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Le Tribunal a estimé que le requérant ne s'était pas acquitté de la charge de prouver l'existence de motifs inappropriés ou de partialité à l'encontre du défendeur.

Les huit actes/omissions allégués sur lesquels le requérant a fondé sa plainte selon laquelle son évaluation "partiellement satisfaisant" était motivée par la partialité et la mauvaise volonté étaient spéculatifs et l'évaluation contestée n'était pas impartiale ou relevant de motifs illégitimes. Le Tribunal a conclu que le fait que le groupe d'évaluation de la gestion des talents n'ait pas donné au requérant l'occasion de...

Le demandeur a demandé une évaluation de la gestion le 27 janvier 2023. La date limite pour la réponse à l'évaluation de la gestion était le 13 mars 2023. Le requérant a déposé sa demande le 13 février 2023, soit 28 jours avant la date limite de réponse à l'évaluation de la gestion. Par conséquent, le Tribunal a estimé que la demande avait été déposée prématurément et qu'elle n'était donc pas recevable.

Il existe des preuves claires et convaincantes que le requérant s'est livré à une fraude aux droits et a reçu des remboursements pour des services médicaux qui n'avaient pas été fournis. Il a faussement certifié et soumis trois demandes de remboursement à Cigna, pour lesquelles il a reçu un total de 17 171,26 USD. Il n'avait pas droit à ce remboursement. Le PNUD étant auto-assuré, ces fonds ont représenté une perte pour le PNUD.

Le comportement du requérant relevait de ce que la politique du PNUD contre la fraude et autres pratiques de corruption (approuvée en octobre 2018) définit comme...

Le Tribunal a établi, sur la base des preuves au dossier, que la facture et le rapport médical que le requérant a soumis à Cigna n'étaient pas authentiques. Le Tribunal a estimé que cela suffisait à étayer l'accusation selon laquelle le requérant avait utilisé de faux documents pour recevoir des avantages économiques indus de la part de Cigna. Le Tribunal a également conclu qu'aucune preuve de l'efficacité du traitement médical n'avait été apportée. Le Tribunal a donc conclu qu'il existait des preuves claires et convaincantes que le requérant avait commis une faute en soumettant une demande...

L'UNAT a jugé que la recommandation de l'OAI dans son rapport d'enquête selon laquelle des mesures disciplinaires devaient être prises contre le membre du personnel ne constituaient pas une décision administrative. De plus, la recommandation d'OAI n'était pas une «décision». Il s'agissait d'une recommandation intermédiaire et n'a donc pas eu d'effet direct, légal ou négatif. L'UNAT a constaté que, de même, la décision selon laquelle il n'y avait pas suffisamment de preuves pour inculper le membre du personnel d'inconduite ne constituait pas une décision administrative car elle n'avait pas eu d...

Unat a noté que la seule question en appel était la question de l'indemnisation appropriée pour la décision contestée illégale. Unat a constaté que le UNT a constaté de manière appropriée que la rémunération demandée d'un montant de deux ans de salaire de base net était injustifiée car elle dépasserait les émoluments auxquels il aurait été intitulé absent de la résiliation illégale. Unat n'a trouvé aucun mérite dans l'affirmation de M. Kilauri selon laquelle le UNDT n'avait pas pris en compte la nature et le niveau du poste qu'il occupait auparavant et les chances de renouvellement au-delà de...

2022-UNAT-1298, Specker

Mme Specker a fait appel. L'UNAT a jugé que la question essentielle est de savoir si la sanction imposée était proportionnée. Le principe de proportionnalité exige qu'une mesure disciplinaire imposée à un membre du personnel soit proportionnée à la nature et à la gravité de son inconduite. L'UNAT a noté que l'argument principal de Mme Specker était que la sanction imposée à elle montrait un élément d'incohérence historique dans la mesure où des sanctions moindres pour une faute similaire avaient été imposées dans d'autres cas. L'implication de sa soumission est que l'échec à imposer la...

L'appel du Secrétaire général a contesté l'ordonnance de l'UNT en faisant référence à la décision de congé de maternité pour responsabilité. Unat a constaté que l'UNDT avait commis une erreur en avançant la question car elle avait déjà été jugée dans un jugement antérieur. En avançant le même problème une deuxième fois, le UNT a dépassé sa compétence depuis que la décision de congé de maternité n'avait pas été contestée avant le UNT en l'espèce; et le jugement antérieur, qui a été confirmé en appel (rendant sa résolution), a jugé que la demande en relation avec la décision de congé de...

La réponse à l'évaluation de la direction a été envoyée au demandeur le vendredi 7 mai 2020 à 10 h 51, heure de New York (EST), à 17 h 51. à Jérusalem-Est et Ramallah. Le PNUD a envoyé la réponse RME après les heures de travail dans la station des droits, au début du week-end du demandeur (qui était samedi et dimanche), et pendant le week-end traditionnel de l'oPt qui est vendredi et samedi. Le tribunal a donc déterminé que la première journée complète de la livraison de l'e-mail était le 8 mai 2020, ce qui signifie que le décompte de 90 jours en vertu de l'art. 8.1 (d) (i) (a) du statut de l...

Dans le cadre de la procédure régulière, le tribunal a conclu que le processus conduisant à l'imposition de la mesure disciplinaire était effectué conformément au cadre juridique du PNUD pour s'attaquer à la non-conformité des normes de conduite des Nations Unies et au Bureau de l'audit et des directives d'enquête du PNUD . En conséquence, le tribunal a jugé que les droits de la procédure régulière du demandeur étaient garantis. Selon les faits, les faits ont été établis par des preuves claires et convaincantes, le tribunal a noté que la requérante ne refusait pas ni même contestions le fait...