UNAT a examin¨¦ l¡¯appel et a confirm¨¦ la d¨¦cision de l¡¯UNJSPF. Unat a constat¨¦ que l'UNJSPF a pr¨¦sent¨¦ des preuves cr¨¦dibles qui ont d¨¦montr¨¦ que le d¨¦cret de divorce du Cameroun n'¨¦tait pas valide et que le d¨¦funt n'a eu aucune proc¨¦dure pour dissoudre son mariage avec sa premi¨¨re ¨¦pouse en dehors de la proc¨¦dure de divorce des ?tats-Unis, qui a ¨¦t¨¦ licenci¨¦e par sa mort. En tirant cette conclusion, Unat a trouv¨¦ inutile de traiter les reliefs suppl¨¦mentaires recherch¨¦s par l'appelant. UNAT a donc confirm¨¦ la d¨¦cision de l'UNJSPF d'accorder la prestation de la veuve ¨¤ la premi¨¨re ¨¦pouse de l...
Fran?ais
UNAT a d¨¦clar¨¦ qu'une demande d'interpr¨¦tation n'est pas ¨¤ recevoir si son objectif r¨¦el ¨¦tait d'avoir r¨¦examin¨¦ sa d¨¦cision, m¨ºme si ses jugements sont d¨¦finitifs et sans appel, ou pour le faire commenter sa d¨¦cision. L'UNAT a jug¨¦ que les demandes d¨¦pos¨¦es en vertu des sous-paragraphes (a) ¨¤ (g) du paragraphe 30 de l'appel, dans le but de remettre en question la d¨¦cision ou d'avoir des commentaires de la d¨¦cision, n'¨¦taient pas ¨¤ recevoir. Unat a jug¨¦ que l'utilisation du mot ?Annul? ne conduirait pas ¨¤ la confusion dans l'esprit d'un parti de bonne foi parce que le langage du droit...
Unat a consid¨¦r¨¦ un appel du secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral. Le secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral a soutenu que UNDT avait commis une erreur en ne reconnaissant pas que le deuxi¨¨me contrat par lequel la nomination de M. Castelli ¨¦tait prolong¨¦e au-del¨¤ d'un an ¨¦tait invalide car elle n'avait pas ¨¦t¨¦ soumise pour examen par un organisme de r¨¦vision central. Unat a jug¨¦ que, ¨¤ moins qu'il ne soit faux ou frauduleux, le contrat de nomination d'un membre du personnel donne naissance ¨¤ des droits sur la signature et l'acceptation par le membre du personnel de sa lettre de nomination. Unat a soutenu que cela est vrai m¨ºme...
UNAT a consid¨¦r¨¦ l¡¯appel du Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral. Unat a not¨¦ que l'exclusion du droit de faire appel d'une d¨¦cision sur la suspension de l'action sur une administration est une exception au principe g¨¦n¨¦ral du droit et doit ¨ºtre interpr¨¦t¨¦e de mani¨¨re ¨¦troite. Unat a jug¨¦ que cette exception ne peut ¨ºtre appliqu¨¦e qu'aux d¨¦cisions juridictionnelles ordonnant la suspension de la mise en ?uvre d'une d¨¦cision administrative lorsqu'une ¨¦valuation de la gestion est en cours. UNAT a donc jug¨¦ que Unat avait d¨¦pass¨¦ sa comp¨¦tence lorsqu'elle a ordonn¨¦ la suspension de la pr¨¦sente action jusqu'¨¤ ce que...
En consid¨¦rant l¡¯appel de l¡¯appelant, UNAT a conclu que le comit¨¦ permanent ne pouvait rejeter la demande que si elle n¡¯a pas tenu compte des dispositions de l¡¯article 33 (a) du r¨¨glement de l¡¯UNJSPF. Cependant, UNAT a not¨¦ qu'il n'¨¦tait pas en mesure de statuer sur la possibilit¨¦ r¨¦elle pour l'appelant d'exercer les fonctions de sa position respective et a jug¨¦ que le comit¨¦ permanent devait reconsid¨¦rer la demande de l'appelant. UNAT a annul¨¦ la d¨¦cision du comit¨¦ permanent et a renvoy¨¦ la demande de l'appelant au comit¨¦ permanent pour examen.
