UNAT a examiné si des circonstances exceptionnelles devraient s'appliquer à l'appel de l'appelant, en vertu de l'article 8, paragraphe 3, de la loi UNDT. Unat a estimé que UNDT avait raison dans sa conclusion qu'en l'absence d'une explication complète du retard de cinq mois après sa libération de l'hôpital, l'appelante ne pouvait pas se prévaloir du plaidoyer de circonstances exceptionnelles. Unat a soutenu que UNDT ne s'est pas trompé pour constater que la demande n'était pas à recevoir. UNAT a rejeté l'appel.
Article 8.1(d)(ii)
Contrairement à la conclusion de l'UNDT, la lettre de M. Kollie du 7 juin 2007 à l'ABCC ne peut pas être considérée comme une demande en vertu de l'article 17 de l'annexe D pour convoquer un conseil médical et reconsidérer la décision du Secrétaire général. Les e-mails du 25/27 juillet 2017 et du 24 août 2017 ne peuvent pas non plus être considérés comme un examen de la décision du 16 mai 2017 du Secrétaire général ou une décision administrative en vertu de l'article 2, paragraphe 1, a) du statut de l'UND. Les courriels du 25/27 juillet 2017 ont constitué une décision implicite de l'ABCC de...
Jugement sommaire Le tribunal a noté que le jugement sommaire ne peut être rendu que dans une affaire où les faits importants ne sont pas contestés et que la partie à l'affaire a droit à un jugement en droit. En outre, pour qu'une partie demande un jugement sommaire, il doit être sur le fond de l'affaire et une telle partie aurait dû plaider des faits concernant l'affaire. L'intimé n'avait plaidé aucun fait important et n'avait pas non plus rejoint des problèmes avec le demandeur sur le fond de l'affaire. Présenté pour déterminer la recevabilité de la demande, le tribunal a abordé l'accès du...
Évaluation de la gestion: le demandeur a demandé l'évaluation de la gestion de chacune des décisions administratives qu'il a contestées devant le tribunal. Médiation: Le tribunal a constaté que la médiation était recherchée par l'intimé concernant la mesure disciplinaire de la rétrogradation proposée, mais la discussion entre le requérant et le Médiateur a dépassé la portée de la rétrogradation. La médiation a été demandée dans la date limite pour le dépôt de la demande. Le délai de remplissage d'une demande commence à partir de la date à laquelle la médiation se décompose, donc la demande a...
Le tribunal a décidé que la demande avait été déposée hors du temps et n'était pas à recevoir. Le Tribunal a constaté que la demande qui avait été déposée au nom du demandeur incapacité par son conjoint aurait dû être déposée dans l'année du 8 octobre 2014, c'est-à -dire le 8 octobre 2015. Il a été déposé le 23 mars 2016, Way hors du temps.
Le demandeur n'a pas réussi à se conformer à l'art. 8.1 (d) (ii) de la loi UNDT, car il n'a déposé sa demande que plus d'un an après la date limite statutaire de 90 jours. Le Tribunal a jugé que la demande avait été dérangée en raison du non-dépôt du demandeur à déposer sa demande dans les délais établis. Le tribunal a également jugé que le demandeur n'avait pas articulé de circonstances exceptionnelles justifiant le retard.
Bien que le demandeur n'ait pas été tenu de demander une évaluation de la gestion avant de déposer cette demande, elle a toutefois été tenue de déposer sa demande auprès de UNT à l'intérieur; 90 jours civils de réception de la décision contestée. La requête en dispense du 25 mars 2018 du demandeur n'a pas été conforme à l'exigence stricte prononcée par le tribunal de l'appel à THIAM car elle n'a pas été déposée avant le dépôt de sa demande de fond mais plus de cinq mois après le fait. En outre, la mention adoptée par le demandeur dans sa demande du 17 octobre 2017 ne peut pas être interprétée...
Le fait que la demande a été déposée le 25 juin 2019, un jour après la date limite, n'a pas été contestée. La décision contestée a été envoyée au demandeur le 25 mars 2019, bien qu'il ait soutenu qu'il l'avait vu le 26 mars 2019. Même si le demandeur considérait le 26 mars 2019 La demande aurait encore été le lundi 24 juin 2019. L'argument selon lequel l'intimé devrait être considéré comme ayant consenti à la juridiction du tribunal car il n'a pas soulevé la contestation juridictionnelle à temps n'est pas durable puisque la loi ne prescrit pas le temps dans lequel relever le défi. L'argument...