Le Tribunal estime que la requête n’est pas recevable ratione materiae parce que le requérant, de son propre aveu, n’a pas demandé l’évaluation par la direction des décisions attaquées.
Article 8.1(c)
L'absence d'explication justifiable de la part du défendeur pour le retard de décembre 2018 à juin 2021 ne pouvait être attribuée qu'à un manque de soin et de diligence, de transparence, de responsabilité et de bonne foi. Par conséquent, le Tribunal a estimé que le retard était indemnisable.
Le requérant a prouvé au-delà de la prépondérance des probabilités que le préjudice moral et émotionnel subi par les personnes à charge était directement imputable à la gestion négligente de l'affaire par l'administration.
L'allégation de préjudice moral a été suffisamment prouvée.
La demande a été déposée sans avoir été précédée d'une demande d'évaluation de la gestion et l'objet de la plainte ne comprend pas de décision administrative. La requérante n'a pas demandé d'évaluation par la direction de la décision finale de non-sélection, ce qui était nécessaire pour la contester. Elle a seulement demandé une évaluation de la décision de ne pas la convoquer à un entretien basé sur les compétences.
La requérante cherche à contester une étape préliminaire d'un processus de sélection, qui ne peut être contestée que dans le contexte d'une décision de sélection finale. Il s...
Ce recours n'est pas recevable ratione materiae car la demande d'évaluation de la gestion était prescrite.
Le recours est rejeté.
Les conclusions du Tribunal sont les suivantes :
- La décision contestée concernait l'utilisation de l'évaluation des performances pour pénaliser le requérant.
- Le Tribunal était compétent pour réexaminer une décision contestée qui remplit les conditions énoncées à l'article 2.1(a) du Statut de l'UNDT. 2.1(a) du Statut de l'UNDT.
- - L'évaluation des performances a été menée et achevée avec la mention "répond avec succès aux attentes" par le Bureau des relations extérieures de la requérante et approuvée par son Bureau des relations extérieures. Il s'agissait d'une décision unilatérale...
En tant que question préliminaire, Unat a rejeté la requête de l’appelant pour apporter des preuves supplémentaires sous la forme d’un affidavit par lui pour l’absence de circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que le Bureau des services d'audit et d'enquête (OAIS) ne prenait aucune décision qui a eu un impact sur les droits de l'appelant matériellement, défavorable ou n'a eu que de la PNUD. Unat a jugé que la recommandation de l'OAIS n'était pas une décision administrative. Unat a jugé que UNDT avait raison de soutenir que l'appel concernant l'enquête n'était pas à recevoir ratione...
Le Secrétaire général a fait appel de l'UNDS selon lesquels les décisions contestées pour abolir le poste de Mme Nouinou, la décision qui en résulte de ne pas renouveler sa nomination à durée déterminée de deux ans, et le refus de la réaffecter pendant deux mois sous un titulaire zéro dollar, où elle avait été sélectionnée pour une position à court terme, il était illégal. Unat a jugé que UNDT avait commis une grave erreur de droit en termes de position juridique fondamentale, qui a défini le sujet du litige devant lui et l'appel. Unat a jugé qu'il n'y avait aucune décision administrative pour...
Unat n'a pas constaté qu'une audience orale l'aiderait à résoudre les problèmes en appel et a refusé la demande de l'appelant pour une audience orale. Unat a jugé qu'une décision explicite du secrétaire général en faveur du membre du personnel est généralement nécessaire avant que l'UNDT puisse conclure que les délais pour l'évaluation de la direction ont été prolongés par le Secrétaire général; Une simple demande d'aide du bureau du Médiateur n'est pas suffisante à cet égard. Unat a jugé que UNDT a conclu correctement que la demande n'était pas réceptable Ratione Materiae, car l'appelant n...