缅北禁地

Fran?ais

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Unat a jugé que UNDT n'avait pas dépassé sa compétence en ordonnant le paiement d'intérêts à la date d'échéance de la subvention de relocalisation, mais que UNT avait commis une erreur en fixant le taux d'intérêt à 8%. Unat a jugé que UNDT et Unat devaient avoir le pouvoir d'accorder l'intérêt dans le cours normal de la compensation de commande. Unat a confirmé le jugement et l'ordonnance de l'UNT n ° 30 dans la mesure où UND a accordé des intérêts sur la subvention de relocalisation et a remplacé le taux d'intérêt de 8% par le taux de premier ordre des ?tats-Unis applicable le 4 mai 2008 (5%)...

Unat a jugé que l'appelant n'avait présenté que des arguments contestant le comportement de l'administration et la décision de résilier son contrat avec UNMIK. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas démontré comment l'UNDT, en jugeant la demande non à recevoir et en le rejetant sur ce motif, aurait pu dépasser sa juridiction, ne pas l'exercer, faire une erreur de droit ou de procédure, ou commis une erreur de fait Cela a entra?né une décision manifestement déraisonnable. Unat a jugé que UNDT avait correctement rejeté la demande comme non à la créance, car la demande d'examen administratif...

Unat a jugé que l'appelant n'avait pas expliqué comment les UNT ont dépassé ou n'avaient pas exercé sa juridiction ou sa compétence, ont commis une erreur sur une question de droit ou de procédure, ou a commis une question de fait, résultant en une décision manifestement déraisonnable. Unat a rappelé que la loi UNDT a empêché l'UNDT de suspendre ou de renoncer aux délais pour l'évaluation de la gestion. Unat a soutenu que UNDT était donc correct en concluant que la demande n'était pas à recevoir et la rejeter sur cette base. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNT.

Unat a jugé que la décision de UNDT sur la demande d'un appelant de suspendre, de renoncer ou de prolonger les délais n'est pas un jugement rendu en ce qui concerne un appel contre une décision administrative, au sens de l'article 2 du statut de l'UNAT, car aucun appel n'avait encore été déposé. Unat a donc jugé que la décision de l'UNDT sur la demande de prolongation de l'appelant ne pouvait pas faire appel. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

Unat a jugé que l'appel n'avait pas été déposé intempestif et était donc à recevoir. Unat a jugé que, quelle que soit la gravité de l'irrégularité commise par l'administration et le nombre de points obtenus par le demandeur lors de la session de promotion de 2007, UNDT n'a pas commis d'erreur en prévoyant que le haut-commissaire pourrait décider de verser une compensation plut?t que d'exécuter le ordonnance d'annulation. Unat a soutenu que UNDT, en fixant le montant de l'indemnisation à 8 000 francs suisses, n'a pas fait une erreur manifeste. Unat a détenu, concernant la conclusion selon...

Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé sur une question de droit pour décider que l'appelant devait établir que, sans les erreurs commises dans l'examen de sa carrière professionnelle, elle aurait eu une réelle chance d'être promue. Unat a soutenu que l'appelant n'avait pas établi que UNDT avait commis une erreur en fait, ce qui a entra?né une décision manifestement déraisonnable, en décidant qu'elle n'avait pas démontré que les quelques erreurs importantes de sa feuille d'information l'ont privée de la possibilité d'être promue. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.

UNAT a rejeté l'appel interlocutoire du Secrétaire général contre l'ordonnance de l'UND comme non à recevoir, concluant que l'UNT avait une autorité discrétionnaire dans la gestion des cas et la production de preuves dans l'intérêt de la justice. Unat a jugé que UNDT avait décidé d'une mesure d'enquête, dont il avait la seule autorité d'évaluation. Unat a soutenu qu'il n'était pas dans l'intérêt du système interne de justice d'envisager un appel contre une simple mesure d'enquête.

Unat a considéré une demande de ?réexamen? du jugement n ° 2010-UNAT-029bis. UNAT a noté que ses jugements sont définitifs et non soumis à l'appel, sauf en vertu de l'article 11 de sa loi, concernant les procédures de révision et de correction des erreurs importantes et qu'aucun appel contre la résolution est admissible. Unat a jugé que la demande était un appel contre la résolution judiciaire et, en tant que telle, était inadmissible. Notant que l'appel de Mme El-Khatib a été rejeté comme non réceptable et sans mérite, Unat a jugé que la demande de ?réexamen? constituait un abus de la...

Unat a jugé que l'appel était barré dans le temps et, par conséquent, pas à recevoir. Cependant, Unat a noté que, même si l'appel était à recevoir, il ne semblait pas y avoir de motifs valables pour contester la décision de retirer l'offre de nomination ou de demander une indemnisation pour perte de revenus. Unat a également noté que la demande de suppression du mémoire de la défense du dossier, car elle contenait des informations relatives au processus de règlement des différends informels, aurait pu être pris en considération car l'article 15 de l'UNAT ROP prévoit que ces informations...

En examinant l’appel de l’appelant, Unat a constaté que la décision de résilier la position de l’appelant était basée sur des raisons généralisées, par opposition à des faits spécifiques, et n’a trouvé aucune justification réelle de la décision. Unat a soutenu que cela n'était pas cohérent avec la jurisprudence de l'ancien tribunal administratif, qui prévoit qu'une administration doit agir de bonne foi et ne pas prendre de décisions basées sur une motivation erronée, fallacieuse ou inappropriée. UNAT a noté que lorsqu'une décision administrative concerne la résiliation, elle doit fixer un...