Unat a jugé que UNDT avait correctement établi que le silence de la gestion du PNUE constituait une décision administrative implicite et que cette décision a été prise le 31 août 2009. UNAT détenait la demande d'évaluation de la gestion de l'appelant et que la demande était donc, donc , pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Temporel (ratione temporis)
Unat a jugé que l'appel était sans fondement et que la demande d'évaluation de la gestion avait été déposée intempestive. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas démontré que des efforts de résolution informels avaient été déployés, ce qui pourrait prolonger le délai. Unat a noté que l'appelant n'avait pas demandé une telle extension du délai. Unat a jugé que UNDT avait correctement décidé que la demande d'évaluation de la gestion n'était pas à recevoir car il était barré. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
Unat a rejeté la demande d'audience orale, car il n'y avait pas besoin de clarifier davantage les questions résultant de l'appel. Unat a jugé qu'il avait compétence en question pour entendre l'appel et que l'appel était à recevoir. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il n'avait aucune compétence en matière de recettes pour recevoir la demande parce que la demande a été déposée devant le mauvais tribunal et la demande aurait dû être déposée avant Unrwa dt. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il manquait de compétence en matière de recevoir la demande parce que la...
En ce qui concerne les allégations selon lesquelles undt a commis une erreur en droit, en fait et en procédure et n'a pas exercé sa juridiction concernant ses allégations de discrimination, Unat a jugé que le fardeau était sur l'appelant pour établir que la preuve orale et documentaire, si elle était admise, aurait eu a conduit à différentes conclusions de fait et a changé le résultat de l'affaire. Unat a jugé que UNDT n'avait pas commis une erreur en rejetant les allégations de l'appelant selon lesquelles elle avait été soumise à une discrimination en raison du genre ou en fonction de ses...
Unat a jugé qu'il n'était pas contesté que l'appelant n'avait soumis aucune demande d'évaluation de la direction avant plus d'un an après avoir été informé qu'il n'avait été sélectionné pour le poste en question. Unat a jugé que l'UNDT, en vertu de l'article 11.1 de la loi UNDT, était obligé de rendre un jugement par écrit, indiquant les raisons, les faits et la loi sur lesquels il était fondé. Unat a jugé que les décisions de l'UNDT, selon lesquelles l'appelant avait été correctement signifiée par écrit en conformité avec l'ancien règlement du personnel 111.2 et que l'article 8.3 a interdit à ...
Unat soutenait que UNDT avait correctement constaté que la demande n'était pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
UNAT a considéré l'appel de l'appelant et a constaté que l'appelant avait dépassé le délai obligatoire pour demander l'évaluation de la gestion de la décision contestée. L'UNAT a jugé que la demande de suspension d'action pendant la durée de l'évaluation de la gestion était déclarée à juste titre non à recevoir car elle était barrée. Unat a soutenu que UNDT ne dépassait pas ou n'exerçait pas à tort sa juridiction en rejetant la suspension de l'action. Undt a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND.
En tant que question préliminaire, UNAT a nié la demande de l'appelant pour une audience orale, car les soumissions par les parties ne nécessitaient pas de clarification. UNAT s'est demandé si son cas avait présenté des circonstances exceptionnelles qui justifieraient la réouverture de son cas par le Secrétaire général, car sa demande n'a pas été déposée en temps opportun. Unat a constaté que l'appel n'était pas à recevoir car, malgré sa maladie, elle n'a pas démontré de telles circonstances. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNT.
UNAT a considéré l'appel, dans lequel l'appelant a soutenu que des circonstances exceptionnelles existaient qui mériteraient une renonciation au délai, permettant à sa demande d'être admise. Unat a noté que, dans un tel cas, il est de la responsabilité du demandeur de convaincre le tribunal de ces circonstances. Unat a constaté que l'appelant n'avait pas surmonté cet obstacle avant UNDT et a jugé que UNDT ne s'est pas trompé en rejetant les affirmations de l'appelant selon lesquelles il avait des circonstances exceptionnelles. Unat a en outre conclu que l'ignorance de la loi n'est pas une...
UNAT a considéré l'appel de Mme Comerford-Verzuu et le Secrétaire général Cross-Apeal, quant à savoir si UNDT avait raison de juger que la décision contestée était datée du 2 août 2005 et que la demande de révision administrative était barrée dans le temps. Unat a constaté que la réponse de l'OIOS du 2 août 2005 était la décision administrative dont Mme Comerford-Verzuu demandait un examen. Unat a jugé que la correspondance ultérieure était injustifiée et n'a pas étendu la limite de temps pour la recherche de révision administrative de la première ordonnance administrative. En conséquence, le...