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Agression (verbale et physique)

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En tant que question préliminaire, Unat a jugé qu'une audience orale n'était pas nécessaire et ne contribuerait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire, car l'appelant n'avait pas fourni une motif pour une audience orale au-delà de la demande de confronter les témoins et de commenter les preuves existantes. Alors que Unat a jugé que l'appelant n'avait identifié aucune erreur de droit ou de fait par Unrwa DT, comme l'exige le statut d'art 2 (1), unat a continué à considérer son appel car il n'était pas représenté. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement appliqué la norme de...

Unat a soutenu que UNDT avait raison de ne pas conclure que l'appelant avait initié le combat physique. Unat a jugé que UNDT avait le droit de conclure que la preuve d'un témoin n'était pas claire et convaincante, compte tenu des incohérences. Unat a jugé que UNDT a correctement déterminé qu'une altercation préalable ne pouvait pas fournir de preuves de propension pour corroborer les comptes des témoins sur la lutte physique parce que l'altercation préalable n'a pas été étudiée correctement. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'appelant avait été indûment influencé...

Dans le cadre d'une déclaration de clôture, le demandeur a soumis de nouvelles preuves écrites. Le Tribunal a rejeté toutes les nouvelles preuves, car ces preuves auraient pu être soumises avant la clôture de la procédure et aucune circonstance exceptionnelle ne justifiait la demande tardive. Le demandeur n'était pas pleinement informé de toutes les preuves sur lesquelles l'administration s'appuierait pour imposer la sanction disciplinaire. Cependant, il a néanmoins été informé des allégations contre lui et, par conséquent, le tribunal a procédé à un examen de novo des faits et un examen...

Le demandeur a constamment admis que l'altercation verbale et physique avait eu lieu et qu'il avait endommagé le parapluie de l'officier. Il n'a contesté que le processus d'enquête qu'il a maintenu était biaisé et injuste car il n'a pas pris en compte le contexte de l'interaction. Il s'est également plaint que les aspects les plus pertinents de l'affaire qui ont été pris en vidéo ne lui étaient jamais fournis et qu'il ne leur a donc pas parlé dans le contexte de l'enquête. Étant donné que le demandeur n'a pas nié qu'il ait été impliqué dans une altercation verbale et physique avec un officier...

Le Tribunal a conclu que sur la base de l'admission et des témoignages du demandeur d'autres témoins au cours de l'enquête et lors de l'audience, il avait été établi par des preuves claires et convaincantes que le demandeur a physiquement agressé un autre membre du personnel le 20 mars 2016. Sur la question de savoir si les faits équivalaient à Inconduite, le tribunal a constaté que l'action du demandeur avait violé la règle 1.2 (g) du personnel et constituait le harcèlement en milieu de travail, qui est interdit par la règle 1.2 (f) du personnel. En conséquence, l'action du demandeur a été...