Le TANU a observé que le Secrétaire général avait choisi de limiter la portée de son appel aux seules conclusions du TANU concernant deux des neuf cas de faute présumée de la part de l'ancien fonctionnaire. Le TANU a également reconnu que le Secrétaire général soutenait que le TANU avait commis une erreur de droit en appliquant les critères juridiques du harcèlement et du harcèlement sexuel aux deux incidents.
Néanmoins, le TANU a estimé que pour trancher la question en appel, il ne suffisait pas d'appliquer le bon critère juridique. Pour parvenir à des conclusions, il ne suffit pas de tenir...
Article 2.1(b)
Le TANU a observé que deux échanges de courriels entre Mme Nimusiima et un ancien membre du personnel du HCR (AM) étaient la seule preuve documentaire offerte pour établir la culpabilité de Mme Nimusiima dans l'émission d'une lettre de réinstallation frauduleuse en échange d'un pot-de-vin.
L'UNDT avait conclu que ces échanges de courriels montraient que Mme Nimusiima avait agi de concert avec AM, mais qu'ils étaient néanmoins "équivoques" (peu clairs/vagues), "purement circonstanciels" et ne prouvaient pas avec une forte probabilité qu'AM avait envoyé la lettre de réinstallation frauduleuse...
Le Tribunal a estimé qu'en l'espèce, il n'est pas contesté que la décision a été prise unilatéralement par l'administration et qu'elle impliquait l'exercice d'un pouvoir ou l'exécution d'un instrument réglementaire. Le différend porte sur la question de savoir si la décision a porté atteinte aux droits du demandeur et a produit des conséquences juridiques directes.
Le Tribunal a jugé que l'argument du requérant selon lequel « l'UNOPS avait non seulement décidé de [l'inculper], mais aussi de le maintenir dans un statut indéfini de « personne inculpée », le laissant poursuivi pour une durée...
L'UNAT a estimé que le jugement du Tribunal était problématique parce que les conclusions du Tribunal semblaient être entièrement fondées sur des preuves par ouï-dire, c'est-à -dire les conclusions du rapport d'enquête du BSCI. L'UNAT a observé que le jugement du Tribunal n'a pas expliqué les éléments de preuve sur lesquels reposait sa conclusion selon laquelle le harcèlement sexuel était hautement probable, et n'a formulé aucune conclusion explicite ou précise concernant les témoignages présentés sous serment à l'audience. L’incapacité du Tribunal à tirer des conclusions sur les témoignages qu...
Unat a considéré une demande de révision du jugement déposée par M. Mbaigolmem. Unat a soutenu que M. Mbaigolmem devait prouver qu'il avait découvert un fait décisif qui était inconnu de lui et d'UNAT au moment du jugement. Unat a jugé que M. Mbaigolmem n'avait pas établi un fait décisif inconnu qui pourrait justifier la révision du jugement. UNAT a rejeté la demande de révision du jugement.
Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis des erreurs de droit et de faits résultant en une décision manifestement déraisonnable. Unat a jugé que l’UNRWA DT avait commis une erreur dans son évaluation de la crédibilité de la victime présumée. Unat a soutenu que, contrairement à la compréhension de l'UNRWA DT, il n'y avait aucun dossier que la victime présumée avait déclaré qu'elle avait été attaquée sexuellement par l'appelante à des occasions précédentes. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur en suscitant une inférence négative quant à la crédibilité de la victime présumée de ses...
Sur le retard avant UNDT, Unat a convenu que le retard était regrettable, mais a estimé que le demandeur n'avait pas démontré qu'il s'agissait d'une erreur de procédure affectant l'issue de l'affaire. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en exerçant son pouvoir discrétionnaire de gestion des cas lorsqu'il a refusé la demande d'audience orale, mais que cette erreur n'a pas affecté la décision de l'affaire. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé car il y avait des preuves claires et convaincantes que le demandeur avait commis un harcèlement sexuel. Unat a jugé que la sanction...
Unat avait devant lui un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur en droit et en fait conduisant à une décision manifestement déraisonnable lorsqu'elle a jugé que M. Siddiqi n'avait pas menacé de tuer des membres du personnel identifiés, mais n'avait fait que menace non plus de «certains» membres du personnel. Unat a jugé que les déclarations des trois témoins ont rendu des preuves claires et convaincantes que l'appelant n'a pas seulement prononcé une menace non spécifiée, mais qu'il avait menacé de tuer des membres du personnel identifiés. Unat a jugé que Undt...
Le demandeur a été chargé d'avoir engagé deux actes d'inconduite, à savoir: tricher et aider les autres à tricher dans les tests psychométriques et en anglais du programme professionnel humanitaire de niveau d'entrée (EHP). Les déclarations du tribunal se reflètent en suivant les différentes étapes de l'analyse de la décision contestée. Les faits sur lesquels la mesure disciplinaire ont été fondés ont-ils été établis? Le tribunal a constaté que le rapport d'enquête indiquait clairement les faits et l'inconduite présumée. Il a également fourni une évaluation substantielle et critique des...
L'intimée a demandé au Tribunal de refuser les noms de la victime et de sa famille de «tout dossier public dans cette affaire». Le tribunal a considéré la demande raisonnable et a décidé de s'abstenir d'utiliser le nom de la victime ainsi que le nom des membres de sa famille dans son jugement pour préserver leur vie privée et les protéger de toute répercussion négative. Sur la base des preuves de dossier, le tribunal a constaté que les faits sur lesquels la mesure disciplinaire était fondée avait été établie par des preuves claires et convaincantes. Depuis que le demandeur travaillait pour l...