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Article 97

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L'UNAT a jugé que le Tribunal des différends a raisonné à juste titre qu'en vertu du cadre disciplinaire de l'UNFPA, l'évaluation des faits d'inconduite n'est pas exclusive à l'OAIS, mais que le directeur du Département des ressources humaines (directeur / DHR) doit également analyser les éléments de preuve, et une telle analyse pourrait conduire le DHR à une conclusion différente de celle de l'OAIS. En conséquence, dans ce cas, l'UNAT a constaté que l'administration de l'UNFPA avait l'autorité ou le locus standi pour procéder à un processus disciplinaire même en l'absence d'une conclusion d...

2011-UNAT-130, Koda

Unat a confirmé le jugement de l'UND. Unat a jugé que l'OIO fonctionne sous «l'autorité» du secrétaire général mais a «l'indépendance opérationnelle». UNAT a en outre noté que, en tant que contenu et procédures d'un rapport individuel, le Secrétaire général n'a aucun pouvoir d'influencer ou d'interférer avec l'OIOS. Unat a jugé que UNDT n'a pas non plus de compétence pour le faire, car elle ne peut examiner que les décisions administratives du Secrétaire général. UNAT, cependant, a noté que dans la mesure où toutes les décisions de l'OIO sont utilisées pour affecter les conditions des membres...

Unat a jugé qu'il n'y avait pas de base juridique pour conclure que la soumission de l'appelant à l'autorité de gestion ou de supervision du directeur était illégal. Unat a jugé que la décision de refuser une restructuration proposée de la ligne de supervision pour s'adapter à l'appelant reposait sur des préoccupations légitimes rationnelles concernant la prérogative de gestion, la cohérence structurelle et l'intégrité institutionnelle. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

Le Secrétaire général a fait appel de la prémisse que UNDT a mal substitué sa décision à celle de l'administration. Inscrit en désaccord et a constaté que la raison pour laquelle UND a annulé la décision était parce qu'elle souffrait d'incohérence, c'est-à-dire que les raisons prévues pour distinguer le membre du personnel avec une extension plus courte de son ALE ont changé au fil du temps et n'étaient pas soutenues par les faits. Unat a également noté que les raisons ex post facto de sélectionner l'appelante transversale plutôt que l'un des autres membres du personnel fournissent une...

UND a rejeté préliminairement les demandes de récusation du requérant, estimant qu'il n'y avait plus de motifs de décision sur ces demandes, car le président de l'UNT avait précédemment rejeté ces demandes. En ce qui concerne la première demande, UNDT a jugé que le demandeur n'avait pas établi l'illégalité de l'élection de JC et que sa demande pour l'élection soit déclarée nul et non avenue doit être rejetée. En ce qui concerne la demande du requérant que toutes les décisions prises par le Conseil de justice interne soient annulées, undt a jugé qu'il ressort clairement de la résolution...

Le Tribunal a constaté qu'il n'a pas compétence Ratione Personae en tant que conseil de la défense à l'ICTR qui a un statut particulier, qui est défini par les règles internes de l'ICTR et l'accord entre les Nations Unies et la République-Unie de Tanzanie concernant le siège du siège de Le Tribunal international du Rwanda du 24 septembre 1996.

L'UNDT a constaté que la politique ou la pratique n'avait aucune base juridique dans aucune des normes de l'organisation et était donc illégale. Le Tribunal a ordonné la résiliation de la politique concernant le demandeur et les dommages moraux du salaire de base net de trois mois. Application d'une politique ou d'une pratique illégale: les rapports du cinquième comité ne portent pas la même force juridique que les résolutions de l'Assemblée générale. Le Secrétaire général n’est pas non plus mandaté, en l’absence d’une disposition légale expresse, d’intégrer dans les conditions d’emploi d’un...

L'intimé devait agir dans le meilleur intérêt de l'organisation, lors de la réaffectation du demandeur, et il était principalement pour l'intimé en tant que directeur administratif de l'organisation, conformément à l'art. 97 de la Charte des Nations Unies, pour définir quels étaient ces intérêts dans le contexte de l'administration de l'organisation Résultat: pour les répondants (mérites).

Portée et norme de révision Bien que le demandeur ait soulevé un certain nombre d'arguments liés à la non-renouvellement de sa nomination à durée déterminée et demande des recours en conséquence sur cette décision, la décision de ne pas renouveler la nomination à durée déterminée du demandeur n'est pas correctement soumise à la nomination avant la Tribunal et ne relève pas du champ de revue judiciaire dans la présente affaire. Quoi qu'il en soit, le demandeur est dérangé de contester sa séparation du service. Il a été séparé du service le 28 juillet 2014 et il n'a pas soumis de demande d...

Le requérant, en tant que juge ad litem du CPIT, est considéré comme un «responsable des Nations Unies non-secrétariats». Il s'ensuit que le demandeur ne peut être considéré comme un ancien membre du personnel des Nations Unies au sens de l'art. 3.1 du statut du Tribunal. Tout en étant pleinement conscient du droit du demandeur à accéder à la justice, le tribunal est obligé d'appliquer son statut, ce qui l'empêche de faire valoir sa compétence sur la demande. Comme le demandeur ne relève aucune des catégories de candidats potentiels décrits dans l'art. 3.1 Du statut du Tribunal des litiges, il...