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Article 2.1(b)

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2023-UNAT-1370, AAC

Après avoir demandé au Tribunal des conclusions de fait supplémentaires, le TANU a réexaminé un appel interjeté par le fonctionnaire suite à sa détention provisoire.

L’UNAT a estimé que le jugement du Tribunal ne faisait aucune mention de la nature, du contenu ou de l’objet des témoignages présentés sous serment devant lui, mais reposait entièrement sur des preuves par ouï-dire tirées exclusivement du rapport d’enquête et d’autres documents. L’UNAT a jugé problématique le fait que le Tribunal ne s’est pas prononcé sur les raisons pour lesquelles il s’appuyait exclusivement sur des preuves par...

L'UNAT a jugé que l'UNDT n'avait pas commis une erreur en jugeant qu'il y avait eu des preuves claires et convaincantes que le membre du personnel avait harcelé d'autres membres du personnel sur une période de temps substantielle et que ce comportement constituait une mauvaise conduite sérieuse. L'UNAT a affirmé qu'il y avait des preuves claires et convaincantes pour soutenir les sept allégations selon lesquelles Mme Iram a utilisé un langage abusif, fait des remarques insultantes, crié et victime d'intimidation, engagé dans un contact inapproprié et établi des contacts indésirables avec des...

Unat a jugé que l'appelant n'avait pas identifié les motifs de son appel et, par conséquent, l'appel était défectueux. Unat a déduit que l'appelant a affirmé que l'UNRWA DT n'avait pas exercé sa juridiction. Unat a jugé que la conclusion légale de l'UNDT que la demande avant qu'elle ne soit pas à recevoir était inattaquable. Unat a jugé que l'UNRWA DT ne s'est pas trompé alors qu'il n'a pas discuté de la question de savoir si l'affaire était un cas exceptionnel pour prolonger, renoncer ou suspendre la date limite pour le dépôt de la demande. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l...

Unat a jugé que l'UNRWA DT n'avait pas résolu certaines questions avant, à l'égard de laquelle l'appelant a droit à une décision motivée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur en refusant la demande implicite de l'appelant pour une audience en personne, du moins sans l'avoir examinée et les raisons. Unat a jugé que la résiliation de la nomination de l’appelant ne pouvait pas être évaluée comme hâtive, prématurée ou arbitraire, avec une référence particulière au processus du conseil médical. Unat a jugé que toute opportunité de la nomination de l'appelant à cette vacance était donc...