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Article 9.5

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Le TANU a estimé que les termes de l'arrêt contesté étaient suffisamment clairs et non ambigus pour être exécutoires et que, par conséquent, la requête de l'ancien agent n'était pas recevable.  En particulier, le TANU a constaté qu'il n'y avait aucune ambiguïté quant à la justesse des motifs et à la nature de la mesure disciplinaire prise par l'administration à l'encontre de l'ancien agent. 

De même, le TANU a estimé que le raisonnement concernant le renvoi de l'affaire au Haut Commissaire en vue d'une éventuelle action visant à faire respecter l'obligation de rendre des comptes était clair...

L'UNAT a estimé que l'absence de discussion sur la gestion de l'affaire et d'audience devant le TCNU ne constituait pas une erreur de procédure.

Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en admettant et en examinant le mémorandum d'allégations de mauvaise conduite, car celui-ci avait été utilisé par l'Administration uniquement pour vérifier que les circonstances justifiant le placement du requérant en ALWP existaient.

L'UNAT a également constaté que le rapport d'enquête du BSCI ne faisait pas référence aux communications entre l'appelant et son conseil, ni aux échanges au...

La question cruciale en appel était de savoir si le Tribunal du contentieux administratif avait commis une erreur en soumettant à la responsabilité uniquement le chef des enquêtes de l'OIAI, mais pas le directeur général et les autres membres du personnel de l'UNICEF. L’UNAT a estimé qu’il n’y avait pas d’erreur dans le jugement du Tribunal du contentieux administratif, car le Tribunal du contentieux administratif avait le pouvoir discrétionnaire de rejeter la demande de renvoi du requérant. L’approche juridique du Tribunal était correcte. Le Tribunal du contentieux administratif a décidé de...

Le TANU a rejeté la demande d'audience du requérant et a estimé qu'une telle audience ne contribuerait pas au règlement rapide et équitable de l'affaire, comme l'exige l'article 18, paragraphe 1, du règlement de procédure du TANU.  Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en supprimant les éléments de preuve joints aux conclusions finales du requérant ou en refusant d'entendre les superviseurs du requérant en tant que témoins. Le TANU a estimé qu'il existait des preuves claires et convaincantes que l'appelant avait utilisé la carte d'exemption de TVA et la carte de crédit...

L'UNAT a soutenu qu'il y avait une prépondérance de preuves que le membre du personnel était un passager dans un véhicule des Nations Unies clairement marqué dans lequel des actes de nature sexuelle ont eu lieu lorsqu'il circulait dans une zone fortement traitée de la ville. Sa conduite constituait une circonstance exceptionnelle en termes de l'article 11.4 (b) de ST / AI / 2017/1, en particulier compte tenu de la nature grave et grave de la conduite dans laquelle il a été impliqué, capturé sur le clip vidéo qui a été largement diffusé, provoquant Un préjudice important à la réputation et à la...

Unat a rejeté la demande d'audience orale constatant que les questions factuelles et juridiques avaient déjà été clairement définies par les parties. Unat a noté qu'il n'y avait aucun dossier que l'appelant avait jamais demandé ou accueilli une autorisation de soumettre d'autres observations ou preuves avant la décision de l'UNT en appel. Unat a soutenu que l'appelant n'a donc pas établi que UNDT avait commis une erreur en concluant que l'appelant n'avait pas produit suffisamment de preuves de détresse liées spécifiquement au placement de la note pour justifier une compensation pour la...

Le TANU a considéré un appel du Secrétaire général. Le TANU a jugé qu'il était convaincu que la sanction n'était pas disproportionnée et a noté que le Secrétaire général aurait pu choisir de rejeter sommairement M. Nasrallah ou de le séparer sans indemnisation et indemnités. Le TANU a jugé que, bien qu'aucune enquête n'ait été nécessaire car les faits n'ont pas été contestés, l'organisation a commis une erreur flagrante en prenant près de deux ans pour finaliser la procédure disciplinaire. Le TANU a noté que ce retard a fonctionné en faveur de M. Nasrallah, lui permettant de bénéficier de deux...

Le TANU a considéré un appel du Secrétaire général. Le TANU a jugé que le TCNU n'avait pas agi légalement en émettant une ordonnance en violation directe de la jurisprudence du TANU établie. Cependant, le TANU a également jugé que les parties devant le TCNU devaient obéir à ses décisions contraignantes et qu'une décision du TCNU est restée légalement valable jusqu'à ce que non attéise. Le TANU a soutenu que le refus du Secrétaire général de se conformer à l'ordre du TCNU était vexatoire. Le TANU a réitéré sa jurisprudence selon laquelle l'absence de conformité peut mériter une procédure d...

UNAT a examiné une demande de contestation de l’UNAT de la décision du comité de conciliation de recommander une compensation de 35 000 USD. UNAT a rejeté la requête de Mme Cohen demandant une réexamen d'une ordonnance UNAT accordant au registraire de la CIJ plus de temps pour déposer sa réponse. Sur la demande de MS Cohen pour la permission de répondre à la réponse du registraire de la CIJ au motif que ni le registraire de la CIJ ni le comité de conciliation ne portaient sur le témoignage dans leurs décisions, Unat a considéré que des circonstances exceptionnelles existaient et ont accordé la...

Le TANU a estimé que la décision de séparer le requérant était arbitraire, discriminatoire, constituait un abus de pouvoir et était illégale.  Le TANU a estimé que l'UNDT n'était pas tenu de fixer un montant d'indemnisation compensatoire, étant donné que la décision concernait un transfert latéral, et non une nomination, une promotion ou un licenciement. Le TANU a confirmé la conclusion de l'UNDT selon laquelle le témoignage de Mme Koduru n'était pas suffisamment convaincant pour servir de base à l'octroi de dommages moraux. Le TANU a rejeté la demande de dépens de Mme Koduru. L'UNDT a rejeté...