UNAT a noté que l'UNJSPF a correctement appliqué l'article 45 du règlement de l'UNJPSF et s'est appuyé sur un jugement contraignant international sur le conjoint et la pension alimentaire pour enfants, émis par un tribunal autrichien, qui n'a pas été contredit par le décret de divorce délivré par un tribunal portugais. Unat n'a trouvé aucune erreur de droit ou de fait, comme pour vicier la décision contestée et confirmé la «décision raisonnée et bien fondée de l'UNJSPF». UNAT a rejeté l'appel et a...

Unat a jugé que le comité permanent ne s'est pas trompé dans la tenue que la demande n'était pas à recevoir Ratione tempis. UNAT a noté que, en refusant de recevoir la demande, le comité permanent a également refusé de trouver une «bonne cause» pour renoncer au délai de soixante jours pour examen énoncé dans la section K des règles administratives de l'UNJSPF. Unat n'a également trouvé aucune erreur dans cette détermination implicite et a jugé qu'une dérogation de cinq ans pour examen par le comité permanent serait déraisonnable, en particulier à la lumière des délais de l'accord de transfert...

Unat a jugé que la décision de l'UNJSPB de ne pas soumettre l'appel du membre du personnel au Comité permanent a contrebalancé ses droits en vertu du règlement de l'UNJSPF en le privant de l'accès au processus d'appel et a été une grave violation de ses droits à une procédure régulière. Notant que la juridiction de l'UNAT se limitait à entendre des appels de décisions du comité permanent et que le cas du membre du personnel n'avait pas été examiné par le comité permanent, Unat a jugé qu'il n'avait aucune compétence pour entendre l'appel et l'a renvoyé au comité permanent.