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Questions disciplinaires / fautes professionnelles

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La question cruciale en appel était de savoir si le Tribunal du contentieux administratif avait commis une erreur en soumettant à la responsabilité uniquement le chef des enquêtes de l'OIAI, mais pas le directeur général et les autres membres du personnel de l'UNICEF. L’UNAT a estimé qu’il n’y avait pas d’erreur dans le jugement du Tribunal du contentieux administratif, car le Tribunal du contentieux administratif avait le pouvoir discrétionnaire de rejeter la demande de renvoi du requérant. L’approche juridique du Tribunal était correcte. Le Tribunal du contentieux administratif a décidé de...

L'UNAT a examiné un appel de M. Al Othman contre le jugement de l'UNRWA n° UNRWA/DT/2020/073. Elle a également examiné un appel incident du Commissaire général de l'UNRWA, dans la mesure où le jugement a accordé une indemnisation à M. Al Othman. L'UNAT a estimé qu'il existait des preuves claires et convaincantes établissant que M. Al Othman avait commis les infractions alléguées. Les conclusions de l'UNRWA DT étaient exactes, fondées sur des éléments de preuve versés au dossier et de notoriété publique, et l'UNAT n'a trouvé aucune raison de s'écarter de ces conclusions. L'UNAT partageait le...

L'UNAT a conclu que le Tribunal a commis une erreur en considérant que les différentes périodes de congé non payé pendant lesquelles M. Okwakol avait été placé faisaient l'objet d'une décision administrative unique et continue. L'UNAT a estimé que chacune des trois périodes identifiables faisait l'objet d'un examen ou d'un réexamen des circonstances à ce moment-là. À chaque fois, l'Organisation a pris une décision sur l'état de l'enquête pour faute professionnelle et sur sa nature en cours et a informé M. Okwakol en conséquence. Il n'était pas décisif, ni même important, que les...

L'UNAT a décidé que des erreurs dans la manière dont la décision de licenciement sommaire avait été communiquée au requérant n'affectaient pas le fait que la véritable décision avait finalement été prise par la personne compétente du Commissaire général et non par une autorité déléguée. Il est incontestable que M. Mohammad n’a pas eu la possibilité de commenter les éléments de preuve supplémentaires produits contre lui après la réouverture de l’enquête (deux entretiens avec la mère de l’élève B et l’élève B). Cependant, ni dans son appel ni dans sa demande initiale auprès du DT de l'UNRWA, il...

L’UNAT a d’abord examiné l’allégation du Secrétaire général selon laquelle le Tribunal avait commis une erreur en concluant que la candidature de M. Loto était recevable pour toute la période pendant laquelle il était en congé temporaire. Le Secrétaire général a soutenu que M. Loto avait contesté en temps opportun seulement une décision initiale en matière de congé non payé, et non une décision ultérieure lorsque le congé non payé avait été prolongé. L’UNAT a rejeté l’argument du Secrétaire général sur la recevabilité, estimant que celui-ci était forclos de le soulever en appel. L’UNAT a...

L'UNAT a d'abord rejeté l'appel de M. Okwakol contre l'ordonnance du UNDT, estimant que  les plaintes de M. Okwakol concernant ce que l'UNDT avait décidé d'admettre comme preuve et les arguments qu'elle prendrait en considération pour trancher son affaire au fond, étaient réparables dans le cadre de son appel sur le mérite s’ils ont été mal décidés. L'UNAT a reconnu que le Tribunal avait eu raison d'admettre l'enregistrement audio réalisé par la victime d'EAS car l'administration s'était appuyée sur ces éléments de preuve pour prendre la décision d'imposer la mesure disciplinaire de cessation...

2023-UNAT-1361, AAO

L'UNAT a estimé que le jugement du Tribunal était problématique parce que les conclusions du Tribunal semblaient être entièrement fondées sur des preuves par ouï-dire, c'est-à-dire les conclusions du rapport d'enquête du BSCI. L'UNAT a observé que le jugement du Tribunal n'a pas expliqué les éléments de preuve sur lesquels reposait sa conclusion selon laquelle le harcèlement sexuel était hautement probable, et n'a formulé aucune conclusion explicite ou précise concernant les témoignages présentés sous serment à l'audience. L’incapacité du Tribunal à tirer des conclusions sur les témoignages qu...

L’UNAT a d’abord rejeté comme irrecevable l’appel de M. Loto contre l’ordonnance du Tribunal du Tribunal rejetant sa requête en radiation d’un enregistrement audio et de certaines conclusions présentées par le Secrétaire général. L’UNAT a estimé que ces questions pouvaient être abordées dans le cadre de l’appel interjeté par M. Loto contre le jugement sur le fond de sa requête. Le TANU a estimé que le Tribunal avait correctement admis l'enregistrement audio de la réunion entre la victime présumée, M. Loto et d'autres personnes, dans la mesure où cet enregistrement contribuait à résoudre tout...

M. Jibril a fait appel.

En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.

L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...

Sur la question de savoir si les faits ont été établis par des preuves claires et convaincantes, le Tribunal a constaté que le requérant a commis des actes affectant deux membres du personnel, à savoir V01 et V02. Le Tribunal a donc estimé que les faits sur lesquels la sanction était fondée étaient clairement établis.

En ce qui concerne la faute, le Tribunal a conclu que la conduite du requérant envers V01 et V02 était (i) importune, (ii) de nature sexuelle, et (iii) que l'on pouvait raisonnablement s'attendre à ce qu'elle soit offensante ou humiliante, ou à ce qu'elle soit perçue comme telle...

Appealed