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Article 8.1(d)(i)

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UNDT/2024/003, GUEZEL

L'absence d'explication justifiable de la part du défendeur pour le retard de décembre 2018 à juin 2021 ne pouvait être attribuée qu'à un manque de soin et de diligence, de transparence, de responsabilité et de bonne foi. Par conséquent, le Tribunal a estimé que le retard était indemnisable.

Le requérant a prouvé au-delà de la prépondérance des probabilités que le préjudice moral et émotionnel subi par les personnes à charge était directement imputable à la gestion négligente de l'affaire par l'administration.

L'allégation de préjudice moral a été suffisamment prouvée.

L'UNAT a estimé que l'appel contre les deux ordonnances interlocutoires était devenu sans objet après le prononcé du jugement n° UNDT/2022/124 et que l'UNDT n'avait pas commis d'erreur en rendant son jugement pendant la durée de cet appel. L'UNAT a néanmoins observé que l'UNDT avait commis une erreur de droit en imposant un délai déraisonnablement court pour se conformer à l'ordonnance n° 157 (NBI/2022). Malgré cela, l'UNAT a conclu que, la procédure étant irrecevable, cette conclusion n'était pas d'une grande aide pour l'appelant dans sa cause. Concernant l'ordonnance n° 158 (NBI/2022), l...

L’UNAT a rejeté la demande d’audience de l’appelant, estimant que les questions étaient bien définies et ne nécessitaient pas de développement supplémentaire au cours d’une audience.

L'UNAT a estimé que la demande du requérant visant à réexaminer la réponse à sa demande de contrôle hiérarchique concernant sa non-sélection n'était pas recevable ratione materiae car elle n'avait pas produit de conséquences juridiques directes pour lui et ne constituait donc pas une décision administrative susceptible de recours.

L'UNAT a également constaté que le requérant avait été informé du résultat de sa...

La correspondance post-résiliation du requérant visant à clarifier les prestations de ses terminaux, sa réception éventuelle d'un état de paiement le 20 septembre 2021 et le dépôt d'un nouveau Mer le 27 octobre 2021 réitérant les points précédemment soulevés et décidés par le meu ne pas réinitialiser l'heure du dépôt de la demande. Le demandeur a attendu environ sept mois après avoir reçu la réponse du MEU en juin 2021, qui a abordé ses soumissions sur le droit à l'indemnité de résiliation, avant de déposer la demande. La demande était donc en dehors du délai de 90 jours autorisé.

Le tribunal a constaté que le demandeur n'avait jamais fait appel ou demande à l'ABCC pour réexaminer la décision conçue conformément à l'art. 17 a) de l'ancien annexe D et que la demande n'était donc pas à recevoir ratione materiae sur ce décompte. Le Tribunal a conclu que, puisque le courrier électronique du 6 février 2019 n'était pas un appel / demande de réexamen de la décision de l'intimé, la seule décision contestable était datée du 15 janvier 2019. Le demandeur avait 30 jours pour contester cette décision en déposant une demande de réexamen conformément à l'art. 17 (a) De l'ancien...

Unat a considéré l'appel. Unat a constaté que UNDT avait commis des erreurs factuelles et juridiques lorsqu'elle a conclu que le 15 mars 2013 était la date à laquelle l'appelant a reçu la notification de la décision administrative au sens de la règle 11.2 (c) du personnel. UNAT a noté que le 18 avril 2013 était la date à laquelle l'appelant a reçu la notification de la décision administrative de ne pas renouveler son rendez-vous à durée déterminée, c'est-à-dire à ce moment que la période de 60 jours a commencé à gérer en vertu de la règle 11.2 (c) du personnel. UNAT a noté que l'appelant avait...

Unat a jugé que des circonstances exceptionnelles existaient qui justifiaient une prolongation du délai. Unat a jugé que le pouvoir discrétionnaire de l'UNDT aurait dû être exercé en faveur de l'appelant, car il a affecté l'accès à la justice et qu'il y a une présomption que l'accès à la justice ne devrait pas être refusé au début sans raisons impérieuses, qui étaient absentes. Unat a jugé que des circonstances indépendantes du contrôle de l'appelant l'ont empêché d'agir pour déposer son appel dans le délai et il serait injuste de visiter l'appelant les conséquences d'une erreur (un échec dans...

DÉMILLITIONS DE MEU à recevoir / renoncer ou suspendre: il a été établi dans la jurisprudence des UNDT et des Nations Unies pour les Nations Évaluation de la gestion. Le tribunal, étant une créature de droit statutaire, ne peut pas aller au-delà de son mandat. S'il y avait des preuves concrètes pour montrer que le Médiateur a été saisi de l'affaire dans les délais stipulés et s'il y avait des preuves montrant la date à laquelle le Médiateur a reconnu la réception De la question et de la période pour laquelle il y a travaillé à des fins de médiation, le tribunal serait en mesure de déterminer...