Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait commis une erreur en regroupant les sept affaires. Les affaires consolidées impliquaient des décisions administratives uniques, et ces décisions n'impliquaient ni une politique administrative commune, ni un ensemble de faits communs. La nature des fautes attribuées aux membres du personnel n'était pas la même dans tous les cas. Les cas concernaient des membres du personnel de différents bureaux locaux de l'UNRWA. Les mesures disciplinaires prises n'étaient pas identiques d'un cas à l'autre, mais comprenaient un large éventail de sanctions. Les...
Article 14
Le TANU a noté que le DT de l'UNRWA avait ordonné à chaque partie de désigner un psychiatre, qui à son tour devait désigner un troisième psychiatre pour examiner si l'état mental de l'agent au moment où il a commis le cambriolage, dont la condamnation avait été le motif de sa séparation dans l'intérêt de l'Agence. Le Commissaire général n'a pas respecté cette instruction, sans explication, laissant ainsi le DT de l'UNRWA sans information médicale sur l'état de AAW au moment du cambriolage.
Le TANU a estimé que le Commissaire général avait clairement et manifestement abusé de la procédure par...
M. Jibril a fait appel.
En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.
L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...
En ce qui concerne la demande d'une audience orale, l'UNAT a jugé que l'UNRWA DT avait légalement exercé son pouvoir discrétionnaire et avait donné une explication raisonnable pour ne pas tenir une audience orale. L'UNRWA DT a déterminé correctement que les preuves documentaires complètes avant qu'elle ne soit suffisante pour rendre une décision sans avoir besoin d'une audience orale, d'autant plus que la question était de recevoir. De plus, les appelants n'ont pas montré comment le refus de la demande de détenir une audience orale a affecté le jugement. En ce qui concerne la question de la...
UNAT a examiné l'appel du commissaire général. UNAT a noté que la procédure régulière exigeait que les deux parties aient la possibilité de présenter leur cas, et de ne pas leur permettre de le faire a entraîné une erreur judiciaire. Unat a constaté que l'exclusion par l'UNRWA DT du commissaire général de la participation à la procédure a été une violation claire de la procédure régulière, de manière à affecter la décision de l'affaire, qui doit entraîner l'annulation de l'arrêt et les affaires renvoyées pour une audience de novo devant un autre juge. Unat a noté qu'il n'était donc pas...
Unat a considéré un appel contre l'ordonnance n ° 057 (UNRWA / DT / 2014) et le jugement n ° UNRWA / DT / 2014/027. Unat a rejeté la demande de confidentialité de l’appelant et pour la rédaction de son nom du jugement de l’UNRWA DT et a confirmé le raisonnement de l’UNRWA DT. Unat a nié la demande de l'appelant de soumettre de nouvelles preuves à Unat au motif que l'appelant n'a expliqué pourquoi il a été empêché de les déposer précédemment, des circonstances exceptionnelles n'existaient pas et son contenu n'aurait pas affecté la décision de la décision de la décision de Cas. Unat a soutenu qu...
UNAT a rejeté la demande de l’appelant d’une audience orale avant d’examen de l’appel. UNAT a également rejeté l'affirmation de l'appelant selon laquelle l'UNRWA DT a été biaisée en ordonnant que les cinq demandes soient consolidées en un seul jugement. En ce qui concerne l'appel lui-même, Unat a jugé que l'appel des décisions rejetant les prestations d'invalidité et concluant que la non-demande de licenciement non à recevoir n'avait aucune base légale. En ce qui concerne la contestation de l'appelant à la décision du commissaire général de rendre les conclusions du conseil médical OOT et de...
Arunat a jugé que la décision de l'UNRWA DT de ne pas tenir une audience orale était une lacune, car les parties n'avaient pas accepté que l'affaire soit décidée sur les documents et les faits devaient être établis par des témoins et / ou des preuves documentaires supplémentaires. Sur la question du biais et de son éventuel incidence sur le résultat du processus de sélection, Unat a jugé que Unrwa dt aurait dû se livrer à un examen approfondi des faits, plutôt que de tirer une inférence. Unat a soutenu que l'inférence tirée par Unrwa dt, qu'il était réaliste de conclure que tous les postes ne...
Il s'agissait d'un exercice raisonnable de la discrétion du commissaire général de déterminer qu'il a intentionnellement abusé d'une position de pouvoir et de confiance contre un bénéficiaire de l'UNRWA dans une situation vulnérable rendue M. Al Khatib inapte à un service supplémentaire avec l'agence, et la séparation du service sans résiliation sans cessation L'indemnité n'était ni injuste ni disproportionnée à la gravité de l'infraction.
L'ordre de l'UNRWA DT contesté intervient clairement dans sa compétence pour émettre des ordonnances de gestion de cas appropriées. Il n'a pas dépassé sa compétence ou sa juridiction pour émettre l'ordonnance n ° 123, et M. Zaqqout n'est pas empêché d'attaquer l'ordonnance interlocutoire plus tard s'il fait appel le jugement final de l'UNRWA DT sur le fond.