2013-UNAT-366, Abu Ghali
Sur la question de savoir si elle avait été établie par des preuves claires et convaincantes que l’appelant avait la possession de la possession et a échangé, Tramal, unat était d'accord avec les déterminations, l'analyse et les conclusions de la crédibilité de l'UNRWA DT et a accepté ses conclusions factuelles. Sur la question de savoir si les faits établis ont montré une faute, UNAT a jugé que l'inconduite fondée sur des actes criminels sous-jacents ne dépend pas du condamné par le membre du personnel pour un crime devant un tribunal national. UNAT a rappelé la jurisprudence de l’ancien tribunal administratif des Nations Unies selon lesquelles différents onuines et fardeaux de preuve n’enlèvent en vertu des procédures pénales intérieures que cela n’aurait résulté de ceux qui sont sous enquête pour faute conformément aux règlements et aux règles de l’UNRWA. Unat a jugé que l’UNRWA DT pouvait correctement déterminer que les actions de l’appelant constituaient une faute malgré son acquittement des accusations criminelles portées contre lui. Unat a jugé que la possession de la possession par un membre du personnel d'une grande quantité de drogue interdite constituait une mauvaise conduite grave. Unat a jugé qu'une présomption raisonnable pouvait être attirée par le fait que l'appelant avait participé au commerce illégal du tramal en fonction de sa possession d'une grande quantité de drogue, qui constituait également une mauvaise conduite grave. Notant que l'UNRWA DT peut considérer correctement la nature de l'inconduite vis-à -vis de la nature du poste du membre du personnel pour déterminer si une sanction est proportionnée, Unat a convenu que la résiliation était une sanction proportionnée pour l'inconduite de l'appelant parce que son poste était, en partie , pour lutter contre l'abus de drogues. En ce qui concerne le nombre de réclamations de l'appelant d'erreur légale ou procédurale, Unat a jugé que l'appelant n'avait pas expliqué comment les erreurs présumées l'ont préjudiciable ou violé ses droits à une procédure régulière. Unat a jugé que, même en supposant Arguendo que ces erreurs se produisaient, aucun d'entre eux ne serait un motif pour renverser le jugement et donc il n'était pas nécessaire que l'UNAT traite de telles affirmations. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
Le demandeur a contesté son licenciement pour faute sous la forme de trafic de tramal, une drogue interdite à Gaza. Unrwa DT a rejeté sa demande.
Unrwa dt a un large pouvoir discrétionnaire pour déterminer le poids à attacher à des preuves. Unrwa dt peut considérer correctement la nature de l'inconduite vis-à -vis de la nature du poste du membre du personnel pour déterminer si une sanction est proportionnée. Pour le licenciement, l'administration doit prouver les faits sous-jacents à l'inconduite présumée par des preuves claires et convaincantes, ce qui signifie que la vérité des faits affirmée est très probable. Une faute fondée sur des actes criminels sous-jacents ne dépend pas du condamné par le personnel pour un crime national.