Unat a jug¨¦ que les r¨¦clamations de l'appelant concernant la r¨¦siliation de sa nomination et les proc¨¦dures qui ont entra?n¨¦ la r¨¦siliation n'ont pas pu ¨ºtre re?ues car UNAT n'avait pas comp¨¦tence pour examiner un jugement de l'ancien tribunal administratif. Unat a jug¨¦ que UNDT n'avait commis aucune erreur en droit en consid¨¦rant que la participation du fonctionnaire et de son avocat ¨¤ l'audience par vid¨¦o n'auraient pas viol¨¦ les droits de d¨¦fense de l'appelant. Unat a jug¨¦ que, bien que la lettre dat¨¦e du 8 novembre 2005 contenait une peine qui pourrait impliquer que si le JDC demandait la...
Unat a not¨¦ qu'il n'y avait aucune preuve ¨¤ l'appui des all¨¦gations de l'appelant selon lesquelles les d¨¦clarations de ses t¨¦moins avaient ¨¦t¨¦ utilis¨¦es dans leur int¨¦gralit¨¦ par UNDT et, m¨ºme en supposant que l'UNDT avait ¨¦t¨¦ en violation de ses r¨¨gles de proc¨¦dure en faisant ces d¨¦clarations, Unat a jug¨¦ qu'il n'avait pas ¨¦t¨¦ ¨¦tabli que ladite violation avait donn¨¦ naissance ¨¤ une erreur de proc¨¦dure susceptible d'influencer le jugement. Unat a jug¨¦ que l'all¨¦gation de l'appelant, selon laquelle le membre du personnel qui l'a recrut¨¦e lui avait donn¨¦ des assurances susceptibles de cr¨¦er une...
Unat a examin¨¦ une demande de r¨¦vision du jugement n ¡ã 1465 de l'ancien tribunal administratif des Nations Unies soumis par M. Lesar. Unat a not¨¦ que la r¨¦solution 63/253 de l'Assembl¨¦e g¨¦n¨¦rale ¨¦tait silencieuse sur la question de la r¨¦vision des jugements rendus par l'ancien tribunal administratif de l'ONU au cours de la p¨¦riode pr¨¦c¨¦dant son abolition. Unat a jug¨¦ que l'omission ne constituait pas un refus du droit ¨¤ un recours efficace, car un tribunal avait d¨¦j¨¤ rendu justice. Unat a jug¨¦ qu'il n'¨¦tait pas comp¨¦tent de r¨¦viser l'ancien jugement administratif du Tribunal des Nations Unies...
Unat a jug¨¦ que, puisque l'appelant n'avait pas soumis sa demande pr¨¦liminaire d'examen administratif dans le d¨¦lai, une limite de temps qui a expir¨¦ avant l'entr¨¦e en vigueur des r¨¨gles du nouveau personnel, UNT ne n'avait pas de alternative que de rejeter sa demande comme non. UNAT a rejet¨¦ l'appel.
UNAT a consid¨¦r¨¦ les appels par le Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral et M. Yapa. Sur la question de l'interdiction de la promotion de deux ans, Unat a jug¨¦ que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur de droit en consid¨¦rant que le principe juridique g¨¦n¨¦ral selon lequel une sanction ne peut ¨ºtre impos¨¦e ¨¤ une personne ¨¤ moins que La date des faits d¨¦tenue contre cette personne doit ¨ºtre respect¨¦e en mati¨¨re disciplinaire. Unat a jug¨¦ que UNDT ne s'est pas tromp¨¦ sur une question de droit pour constater que la sanction d'une interdiction de la promotion de deux ans n'avait pas de base juridique. Au cours de la...