UNAT a considéré un appel de M. Ahmad et un appel à l'appel par le Secrétaire général. Unat a estimé que UNDT avait raison de soutenir que la nomination de M. Ahmad n'était pas résiliée. Unat a soutenu que UNDT n'aurait pas dû annuler la décision le plaçant sur SLWFP. Unat a jugé que UNDT avait correctement soutenu que la décision du SLWFP avait été rendue sans but parce que la relation de travail avait cessé et que le congé spécial avait été consommé. Unat a jugé que UNDT avait raison de rejeter la demande d'indemnisation de M. Ahmad, car il n'y avait pas de lien direct entre la décision du...
Licenciement
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait raison dans sa conclusion que la décision de résilier la nomination continue de l'appelant était illégale car sa prétendue base (fonds insuffisante) n'existait pas. Unat a jugé qu'il n'était pas nécessaire qu'il traite de la question de savoir si undt a commis une erreur dans sa conclusion que l'administration n'a pas respecté son obligation de rétention. Unat a jugé que l'abolition du poste pour des raisons financières ne subsiste pas pour un examen judiciaire. Sur l'argument du Secrétaire général selon lequel UNDT...
Unat a considéré deux appels (consolidés) par M. Elshanti du jugement n ° UNRWA / DT / 2019/051 et le jugement n ° UNRWA / DT / 2019/065 respectivement. Lors de la consolidation des cas, Unat a jugé que l’UNRWA DT avait un large pouvoir discrétionnaire dans la gestion de ses cas et qu’il interviendrait uniquement dans des cas clairs de déni de la légalité de la loi affectant le droit d’une partie de produire des preuves. En conséquence, Unat a rejeté les arguments de M. Elshanti contre la consolidation. Unat a soutenu qu'il n'y avait aucun mérite aux affirmations de M. Elshanti selon...
UNDT n'a pas commis d'erreur en droit ou en fait lorsqu'il a constaté que la décision d'abolir le poste était légale. Cependant, en ne fournissant pas les raisons pour que sa décision de déplacer la période de préavis de six mois en compensation, l'organisation a échoué dans son devoir de démontrer que son pouvoir discrétionnaire n'a pas été exercé arbitrairement, capricieusement ou illégalement. L'administration n'a pas répondu à son fardeau pour démontrer au minimum que l'appelant a reçu une contrepartie complète et équitable. L'administration a agi arbitrairement et n'a donc pas exercé son...
En tant que question préliminaire, Unat a nié la demande de l’appelant d’une audience orale. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas rejeté son fardeau de montrer que le jugement de l'UND était défectueux ou d'identifier les motifs d'appel. De plus, Unat a jugé qu'il n'y avait aucune base pour annuler le jugement de l'UND. Unat a jugé que l'appelant ne contestiait pas spécifiquement les conclusions de l'UNDT sur la créance et que la création n'était donc pas un problème avant lui. Unat a soutenu que même si la créance était un problème avant lui, il n'y avait rien de fourni par l'appelant pour...
Unat a jugé que l'appelant n'avait pas répondu au fardeau de montrer que le jugement de l'UND était défectueux au motif décrit à l'article 2, paragraphe 1, de la loi Unat. Unat a jugé que UNDT entièrement et équitablement considéré les allégations de l'appelant et il n'y avait aucune erreur de droit ou de fait dans le jugement de l'UND. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune preuve que le sexe ou le statut de l'appelant soit en congé de maternité dans la décision de ne pas renouveler son contrat. Unat a jugé que les raisons exposées par l'administration pour ne pas renouveler la nomination à durée...
Unat a jugé que UNDT n'avait pas manqué d'exercer correctement sa juridiction en refusant de convoquer une deuxième discussion sur la gestion des cas. Unat a jugé que, concernant la question de savoir si UNDT n'a pas abordé les arguments factuels de l'appelant contestant la légalité de l'abolition de son poste, l'appel était sans mérite; L'appelante n'a fait que rééquilibre son cas et n'a pas établi que UNDT a commis une erreur en fait ou en droit sur cette question. Unat a toutefois détenu que Undt a commis une erreur en décidant que l'appelant n'avait pas réfuté la présomption que la...
Unat a d'abord noté qu'aucune des parties n'était en désaccord avec le jugement de l'UND que la décision contestée était illégale. En ce qui concerne l'appel du Secrétaire général selon lequel une sentence en dommages-intérêts moraux n'était pas justifiée, non n'étant pas d'accord avec l'administration et a constaté que l'UNDT était correct lorsqu'il a examiné le certificat médical daté de mars 2020, qui a donné des antécédents de santé du membre du personnel en 2015 (un an avant la décision contestée). Unat a trouvé crédible que le membre du personnel ait souffert d'un modèle de harcèlement...
Unat était d'accord avec UNDT et a constaté que la décision administrative ne pouvait pas être considérée comme une «résiliation déguisée». Unat a jugé que le membre du personnel n'était pas séparé du service le 29 mai 2019, et il a en fait continué à conserver sa position complète, ses droits et ses droits d'un membre du personnel jusqu'à l'expiration de son ALE le 30 juin 2019.
La décision de l’administration de ne pas renouveler la nomination à durée déterminée du demandeur au-delà du 30 septembre 2009 n’a pas été informée par un motif inapproprié, une arbitraire ou d’autres facteurs étrangers. Le demandeur, en s'installant simplement dans sa réaffectation aux fonctions de bureau à Jrau, s'est non seulement trompé quant à la sécurité de son emploi avec l'ICTR, mais était tout à fait déraisonnable et imprudent en ce qui concerne ses propres perspectives de carrière et doit porter le blâme pour les retombées de son réaffectation. L'administration ICTR a fait...