UNDT/2010/073, Elbadawi
Dans ses conclusions, le Tribunal a constaté que les éléments de preuve à l'appui des accusations étaient crédibles et que le demandeur n'avait pas prouvé que la décision de le rejeter sommairement était arbitraire ou motivée par des préjugés ou d'autres facteurs étrangers, ou était défectueux par des irrégularités procédurales ou des erreurs de la loi. En ce qui concerne les allégations de violation du demandeur, le tribunal n'a pu trouver aucune preuve que les droits du demandeur avaient été violés. Le Tribunal était également convaincu que l'intimé avait libéré son fardeau de preuve et qu'il a fait usage approprié de son pouvoir discrétionnaire.
Le demandeur, un ancien membre du personnel du Fonds des Nations Unies pour enfants (UNICEF), fait appel d'une décision administrative prise par le directeur exécutif adjoint, daté du 11 décembre 2008, pour le rejeter sommairement pour inconduite grave. Les accusations liées au harcèlement, au comportement agressif et à la discrimination fondée sur le sexe contre un collègue sur le lieu de travail. Le demandeur avait été réprimandé dans le passé pour des lacunes.
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