Les politiques doivent veiller à ce que les bénéfices de la croissance économique soient équitablement répartis, en mettant particulièrement l'accent sur l'intégration des femmes.
Fran?ois Xavier Batalingaya, Coordonnateur résident des Nations Unies aux Comores, estime que le pays pourrait grandement bénéficier de la zone de libre-échange africaine.
La priorité doit être accordée aux investissements en faveur des femmes et des jeunes dans toutes les facettes des dispositions de mise en ?uvre de la ZLECAf
Linda Chepkwony, une entrepreneure kenyane de 30 ans, veut mobiliser les jeunes Africains pour aider à industrialiser le continent gr?ce au pacte de libre-échange
Le commerce intra-africain était largement étouffé par des règles d'entrée strictes qui rendaient difficile la circulation des citoyens d'un pays à l'autre
Le secteur privé africain représente 80 % de la production totale, deux tiers des investissements, trois quarts du crédit et emploie 90 % de la population en ?ge de travailler.
La toute première conférence internationale sur l'investissement dans le pays, qui s'est tenue à Mogadiscio en novembre 2022, a permis de présenter diverses opportunités
Nous avons besoin d'un "financement de référence" pour les engagements nationaux en matière de climat, une transition énergétique juste, et pour réduire les risques liés aux investissements du secteur privé dans le domaine du climat
Le marché unique africain pourrait favoriser une croissance économique moins gourmande en énergie tout en maintenant les émissions de gaz à effet de serre à un faible niveau
Huit pays démarrent leurs échanges commerciaux dans le cadre des conditions préférentielles de la Zone de libre-échange continentale africaine, en vue d'un marché africain unique.
Les priorités immédiates comprennent la finalisation des négociations sur les règles d'origine, la mise en place d'un mécanisme de financement pour les PME et le lancement de la plateforme numérique African Trade Gateway.
M. Ameir Mbonde, spécialiste des politiques commerciales du Bureau régional de la FAO pour l'Afrique, sur l'exploitation des acquis pour des cha?nes de valeur alimentaires et commerciales inclusives et harmonisées.
Il s'agit notamment des arts visuels et du spectacle, de l'artisanat, des festivals culturels, de la photographie, de la musique, de la danse, du cinéma, de la mode, des jeux vidéo, de l'animation numérique, de l'édition, de l'architecture, etc.
L'impact de la COVID-19 a mis en évidence les faiblesses des systèmes alimentaires actuels, mais a également révélé une opportunité pour le commerce au sein de la ZLECAf.
Les échanges dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine ont débuté le 1er janvier. Les mois à venir seront probablement le thé?tre d'une convergence de résultats fructueux issus de multiples éléments en mouvement.
Au moment où le Dr Ngozi Okonjo-Iweala prend ses fonctions, l'Afrique cherche à obtenir un accès équitable au vaccin COVID-19, un soutien à la zone de libre-échange, un meilleur accès au marché et à sortir des impasses de longue date.