Unat a considéré un appel du secrétaire général. Aat affirmé, bien que pour différents motifs, l'attribution de l'indemnisation de l'UND à M. Pirraku. UNAT a observé que les problèmes entourant la non-promotion de M. Pirraku n'auraient pas dû être présentés ou adressés par UNT. L'UNAT a jugé que les questions concernant la non-promotion de M. Pirraku faisaient l'objet d'un accord et d'un accord de libération conclu par la médiation et, en tant que tels, n'ont pas été soumis à un examen judiciaire. Unat a jugé que la question de la détermination de l’UND était l’exécution de l’accord de...
Article 2.1(c)
L'UNAT a considéré à la fois un appel de Mme Flores demandant une augmentation de l'indemnisation et un appel à l'appel par le Secrétaire général. Unat a jugé que UNDT ne s'est pas trompé en déterminant ni qu'il y avait des violations procédurales qui justifiaient l'annulation de la décision de séparation ou dans sa détermination que Mme Flores n'avait pas droit à réintégrer (justifiant une attribution importante) car son contrat devait expirer peu de temps après la réception de la lettre de licenciement. Unat a noté que Mme Flores n'a pas été informée avant l'entretien quelles étaient les...
Lorsque le tribunal est invité à exercer sa compétence en vertu des articles 2.1 (c) et 8.2 de sa loi, la compétence du tribunal se limite à vérifier si l'accord conclu par la médiation a été mis en œuvre.
Si la requérante travaillait sous la conviction qu'en vertu de l'accord, l'intimée lui donnait une garantie d'un nouveau poste ou qu'elle serait en transition latéralement, cette croyance était déplacée. Rien dans l'accord ou aucune preuve devant le tribunal suggère que l'intimé était en mesure de simplement «donner» au demandeur une autre position dans le PNUE. Les postes dans les organisations ne sont pas occupés ou présumés être pourvus selon la volonté des gestionnaires mais sont soumis aux règles et réglementations du personnel. Le demandeur n'était pas justifié de nourrir une attente...