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Décision administrative

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Mme Mkhabela a fait appel.

En ce qui concerne la recevabilité ratione temporis, l'UNAT a estimé que le RC ne pouvait pas être considéré comme ayant légalement prolongé les délais de dépôt d'une demande de contrôle hiérarchique. Outre le fait qu’il n’existe aucune preuve d’une telle promesse, la vérité est que le CR ne disposait pas d’un tel pouvoir, qui est uniquement conféré au Secrétaire général, comme le prescrit l’article 11.2(c) du Règlement du personnel. De même, l'affirmation de Mme Mkhabela selon laquelle elle n'a pas été informée des raisons ou de la décision de s'écarter du plan de...

La requérante a commis une erreur en estimant que le BSCI ne faisait pas partie de l'Administration et que sa décision ne constituait pas une décision administrative définitive susceptible d'être contestée. En effet, le BSCI fait partie du Secrétariat. Il « opère sous l’autorité » du Secrétaire général, tout en conservant son « indépendance » opérationnelle. En conséquence, les décisions prises par le BSCI peuvent constituer, en fait, une décision administrative définitive.

Le fait que le requérant ait présenté deux rapports, l'un au BSCI et l'autre à l'Administration, n'obligeait aucune...

D'emblée, le Tribunal a rappelé que, sur la base des éléments de preuve versés au dossier, la principale demande du requérant visant à obtenir l'annulation de la décision contestée avait été rendue sans objet par le départ à la retraite du requérant. Par conséquent, la question qui restait à trancher concernait l'indemnisation du préjudice financier et moral.

Compte tenu de l'ensemble des circonstances, le Tribunal a conclu que la décision contestée avait un motif et un objectif inappropriés et qu'elle était donc illégale. Le Tribunal a en outre estimé que, sur la base de ce qui précède, il...

Le Tribunal a rappelé que, conformément aux observations du requérant datées du 20 février 2023, la décision de réaffectation avait été annulée et que le requérant avait repris ses fonctions de chef de bureau. La seule question en suspens concernait les dommages et intérêts demandés par le requérant.

Sur la question de l'illégalité, le Tribunal a estimé que le requérant avait été démis de ses fonctions officielles, sans motif ni justification appropriée, et qu'il avait été contraint de postuler à nouveau à ses fonctions antérieures. Ces décisions ont été prises sans référence à des...

Le demandeur a demandé une évaluation de la gestion le 27 janvier 2023. La date limite pour la réponse à l'évaluation de la gestion était le 13 mars 2023. Le requérant a déposé sa demande le 13 février 2023, soit 28 jours avant la date limite de réponse à l'évaluation de la gestion. Par conséquent, le Tribunal a estimé que la demande avait été déposée prématurément et qu'elle n'était donc pas recevable.

i.              Le Tribunal a noté que, d'après les éléments de preuve versés au dossier, le requérant n'a jamais été membre du personnel de la CEA, de la DOS ou de toute autre entité de l'Organisation des Nations Unies. Par conséquent, il n'avait pas de locus standi devant le Tribunal. La requête a donc été rejetée.

ii.              Le Tribunal a également estimé que la requête était frappée de l'autorité de la chose jugée. Il a été rappelé que le Tribunal avait précédemment rejeté une requête du requérant contestant les mêmes griefs que ceux soulevés dans la présente requête. Dans le...

Appealed

L'UNAT a jugé que, en vue du dossier de cas, la décision administrative contestée était la décision de ne pas reclassifier le poste du membre du personnel, qui a été communiqué à l'appelant dans une réponse définitive et sans ambiguïté le 9 juillet 2019.

Les lettres ultérieures à l'appelant n'étaient que des réitérations uniquement de cette décision. L'UNRWA DT avait raison de conclure que l'appelant n'a pas soumis de demande de révision en temps opportun, comme requis avant de déposer sa demande auprès de l'UNRWA DT, étant donné que M. Abu Heija n'avait déposé sa demande de révision de la...

UNAT a jugé que le mémorandum contesté n'était pas une décision administrative car l'appelant n'a pas identifié comment elle affectait ses conditions ou conditions de nomination. Unat a jugé que le mémorandum contesté concernait une délégation générale de l'autorité et, par conséquent, était une décision de demande générale.

L'UNAT a rejeté l'appel. L'UNAT a d'abord jugé que l'UNDT avait commis une erreur en droit dans l'application rétroactive de la règle 193.3 (c) rétroactivement lorsqu'elle a examiné son droit à une indemnité de licenciement. Au moment où la décision contestée a été prise, seuls les règlements et règles du personnel de l'OMM 2019 étaient en vigueur et auraient dû être appliqués. L'UNDT a fait une erreur dans l'application de la loi 2020 en fonction de la soumission par le Secrétaire général de la mauvaise version des réglementations et règles de l'OMM à l'UNDT. L'UNAT a confirmé la conclusion...

L'UNAT a rejeté à la fois l'appel et l'appel à travers. En ce qui concerne l'appel croisé du Secrétaire général contre la décision de la réception de l'UNT, l'UNAT a jugé que l'UNDT avait raison de ne pas rejeter les réclamations comme irréalisables, mais d'enquêter sur leurs mérites. En ce qui concerne les mérites, l'UNAT a noté que les prestations de décès en vertu des règles ne sont pas payables aux bénéficiaires nommés par un membre du personnel, mais aux bénéficiaires désignés tels que définis par les règles du personnel (c'est-à-dire le conjoint survivant ou les enfants à charge). L'UNAT...