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Article 11.3

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Le TANU a estimé que les termes de l'arrêt contesté étaient suffisamment clairs et non ambigus pour être exécutoires et que, par conséquent, la requête de l'ancien agent n'était pas recevable.  En particulier, le TANU a constaté qu'il n'y avait aucune ambiguïté quant à la justesse des motifs et à la nature de la mesure disciplinaire prise par l'administration à l'encontre de l'ancien agent. 

De même, le TANU a estimé que le raisonnement concernant le renvoi de l'affaire au Haut Commissaire en vue d'une éventuelle action visant à faire respecter l'obligation de rendre des comptes était clair...

Le TANU a rejeté la demande de révision, estimant qu'aucun des faits nouveaux allégués n'était un "fait nouveau" au sens de l'article 11, paragraphe 1, du statut du TANU. Les faits nouveaux allégués étaient soit survenus après le prononcé de l'arrêt du TANU, soit connus du Tribunal d'appel, soit des questions de droit.

Le TANU a accueilli la demande de correction en partie, dans la mesure où il a accepté l'argument de Mme Raschdorf selon lequel une erreur s'est produite au paragraphe 44 de l'arrêt du TANU, où le TANU a fait référence à tort au Comité consultatif pour les demandes d...

L'UNAT a estimé que la réparation demandée dans la requête concernait une question qui n'avait pas été soulevée auparavant devant l'UNDT ou l'UNAT, à savoir le recouvrement d'un montant déjà payé à titre de dépense admissible selon une échelle mobile.

L'UNAT a estimé qu'il n'y avait rien de flou ou d'ambigu dans le sens ou la portée du jugement antérieur, les termes de l'ordonnance étant clairs. L’UNAT a noté qu’il n’était pas nécessaire d’interpréter le jugement antérieur pour en clarifier le sens, et qu’il n’existait pas non plus de doutes raisonnables sur ce qui constituait la décision de...

L'UNAT a examiné les arguments du Secrétaire général selon lesquels Mme Lekoetje avait déjà remboursé les sommes dues à l'Organisation lorsqu'elle a quitté ses fonctions. L’UNAT a reconnu que Mme Lekoetje partageait la position du Secrétaire général et a confirmé que 20 987,91 dollars avaient déjà été déduits de ses droits finaux.

En conséquence, l’UNAT a accepté cette position et a interprété le jugement n° 2022-UNAT-1227 comme exigeant le paiement par l’Organisation à Mme Lekoetje d’une somme égale à un an de salaire de base net, mais sans aucune autre déduction.

L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait exercé à juste titre son large pouvoir discrétionnaire en ce qui concerne sa gestion des dossiers en concluant que le dossier dont il disposait était suffisant pour rendre une décision sans audience. Elle a conclu que l'appelant n'avait présenté aucun motif expliquant pourquoi une audience aurait été nécessaire et n'avait donc pas démontré que la DT de l'UNRWA avait exercé son pouvoir discrétionnaire de manière à affecter l'issue de l'affaire, comme l'exige l'article 2( 1)(d) du Statut du Tribunal d’appel.

Concernant l'argument du recourant selon...

L'UNAT a jugé que l'attribution pour compensation au lieu de l'annulation comprenait le coût supplémentaire encouru par le membre du personnel dans le maintien de deux ménages à la suite de la décision contestée. L'UNAT a constaté que, compte tenu de la demande d'interprétation, il était raisonnable que l'administration attende l'interprétation du Tribunal d'appel. Cependant, le secrétaire général est condamné à exécuter pleinement le jugement initial et à payer le membre du personnel de 450 USD dans les 30 jours civils à compter de la délivrance du jugement actuel. L'UNAT a noté que, étant...

M. Abdalla a déposé une requête en révision et en interprétation du jugement n° 2021-UNAT-1078, alléguant que le dépôt de l'appel du Secrétaire général avait un effet suspensif sur la procédure en cours devant le Tribunal, que par conséquent le délai prorogé pour déposer une candidature n'aurait pas expiré, et donc sa candidature finale devrait être reçue ; et qu'une fois que l'UNAT avait rejeté l'appel du Secrétaire général, il aurait dû renvoyer l'affaire pour une nouvelle décision.

L'UNAT a constaté que M. Abdalla n'avait signalé aucune déclaration ou considération dans le jugement de l...

M. Lucchini et le Secrétaire général étaient en désaccord sur le fait que Unat a confirmé l'attribution de l'indemnisation de l'UNDT pour dommages moraux, en plus d'augmenter le montant de la rémunération en place de 10 mois à 24 mois, ou d'ordonner le paiement de l'augmentation du montant de l'indemnisation en Location (de deux ans de salaire de base nette) mais n'a pas inclus l'attribution initiale de compensation pour préjudice moral qui avait été commandée par l'UNDT. M. Lucchini a déposé une demande d'interprétation pour confirmer la confirmation de son avis selon laquelle la décision d...

Le Secrétaire général a demandé l'interprétation, la révision et l'exécution du jugement n ° 2021-UNAT-1118, au motif qu'il n'a pas été en mesure d'effectuer la rémunération accordé dans le jugement de l'UND parce que M. Diend a refusé de fournir ses coordonnées bancaires. Unat a jugé que le jugement était clair, écrit dans un langage clair et sans ambiguïté, et il n'a laissé aucun doute raisonnable quant à ce qu'il signifiait. Ainsi, il n'y avait pas besoin de clarification. UNAT a en outre constaté que le Secrétaire général n'avait pas fait valoir qu'il avait découvert un fait décisif qui...

UNAT a déclaré qu'une demande d'interprétation n'est pas à recevoir si son objectif réel était d'avoir réexaminé sa décision, même si ses jugements sont définitifs et sans appel, ou pour le faire commenter sa décision. L'UNAT a jugé que les demandes déposées en vertu des sous-paragraphes (a) à (g) du paragraphe 30 de l'appel, dans le but de remettre en question la décision ou d'avoir des commentaires de la décision, n'étaient pas à recevoir. Unat a jugé que l'utilisation du mot «Annul» ne conduirait pas à la confusion dans l'esprit d'un parti de bonne foi parce que le langage du droit...